Anonymes (2)

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- Le plus sûr moyen de tuer l'homme est de le payer à rien faire.

- Pour beaucoup de gens, la grandeur et le bien être passent par l'effort que font les autres pour y parvenir.

- La liberté n'est pas d'agir selon sa volonté, mais de parvenir à la fuir.

- Faute avouée est à moitié pardonnée.

- Il faut s'attendre à tout en politique où tout est permis, sauf de se laisser surprendre !

- Rester seul avec soi-même c'est possible pour celui qui fait un dédoublement de la personnalité.

- Le bruit ne fait pas de bien, le bien ne fait pas de bruit.

- À force de se bercer d'illusions on peut voir s'endormir ses désirs.

- Quand on n'a pas de tête, il faut avoir des jambes.

- Hôte, femme et pluie, après trois jours ennuient.

- Ne courez jamais après un taxi ou une jolie femme. Dites-vous qu'ils en passera toujours d'autres.

- Certains se laissent griser par la politique au point d'en devenir ivrognes.

- La pauvreté manque de beaucoup de choses, mais la grande misère manque de tout.

- Plaie d'argent n'est pas mortelle.

- Tout ce que l'on risque en demandant c'est le "oui" parce que le "non on l'a déjà.

- Regardez la vie à travers le pare-brise, pas dans le rétroviseur.

- La liberté et la spontanéité se fondent sur des choix, non pas sur des habitudes.

- Avant de bien faire, vous devez être capable de ne rien faire, pour être mieux capable d'éviter de mal faire.

- Quand on ne sait plus quoi faire, on a tendance à faire n'importe quoi. Ou à en faire trop. Cela s'appelle le désarroi.

- Lorsque tu fais le bien, fais-le discrètement.

- L'organisation est le moyen, pour un groupe humain, d'accumuler les savoirs individuels, de les fertiliser et de les rendre opérationnels.

- Vaut mieux vivre une journée comme un tigre que toute une vie comme un mouton.

- Pour gagner de l'argent, il faut travailler. Pour devenir riche, il faut faire autre chose.

- Quand on est sûr d'avoir raison, on ne discute pas avec ceux qui ont tort !

- La vie est un bien perdu quand on n'a pas su la vivre.

- Il est parfois aussi pénible de subir un rêve que de vivre une réalité.

- Hier, c'est le passé. Demain, c'est le futur. Mais aujourd'hui, c'est un cadeau. C'est pour ça qu'on l'appelle "le présent."

- Le possible, c'est déjà fait. L'impossible, je le fais tout de suite. Pour les miracles, prévoir un délai.

- Quand une femme du monde dit non, cela signifie peut-être ; quand elle dit peut-être, cela veut dire oui ; quand elle dit oui, ce n'est pas une femme du monde.

- Quand un diplomate dit oui, cela veut dire peut-être ; quand il dit peut-être, cela veut dire non ; quand il dit non, ce n'est pas un diplomate.

- Croyez un peu plus en les autres, vous croirez davantage en vous.

- Avoir des amis, c'est être riche.

- Un vieil ami est le plus fidèle des miroirs.

- Vivre sans amis, c'est mourir sans témoins.

- Il faut savoir dire non pour pouvoir dire oui avec plaisir.

- La première chose à faire quand on est pressé, c'est de prendre son temps.

- La bonne conscience d'un honnête homme n'a jamais été ébranlée par le jugement d'un con.

- Ce qui ne sert pas est inutile, mais peut toujours servir.

- Ce qui est fait n'est plus à faire.

- Les hirondelles amènent le printemps de même qu'une autre bonne nouvelle.

- À partir de quarante ans, un homme (ou une femme) est responsable de son propre visage.

- La raison n'éclaire jamais la passion.

- Aimer c'est ne faire qu'un, mais la question c'est lequel.

- Le temps guérit toutes les blessures.

- Il est nécessaire de reconnaître l'importance du chagrin et de le laisser exister ; il ne faut pas essayer de l'occulter.

- La vie est bien trop courte et bien trop hasardeuse pour continuer à souffrir inutilement.

- L'excès en tout est un défaut.

- L'erreur est humaine et doit toujours être pardonnée dès lors que sa reconnaissance est sincère et que tout est fait pour éviter son renouvellement.

- Il est de la nature de l'homme de se tromper, persévérer est diabolique.

- Nous n'héritons pas la terre de nos ancêtres, nous l'empruntons à nos enfants.

- La passion que l'on peut éprouver pour la chasse dépend essentiellement du côté où l'on se trouve par rapport au fusil.

- Il faut rire avant d'être heureux de peur de mourir avant d'avoir ri.

- Le temps, c'est ce que vous en faites.

- On est responsable de la paix parce qu'on est responsable de la relation avec l'autre.

- Nos yeux ne voient que la surface de l'eau. Mais dessous se cachent de vastes profondeurs et toutes sortes d'êtres vivants.

- Quoi que nous fassions, nous l'avons choisi et c'est ce qui nous satisfait le plus.

- Qui n'est pas maître de ses pensées peut en devenir esclave.

- L'amour, c'est comme la musique : plus le morceau est long, plus le concert dure !

- Une femme sans poitrine, c'est comme un pantalon sans poches... On ne sait pas où mettre les mains !

- La vraie noblesse se trouve dans le cœur.

- On existe parce que l'on réalise soi-même.

- L'adversité forge le caractère et vous donne beaucoup plus de force pour relever les futurs défis.

- C'est bien connu : dans un héritage, seul le mort garde son sang-froid.

- Le travail est une belle chose. Ne sois pas égoïste... Laisse-le aux copains !

- Il faut toujours remettre au lendemain ce qu'un autre peut faire le jour même.

- Mon avenir est devant moi et quand je me retourne je l'ai dans le dos.

- Si un homme se fixe dans un endroit sans l'améliorer, cet endroit le rejettera comme un être qui n'a pas porté de fruit.

- Le silence est l'aboutissement suprême du langage et de la conscience.

- L'homme ferme et sage qui demeure égal dans le plaisir et la douleur, celui-là se rend digne d'immortalité.

- Quel avantage y a-t-il à avoir l'esprit partial et préconçu ?

- Il n'y a rien de plus détestable qu'un homme qui fuit pour échapper à ses démons.

- Il est plus dangereux de s'exposer aux feux de la passion qu'aux feux du soleil.

- Cesse donc de poursuivre la sagesse, ne cherche point à trop savoir et, plus tard, la science te viendra d'elle-même.

- La culture, c'est comme la confiture, moins on en a, plus on l'étale.

- Plus longtemps on s'est tu, moins on a envie de communiquer.

- Le difficile c'est ce qui peut être fait tout de suite, l'impossible ce qui prend un peu plus de temps.

- Tout ce qui est fait, n'est plus à faire.

- Tout ce qui est pris, n'est plus à prendre.

- Pour établir une amitié profonde, il faut s'ouvrir à l'autre.

- Il ne faut jamais remettre au lendemain quelque chose qu'on peut faire faire le jour même par quelqu'un d'autre.

- Un étranger est un ami que je n'ai pas encore rencontré.

- Personne n'est une île.

- Le rire c'est la politesse du désespoir.

- C'est par la douceur qu'on obtient les meilleures choses.

- Si vous vous attachez davantage à garder une attitude positive plutôt qu'à gagner de l'argent, vous réussirez mieux dans votre carrière et l'argent viendra tout seul.

- Accepte ce que tu ne peux changer.

- Il n'y a pas d'ascenseur pour aller vers la réussite, seulement l'escalier.

- Connais-toi toi-même, et tu connaîtras l'Univers et les Dieux.

- J'ai de nombreux défauts, mais je fais tout pour éviter les erreurs.

- C'est quand je tends vers la perfection que je me sens le plus digne d'être aimé.

- Si ce n'est pour s'occuper des autres, à quoi bon vivre ?

- Le travail est plus plaisant que le plaisir.

- Je suis ce que je suis et c'est bien comme ça.

- Le plus difficile a été de découvrir que j'existais indépendamment de mes actes.

- Il y a beaucoup à apprendre, rien qu'en regardant.

- Si je comprends la situation dans son ensemble, je ne serai plus jamais pris par surprise.

- Quand je rentre dans ma spirale de vouloir tout connaître, je peux devenir froid, distant, intellectuellement arrogant.

- Le courage sans la peur devient inconscience et la peur sans le courage devient impuissance.

- On ne vit qu'une fois, profitons-en !

- On ne mendie pas un juste droit, on se bat pour lui.

- La hâte est l'ennemie du temps qui passe.

- Je suis responsable de mes souffrances, dès lors que j'ai créé les schémas de croyances qui me font souffrir.

- Le bonheur passe par la prise de conscience de ce que je suis (la connaissance de soi), l'acceptation de ce que je suis, et la mise en place d'un changement.

- Les femmes c'est comme les fleurs, si on veut les garder longtemps il ne faut pas les cueillir trop vite.

- Dire ce que l'on sait dire.

- Tout le monde fait des voyages ; partout il y a des guides, il y en a qui les voit, d'autres pas. Faire demi-tour, n'est pas une faiblesse.

- À une jolie femme, ne dites pas qu'elle est belle, elle le sait. Dites-lui qu'elle est intelligente, elle l'espère !

- La chance arrive à ceux qui ne la cherchent pas.

- Tout vient de l'extérieur ; on ne trouve rien à l'intérieur.

- Plus les parents sont souriants, gentils et philosophes, moins les enfants sont ingrats.

- Ce n'était qu'un rêve, mais si beau qu'il était vrai.

- On dit souvent pourquoi on écrit. On ne dit jamais pourquoi on se tait.

- C'est toujours poussé par la fin qu'on dévore un roman policier.

- Le pickpocket est le seul individu capable de travailler les mains dans les poches.

- Les imberbes ne sont pas à l'abri des raseurs.

- Lorsque je suis en froid avec quelqu'un, je lui parle à mots couverts.

- À quoi bon être à la tête d'une affaire si elle ne prend pas corps.

- Deux chaises suffisent pour meubler une conversation.

- Quand on sait à l'avance pour combien de temps on va en avoir quelque part, on trouve le temps long. C'est pour cela qu'on ne sait pas à l'avance combien de temps on va vivre.

- On se donne toujours trop d'importance pour peu de chose.

- Palper de l'argent rend les doigts crochus.

- Payer de ma vie un acte d'héroïsme serait pour moi mourir au-dessus de mes moyens.

- Mon dernier souffle m'éteindra.

- Se faire incinérer, c'est quitter ce monde tout feu, tout flamme.

- Être prodigue, c'est dépenser sans compter. Être avare, c'est compter sans dépenser.

- Seul l'humour me permet de garder mon sérieux.

- Mieux vaut vivre de rien que mourir de quelque chose.

- Confie un secret à l'oreille, il sortira toujours par la bouche.

- Cacher mon âge ? Oui, mais où ?

- C'est le regard des autres qui vous en fait le plus voir !

- Si l'homme connaissait la véritable valeur de sa peau, il ne chercherait pas à la sauver.

- Quand on me parle travail, ma paresse retrouve tout son tonus.

- La vie est un os qu'on ronge à belles dents.

- L'optimiste rie pour oublier ; le pessimiste oublie de rire.

- La vie est comme un arc-en-ciel : il faut de la pluie et du soleil pour en voir les couleurs.

- Quand on veut se faire passer pour ce que l'on n'est pas, eh bien on risque de passer pour ce que l'on est.

- Chacun ne peut comprendre que ce qui lui est donné de comprendre.

- Il vaut mieux rater un baiser que l'inverse !

- Il n'y a pas meilleur moyen d'obtenir de quelqu'un qu'il soit digne de ta confiance que de la lui donner.

- Il n'y a pas pire que de vendre à des gens qui n'en ont pas les moyens, des trucs dont ils n'ont pas besoin et qu'ils n'ont pas demandé.

- Un programme informatique fait ce que vous lui dites de faire, pas ce que vous voudriez qu'il fasse.

- Le "grand" est constitué d'une multitude de "petits" et sans le petit, le grand n'est pas.

- Celui qui encaisse l'argent est content. Et celui qui paye ? Il est soulagé…

- Le silence est souvent une réponse.

- Prends le temps quand tu l'as, car il s'en ira.

- Acheter à crédit, c'est comme s'enivrer. Le plaisir est immédiat, mais la migraine est pour le lendemain.

- Les gens qui réussissent sont ceux qui imaginent des trucs pour occuper les autres.

- Le malheur est de perdre la passion. De n'avoir plus rien à donner.

- Aimé est plus fort qu'être aimé.

- C'est un grand défaut que s'en croire exempt.

- Le sage réfléchit avant d'agir ; après c'est trop tard.

- Celui qui s'écoute parler entend souvent un sot.

- Là où ne va pas le soleil, va souvent le médecin.

- Beaucoup, vite et bien, le travail ne peut se faire.

- Agir dans la colère, c'est s'embarquer durant la tempête.

- La télévision, c'est le chewing-gum des yeux.

- Un critique demandait à un célèbre écrivain quels étaient ses mots préférés : "Chèque ci-joint" dit-il.

- Le seul animal de la création qui rougisse de honte, c'est l'homme.

- Un pessimiste, c'est quelqu'un qui regarde à droite et à gauche avant de traverser une rue à sens unique.

- Il est préférable d'être bête et de le savoir, plutôt qu'être intelligent et d'en douter.

- Les brigands demandent la bourse ou la vie. Les femmes demandent les deux.

- Mourir pour une idée est certainement une bonne chose. Mais pourquoi ne pas laisser l'idée mourir à votre place ?

- Le comble du progrès, c'est quand un cannibale se sert d'une fourchette et d'un couteau.

- Pour être un homme arrivé, il faut en général avoir pris un bon départ.

- Si tu veux être heureux quelques heures, bois du vin. Si tu veux être heureux toute la vie, sois jardinier.

- Le chemin de tout-à-l'heure et la Grande route de Demain mènent au château de Rien-du-tout.

- On n'est jamais accusé de meurtre pour avoir fait mourir de rire…

- Un bon coup de sommeil vaut bien un médecin.

- Les hommes intelligents ne font pas de bons maris. Pour la simple raison qu'ils ne se marient pas !

- Ceux qui ne disent rien peuvent faire croire qu'ils auraient trop à dire. Le silence avantage aussi les sots.

- Si le cœur était d'acier, l'argent ne l'entamerait pas.

- Sous le chapeau d'un paysan, peut se trouver le conseil d'un prince.

- Plus on se hâte, moins on avance.

- Avec le temps, peu importe l'unité de mesure ; il passe.

- Celui qui a trois ennemis doit s'accorder avec deux.

- Qui va seul n'est pas en mauvaise compagnie.

- Une tête dans laquelle on ne trouve ni science ni art ne vaut pas mieux qu'une citrouille.

- Il y a des gens qui sont chauves au dedans de la tête : ce sont ceux qui n'ont pas le sens de l'humour.

- Qui va lentement va sûrement arriver dernier.

- Un philosophe est souvent quelqu'un qui a trouvé la solution avant qu'on énonce le problème.

- Croyez-moi, pour toucher un bon salaire, mieux vaut avoir le bras long...

- Le changement est le fruit d'une évolution personnelle, on ne peut pas changer autrui.

- Soyons hommes de cœur plutôt que de piques.

- Les sondages servent au pouvoir qui préfère plaire pour être réélu que gouverner au risque de déplaire.

- Les vestiges font rêver les poètes. Ils font penser les savants. Ils font acheter des cartes postales aux imbéciles.

- L'argent ça va, ça vient... Mais quand ça vient ça va !

- Dans un bureau de fonctionnaires, il n'y a que le bois qui travaille !

- De la discussion naît la connaissance.

- Les enfants sont le miroir des parents.

- On récolte le bonheur que l'on s'aime.

- Le corps s'embellit sous le regard de l'homme qui vous aime.

- Apprenez à voir le bien qui vous entoure et à en dispenser à votre tour.

- Le vieillissement, c'est lorsque l'on commence à se dire : "Je ne me suis jamais senti aussi jeune."

- C'est bizarre les parents ! Jusqu'à trois ans, ils passent leur temps à apprendre à parler aux enfants, puis, après, ils leur disent tout le temps de se taire...

- Si tu veux que le bonheur frappe à ta porte, commence déjà par en donner aux autres.

- Fais bien ton travail, le temps passera vite.

- L'amour est une affaire de cœur , mais avec le portefeuille par-dessus.

- Les jolies filles, c'est comme les routes : c'est dans les courbes qu'on abîme sa voiture.

- Pourquoi contredire sa femme ? C'est tellement plus simple d'attendre qu'elle change d'avis !

- Il faut profiter des avantages et éloigner les inconvénients.

- L'absent ne sera pas héritier.

- On donna des yeux à un aveugle et il se mit à demander des sourcils.

- A chacun le sien, un os au chien.

- À qui on aura donné beaucoup il sera beaucoup demandé, et à qui on aura confié beaucoup on réclamera davantage.

- La pièce est jouée.

- Vers les sommets par des chemins étroits.

- Aimez-vous les uns sur les autres.

- L'âne frotte l'âne.

- Aucun miroir n'a jamais reflété une femme laide.

- Aucun prophète n'est bien reçu en sa patrie.

- Aux grands hommes, la Patrie reconnaissante.

- Avant que le coq chante, tu me renieras trois fois.

- Avec une bourse au cou, personne ne peut être pendu.

- Beaucoup de premiers seront derniers, et de derniers seront premiers.

- Bref, la foi, l'espérance et la charité demeurent toutes les trois, mais la plus grande d'entre elles, c'est la charité.

- C'est pourquoi l'homme quitte son père et sa mère et s'attache à sa femme, et ils deviennent une seule chair.

- C'était un gentilhomme, ses chiens l'aimaient beaucoup.

- Car beaucoup sont appelés, mais peu sont élus.

- Ce n'est pas le puits qui est trop profond, mais c'est la corde qui est trop courte.

- Ce qu'il y a de meilleur dans la littérature soviétique, c'est le lecteur.

- Celui qui mange l'estomac plein, creuse sa tombe avec ses dents.

- Celui qui n'est pas avec moi est contre moi.

- Cessez de juger sur l'apparence. Jugez avec équité.

- Comme ils insistaient, il se redressa et leur dit : "Que celui de vous qui est sans péché lui jette la première pierre !"

- Comme le chien revient à son vomissement, le sot retourne à sa folie.

- D'un homme on peut faire un flic, une brique, un para, et l'on ne pourrait en faire un homme ?

- Des goûts et des couleurs il ne faut pas discuter.

- Le chef ne s'occupe pas des vétilles.

- De sa naissance à ses 18 ans, il faut qu'elle ait de bons parents. De 18 à 35 ans, il faut qu'elle ait un physique agréable. De 35 à 55 ans, il lui faut de la personnalité. A partir de 55 ans, il lui faut de l'argent.

- Déboutonnez votre cerveau aussi souvent que votre braguette.

- Demandez et l'on vous donnera; cherchez et vous trouverez; frappez et l'on vous ouvrira.

- Diviser pour régner.

- Efforcez vous d'entrer par la porte étroite.

- Elles ont une bouche et ne parlent pas, elles ont des yeux et ne voient pas, elles ont des oreilles et n'entendent pas.

- En cas de chute l'un relève l'autre ; mais tant pis pour l'isolé qui tombe, sans personne pour le relever !

- Enfants, obéissez en tout à vos parents, c'est cela qui est beau dans le Seigneur. Parents, n'exaspérez pas vos enfants de peur qu'ils ne se découragent.

- Et ce que je vous dis à vous, je le dis à tous : "Veillez."

- Et la vérité vous fera libres.

- Exagérer, c'est commencer d'inventer.

- Fais bien et ne crains point les hommes ; N'écris pas et ne crains point les femmes.

- Faites-vous des semailles de justice, moissonnez une récolte de bonté.

- Fortune hâtive va diminuant ; qui amasse peu à peu s'enrichit.

- Heureux les pauvres en esprit, car le Royaume des Cieux est à eux.

- Il est bien fou celui qui prête son attention à parole de femme.

- Il est toujours plus tard que tu ne crois.

- Il faut systématiquement explorer le hasard.

- Il n'y a pas de situations désespérées ; il y a seulement des hommes qui désespèrent des situations.

- Il ne peut pas pleuvoir chez le voisin sans que nous ayons les pieds mouillés.

- Ils sèment le vent, ils récolteront la tempête.

- Le coupable est celui à qui le délit profite.

- J'emmerde la société mais elle me le rend bien.

- Je ne prends pas plaisir à la mort du méchant, mais au retour du méchant qui change de voie pour avoir la vie.

- Je tiens mon âme en paix et en silence, comme un enfant contre sa mère.

- Le droit est l'art du bien et du juste.

- L'âme n'a pas de secret que la conduite ne révèle.

- L'anarchie c'est Je.

- L'enfantillage, c'est la honte des hommes face à la vie au sortir du néant.

- L'habit d'un homme proclame ce qu'il fait, sa démarche révèle ce qu'il est.

- L'homme n'est que mensonge.

- L'infini n'a pas d'accent.

- La brise souffle et les branches se balancent : que ceux qui s'aiment dorment en paix !

- La chose difficile, nous la faisons immédiatement ; l'impossible prend un peu plus de temps.

- La femme est un lien aux pieds, l'enfant un frein à la bouche.

- La forêt précède l'homme, le désert le suit.

- La langue est un membre minuscule et elle peut se glorifier de grandes choses ! Voyez quel petit feu embrase une immense forêt : la langue aussi est un feu.

- La lettre tue, l'esprit vivifie.

- La méchanceté d'un homme fait de lui un démon, la méchanceté d'une femme fait d'elle un enfer.

- La terre est une mère qui ne meurt jamais.

- La tête d'un pauvre buveur tourne après deux coupes ; Un homme vain perd son équilibre avec une petite flatterie.

- La tête porte les pieds.

- La voie des humains n'est pas en leur pouvoir, et il n'est pas donné à l'homme qui marche de diriger ses pas !

- Laver son linge sale en famille.

- Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point.

- Le lierre meurt où il s'attache.

- Le mariage, ce sont les parents qui en rêvent.

- Le monde est un mauvais génie pour la science, la science est le mauvais génie pour le monde.

- Le péché, c'est comme la vertu; il ne faut pas en abuser.

- Les murs ont des oreilles, vos oreilles ont des murs.

- Les réserves imposées au plaisir excitent le plaisir de vivre sans réserve.

- Malheur à ceux qui se croient des sages et s'estiment très malins !

- Malheur à vous quand tout le monde dira du bien de vous ! C'est bien de cette manière que leurs pères traitaient les faux prophètes.

- Malheur à vous qui êtes repus maintenant, car vous aurez faim !

- Malheur à vous qui riez maintenant, car vous connaîtrez le deuil et les larmes ! Malheur au monde à cause des scandales ! Il est fatal, certes, qu'il arrive des scandales, mais malheur à l'homme par qui le scandale arrive !

- Médecin, guéris toi-même.

- Mieux vaut écouter la semonce du sage qu'écouter le chant du fou.

- Mieux vaut une portion de légumes avec l'affection qu'un bœuf gras avec la haine.

- Mourir c'est un siècle, souffrir c'est une persécution.

- N'est pas sage qui a peur du fou.

- On naît poète, on devient orateur.

- Ne changeons pas d'employeurs, changeons l'emploi de la vie.

- Ne courrez jamais après un autobus ni après une femme, il en arrive toujours d'autres dans les cinq minutes.

- Ne dispute pas avec un beau parleur, ne mets pas de bois sur le feu.

- Ne donnez pas aux chiens ce qui est sacré, ne jetez pas vos perles devant les porcs.

- Ne jugez pas le grain de poivre d'après sa petite taille, goûtez-le et vous sentirez comme il pique.

- Ne jugez pas, pour n'être pas jugés.

- Ne me libère pas, je m'en charge.

- Ne prenez pas la vie trop au sérieux, vous n'en sortirez pas vivant.

- Ne vous emmerdez pas ; merdifiez.

- Nous, nés d'hier, nous ne savons rien, notre vie sur terre passe comme une ombre.

- Nul ne peut être puni qu'en vertu d'une loi.

- On est toujours le monstre de quelqu'un.

- On n'efface pas la vérité, ni d'ailleurs le mensonge.

- On ne chasse pas les idées fausses avec un bâton.

- On ne met pas du vin nouveau dans de vieilles outres.

- On peut guérir d'un coup d'épée, mais guère d'un coup de langue.

- Où il y a des figues, il y a des amis.

- Par-dessus tout, la charité, en laquelle se noue la perfection.

- Subis la loi que toi-même as faite.

- Peu importe où j'irai après la mort, car, des deux côtés, j'ai des amis qui m'attendent.

- Plante qui veut, élève qui peut.

- Plutôt la mort que le déshonneur.

- Quand on est jeune, on aime en fou ; quand on est vieux, qui aime est fou.

- Quand on sait ce qu'on sait, quand on voit ce qu'on voit, on a raison de penser ce qu'on pense.

- Que le soleil ne se couche pas sur votre colère.

- Qui sème chichement moissonnera chichement ; qui sème largement moissonnera largement.

- Qui verse le sang de l'homme, par l'homme aura son sang versé.

- Quiconque s'élèvera sera abaissé, et quiconque s'abaissera sera élevé.

- Restez toujours joyeux.

- S'engager porte malheur.

- S'il faut se vanter, c'est de ma faiblesse que je me vanterai.

- S'il t'est pénible de critiquer tes amis, tu peux le faire la conscience tranquille. Mais si tu y éprouves le moindre plaisir, alors tais-toi !

- Si besoin était de recourir à la force, ne restez pas au milieu.

- Si quelqu'un ne veut pas travailler, qu'il ne mange pas non plus.

- Si tu veux te faire un ami, commence par l'éprouver et ne te hâte pas de te confier à lui.

- Si un aveugle guide un aveugle, tous les deux tomberont dans un trou.

- Si tu veux la paix, prépare la guerre.

- Si vous avez perdu au tiercé, vengez-vous. Mangez du cheval.

- Soyez réalistes, demandez l'impossible.

- Supporte et abstiens-toi.

- Tous ceux qui prennent le glaive périront par le glaive.

- Tout est pur pour les purs.

- Toute comparaison est odieuse.

- Toutes les fleurs de l'avenir sont dans les semences d'aujourd'hui.

- Un baiser sans moustache est comme un beefsteack sans moutarde.

- Un chien vivant vaut mieux qu'un lion mort.

- Un homme modeste apprend dix choses et en croit une ; un homme complaisant apprend une chose et en croit dix.

- Un jour de loisir, c'est un jour d'immortalité.

- Une femme parfaite, qui la trouvera ? Elle a bien plus de prix que les perles.

- Une montée sablonneuse sous les pas d'un vieillard : telle est une femme bavarde pour un homme tranquille.

- Vous pouvez échapper à la critique en ne disant rien, en ne faisant rien, en n'étant rien !

- L'argent c'est comme du fumier : s'il est amassé, il pourrit ; s'il est étalé, il permet d'améliorer les cultures.

- Les hommes veulent toujours être le premier amour d'une femme. Les femmes sont plus sages... Elles préfèrent être le dernier amour d'un homme.

- Jour après jour, c'est un bon jour.

- Quand tu arrives au sommet de la montagne, continue de grimper.

- L'éducation consiste à comprendre l'enfant tel qu'il est, sans lui imposer l'image de ce que nous pensons qu'il devrait être.

- Espérer, c'est désirer sans jouir, désirer sans savoir, désirer sans pouvoir.

- Vieille amitié ne craint pas rouille.

- On ne peut changer personne contre sa volonté ; on ne peut qu'extérioriser ce qu'il a en lui.

- Il se trouve des hommes qui refusent plus honnêtement que d'autres ne savent donner.

- Si tu n'as rien à te reprocher, on mettra ton corps en prison mais ton esprit restera libre.

- Aimer, c'est savoir tout donner à ceux que l'on aime et c'est ce qu'une maman ne cesse de faire.

- Quand tu lances la flèche de la vérité, trempes-la dans du miel.

- Qui cherche un ami sans défauts, reste sans ami.

- La bonne volonté raccourcit le chemin.

- Qui jette des orties chez son voisin, les verra pousser dans son jardin.

- L'esprit ne se sème pas, pourtant il se cultive.

- Le sage ne dit pas ce qu'il sait, le sot ne sait pas ce qu'il dit.

- Ce que tu veux dire, dis-le demain.

- Quand tu ris, tout le monde le remarque, quand tu pleures, personne ne le voit.

- Tu dis ton secret à ton ami, mais ton ami a un ami aussi...

- Que le coq chante ou non, le jour se lève.

- C'est par son caquetage que la poule fait découvrir l'œuf.

- L'éloge des absents se fait sans flatterie...

- "Si" et "Quand" étant plantés, il poussa "Rien."

- Après l'orage, vient le calme.

- Les plus belles images sont celles qu'on a en soi.

- Une solution dictée par un tiers ne vaut pas celle que l'on a mûrie soi-même.

- Le chemin, c'est aussi ne penser à rien, prendre son temps, tout oublier.

- Pour recevoir, il faut apprendre à donner.

- Avoir de l'instruction, ce n'est pas se reposer sur une machine, mais maîtriser un ensemble de faits et de techniques.

- Ne jamais s'endormir en brouille.

- Vous devez accepter la vie comme elle se présente, mais vous devriez essayer de faire en sorte qu'elle se présente comme vous aimeriez qu'elle soit.

- Évite les causes de tristesse ou de maladie.

- Mon fils, attache-toi à l'intelligence et à la réflexion, ne t'en détourne jamais. Elles te feront vivre une vie véritable et belle.

- Un cœur joyeux est un excellent remède, mais l'esprit déprimé dessèche les membres.

- Le soir, tu te coucheras sans peur, et la nuit, ton sommeil sera paisible.

- Mieux vaut être patient que puissant.

- Ce qui attire dans un homme c'est sa bonté.

- Faire du bien aux autres, c'est s'en faire à soi-même, mais se montrer cruel, c'est se rendre malheureux.

- L'orgueil précède la ruine ; un esprit fier est le signe précurseur de la chute.

- Le plus grand signe de la noblesse est la maîtrise de soi, elle confère plus de dignité au roi que sa couronne.

- Il l'a fait parce qu'il ne savait pas que c'était impossible.

- Celui qui aime est patient, il sait attendre ; son cœur est largement ouvert aux autres.

- Aimer, c'est aussi se conduire avec droiture et tact. L'amour prend des égards et évite de blesser ou de scandaliser, il n'est pas dédaigneux.

- Si un ennemi vous embrasse, prenez garde à vous. Mais un ami qui vous blesse vous prouve par là sa fidélité.

- Fais aux autres ce que tu aimerais qu'ils fassent pour toi.

- Nous ne pouvons pas empêcher les oiseaux de voler au-dessus de nos têtes, mais nous pouvons les empêcher de faire leur nid sur nos crânes.

- Que tout ce qu'il y a de vrai, de noble, d'honorable, ce qui a une réelle valeur et qui est juste, pur et digne d'être aimé soit l'objet de vos pensées.

- Des paroles aimables sont pareilles au miel qui est agréable au goût et bon pour la santé.

- Ne te laisse pas vaincre par le mal. Sois, au contraire, vainqueur du mal par le bien.

- Si ton ennemi a faim, donne-lui à manger ; s'il a soif, donne-lui à boire.

- L'enfer est souvent pavé de bonnes intentions.

- Fuis, tais-toi, connais le repos.

- Ne jetez pas vos perles aux porcs, ils risqueraient de s'y casser les dents.

- Le soleil n'attend pas qu'on le prie pour faire part de sa lumière et de sa chaleur. Fais de même tout le bien qui dépend de toi sans attendre qu'on te le demande.

- On voit bien ce qu'on regarde.

- La culture est à l'esprit ce que le pain et l'eau sont au ventre.

- Les enfants sont les fleurs du jardin de la vie.

- On ne peut demander aux autres plus que ce qu'ils ne peuvent donner.

- Il y a des femmes tellement laides que c'est excitant quand elles se rhabillent.

- L'ennui naquit un jour de l'uniformité.

- Ce n'est pas le cours de la vie qui m'inquiète, mais le stop à la fin.

- La discipline oblige essentiellement à avoir l'air plus bête que son supérieur.

- Les religions sont des tentatives humaines pour définir l'indéfinissable.

- L'information ne vaut que si elle est partagée par tous.

- Mon ami, quand tu auras enfin compris que seul tu n'es rien, alors tu auras tout compris.

- Parlez moi de ces gens qui par devant vous frottent le dos, et par derrière vous crachent à la figure.

- Bonne renommée vaut mieux que ceinture dorée.

- La vie est comme un champ couvert de neige toute fraîche ; chacun de mes pas révèle mon chemin.

- Quand vous êtes certain d'avoir raison, restez sur votre position et n'en démordez pas.

- Ne craignez pas ceux qui ont de meilleures idées que les vôtres ou qui pourraient être plus intelligents que vous.

- Soyons nous-mêmes ! Ne cherchons pas à masquer les côtés négatifs de notre personnalité.

- Quand on manque de valeurs essentielles, on a tendance à dépendre de facteurs extérieurs - l'apparence ou le statut social - pour se rassurer.

- Le respect de soi et une conscience claire : voilà les composantes essentielles de l'intégrité. Ce sont aussi des qualités indispensables si l'on veut améliorer ses relations avec autrui.

- Une vie de principes, qui ne succombe pas aux sirènes d'une moralité facile, remporte toujours la partie.

- La nature vous a fait, alors laissez faire la nature.

- Qui s'embarrasse à regretter le passé perd le présent et risque l'avenir.

- Malheur à celui qui est seul et qui tombe, s'il n'a personne pour l'aider à se relever.

- Ici comme ailleurs tout est affaire de présentation et de parole juste ! Au fond, faute de parler on meurt idiot.

- Quand on ne sait pas que son lit est dur, on dort bien.

- Ce qui est irremplaçable c'est ce qu'on a à faire et à donner. Si on le donne c'est parfait, si on le garde tant pis.

- Le mariage ce n'est pas la mer à boire, juste la belle-mère à avaler.

- La vie est un désert et la femme est le chameau qui nous aide à le traverser.

- Si tu veux voir comment sera ta femme dans 30 ans, regarde sa mère !

- Si ta femme est trop tendre avec toi c'est qu'elle veut quelque chose ou bien c'est qu'elle la possède déjà !

- Un riche qui ne sait pas dépenser doit être l'objet de tout le mépris.

- Il ne faut pas faire aussi bien que les autres, mais aussi bien que l'on peut faire soi-même.

- Qui défend par amour, triomphe toujours.

- Cela ne coûte rien de parler avec bonté.

- Voir d'abord les qualités avant de critiquer.

- Le temps qui passe n'efface pas les traces. Il rend, au contraire, plus vivace le souvenir.

- La différence n'est inégalité que lorsqu'elle est un privilège de l'un, auquel l'autre ne peut accéder.

- L'énergie intérieure : cette force vitale qui est le moteur de notre existence, de notre enthousiasme, de nos pensées, de notre plaisir, de nos passions, de nos actions. Ses meilleurs alliés ? Des valeurs positives, des émotions agréables et des projets clairs.

- La peur peut freiner l'élan de l'énergie ; peur de ne pas être à la hauteur, peur des autres, peur de l'inconnu, peur de vieillir...

- L'amour est le cœur de l'énergie.

- La peur et l'amour sont les deux forces qui agissent sur le monde.

- S'il n'y a pas de solution, c'est qu'il n'y a pas de problème.

- Qui donne ne doit jamais s'en souvenir ; qui reçoit ne doit jamais l'oublier.

- Prends soin de ton corps pour que ton âme ait envie de l'habiter.

- Pourquoi répéter ce que le Sage a déjà si bien dit !

- Même si on n'est pas une lumière, on finit par s'éteindre.

- Apprendre c'est verser un acompte pour savoir.

- Pardonner, c'est quand, au lieu de passer un savon vous passez l'éponge.

- On ne peut pas aimer ce qu'on ne connaît pas.

- À cheval donné on ne regarde pas les dents !

- Quand on est jeune, il n'est pas temps de se marier ; quand on est vieux, il n'est plus temps... Dans l'intervalle on réfléchit.

- Défiez-vous de votre défiance, elle vous trompe plus souvent qu'on ne vous aurait trompé.

- Il y a l'abus du bon sens, comme il y a l'abus de l'esprit.

On a toujours de bonnes raisons, en vacances, pour allonger ses voyages et pour raccourcir ses lettres.

- Le malheur de l'égalité est que nous ne la voulons qu'avec nos supérieurs.

- Le secret du bonheur consiste plutôt à le donner qu'à l'attendre.

- Pour ce que tu peux faire seul, n'attends l'aide de personne.

- Qui a du cœur a tout.

- Il y a des gens qui se plaignent de tout, même de leurs fautes.

- Les femmes disent que si on pratiquait la vasectomie sur leurs maris, il n'y aurait plus de problèmes de contraception. Peut-être ! Mais ce n'est pas une opération à la portée de toutes les bourses.

- Il ne faut pas traiter un mari comme un insecte importun. Car l'insecte le plus désagréable, c'est souvent un mal nécessaire. Tandis que le mari c'est un même inutile.

- L'amour platonique, c'est conserver les coquilles d'œufs quand les autres savourent l'omelette.

- L'amour platonique, c'est être invité à visiter une cave de champagne pour y boire un verre d'eau minérale.

- L'amour platonique, c'est jouer avec un fusil dont on ignore qu'il est chargé.

- Ici-bas rien ne s'invente, tout se découvre.

- Ceux qui se moquent des goûts sérieux aiment sérieusement les bagatelles.

- Rends le bien pour le mal, et tu verras ton ennemi se changer en protecteur et en ami.

- On ne fait jamais rien sans raison.

- C'est l'amour qui fait avancer, mais non l'inquiétude.

- Une maison sans femme, c'est un violon sans cordes.

- L'argent ne fait pas le bonheur, la misère non plus.

- Un homme parle d'autant moins qu'il possède une intelligence plus pénétrante (IATA ? )

- Si vous donnez de l'avoine à un âne, il vous paiera d'un coup de pied.

- Ce n'est pas à un vieux singe qu'on apprend à faire des grimaces.

- L'argent est un remède à tout mal, hormis à l'avarice.

- Il vaut mieux arriver en retard qu'arriver en corbillard.

- Ne faites pas aux autres ce que vous ne voulez pas qu'on vous fasse à vous-même.

- Un bon avis vaut un œil dans la main.

- Celui qui se contente de ce qu'il a est heureux.

- Il ne faut attendre son bien que de soi-même.

- Tout passera, sauf le bien que tu as fait.

- Rien ne vieillit plus vite qu'un bienfait.

- Nous ne savons pas ou nous allons. Si nous le savions, nous n'irions peut-être pas.

- Les sages ont la bouche dans le cœur, et les fous le cœur dans la bouche.

- Les bons comptes font les bons amis.

- Les cordonniers sont toujours les plus mal chaussés.

- Chacun croit aisément ce qu'il craint et ce qu'il désire.

- Il ne faut pas péter plus haut que le cul.

- Ne remets pas à demain ce que tu peux faire aujourd'hui.

- Qui ne demande rien n'a rien.

- Il n'en coûte rien de demander.

- Les gourmands font leurs fosses avec leurs dents.

- Plus on désire une chose, plus elle se fait attendre.

- Les grands diseurs ne sont pas les grands faiseurs.

- Ce que l'on garde pourrit, ce que l'on donne fleurit.

- Neuf personnes sur dix aiment le chocolat ; la dixième ment.

- Petits enfants, petite peine. Grands enfants, grande peine.

- Celui qui se fâche a deux peines : celle de se fâcher et celle de se remettre.

- Qui ne fait pas quand il peut, ne fait pas quand il veut.

- La plus honnête femme est celle dont on parle le moins.

- De mauvaise femme garde-toi bien, et de bonne ne te fie en rien.

- Il ne faut pas jeter de l'huile sur le feu.

- Le plus fin n'est pas celui qui chante, c'est celui qui écoute.

- C'est en forgeant qu'on devient forgeron.

- Chacun est artisan de sa fortune.

- Il faut faire contre mauvaise fortune bon cœur.

- Il vaut mieux être fou avec tous que sage tout seul.

- Plus on est de fous, plus on rit.

- Il n'y a que les fous qui ne changent pas d'avis.

- Qui ne sait être fou n'est pas sage.

- Dis-moi qui tu fréquentes et je te dirai qui tu es.

- La peur du gendarme est le commencement de la sagesse.

- Morceau avalé n'a plus de goût.

- Des goûts et des couleurs, on ne discute pas.

- L'argent est le nerf de la guerre.

- L'habitude émousse le plaisir.

- Qui attend les souliers d'un mort risque d'aller pieds nus.

- La science de l'ignorant, c'est de reprendre les choses bien dite.

- Les injures sont les raisons de ceux qui ont tort.

- Le meilleur remède des injures c'est de les mépriser.

- Sage est le juge qui écoute et qui tard juge.

- Jugez les autres comme vous désirez être jugé.

- Il y a assez à faire de regarder ce qui cuit dans sa marmite, sans aller regarder ce qui cuit dans celle du voisin.

- L'amour est aveugle... mais beaucoup préfèrent quand même éteindre la lumière.

- Une femme peut garder n'importe quel secret à condition de ne pas savoir que c'en est un !

- Ancrés en nous, les préjugés nous empêchent de voir la réalité.

- Un homme c'est un peu comme une tempête de neige... On ne sait pas quand il arrive, on ne sait pas combien de centimètres on aura et on ne sait pas combien de temps ça durera !

- À pisser contre le vent, on mouille sa chemise !

- La femme est l'avenir de l'homme et l'homme le présent de la femme.

- C'est à n'y rien comprendre : pour avoir de l'argent devant soi, il faut le mettre de côté !

- Les études en politique, c'est cinq ans de droit et tout le reste de travers !

- Les hommes et les femmes sont faits pour vivre heureux, mais pas ensemble.

- Si vous ne voulez pas savoir ce qu'une femme pense de vous, épousez-la !

- Toute l'intelligence du monde est impuissante contre une idiotie à la mode.

- La vie c'est comme le football, seul le résultat compte !

- Un malentendu dans le mariage : une femme épouse un homme dans l'espoir qu'il changera et il ne change pas ; un homme épouse une femme dans l'espoir qu'elle ne changera pas et pourtant elle change !

- Il vaut mieux naître le jour des morts que mourir le jour de sa naissance.

- Les fonctionnaires sont les meilleurs maris du monde : quand ils rentrent à la maison, ils ne sont pas du tout fatigués et ils ont déjà lu le journal.

- Lorsqu'un couple se dispute, une femme a toujours le dernier mot. Tout ce qu'un homme peut dire après n'est que le commencement d'une nouvelle dispute.

- L'humour, contrairement à ce que l'on pourrait croire, est une manifestation de l'intelligence et doit, à ce titre, être pris au sérieux.

- Les fils n'en finissent pas de payer pour les péchés de leurs pères.

- L'hôpital est un établissement public où les malades ont leurs maux à dire.

- On fait toujours plaisir aux gens quand on va les voir. Si ce n'est en arrivant, c'est en partant !

- Un passage à niveau est une barrière qui empêche les trains d'aller sur les routes.