COLUCHE

« Pensées et anecdotes »

- Il faut se méfier des comiques, parce que quelquefois ils disent des choses pour plaisanter.

- Je ferai aimablement remarquer aux hommes politiques qui me prennent pour un rigolo que ce n'est pas moi qui ai commencé.

- Je crois que la grande différence qu'il y a entre les oiseaux et les hommes politiques, c'est que de temps en temps, les oiseaux s'arrêtent de voler.

- La droite vend des promesses et ne les tient pas, la gauche vend de l'espoir et le brise.

- Homme politique, un métier difficile ? C'est pas vrai ! Les études, c'est très simple, c'est cinq ans de droit et tout le reste de travers.

- Moi, les hommes politiques, j'appelle ça des timbres. De face, ils vous sourient, ils sont figés. Mais si jamais vous leur passez la main dans le dos, alors là, ça colle !

- La moitié des hommes politiques sont des bons à rien. Les autres sont prêts à tout.

- Si tous ceux qui n'ont rien n'en demandaient pas plus, il serait bien facile de contenter tout le monde.

- Puisqu'on ne peut plus rien dire sans vexer les uns ou les autres, je ne dirai plus rien, ni contre l'armée ni contre personne. Je ne m'en prendrai désormais qu'aux sourds... Oui, j'emmerde les sourds !

- Avec ma femme, on a des relations sexuelles. Mais dans l'ensemble y viennent pas souvent.

- Les femmes préfèrent les hommes qui les prennent sans les comprendre aux hommes qui les comprennent sans les prendre.

- Un jour je me suis dit qu'il fallait absolument que j'aille voir ailleurs si j'y étais. Sans rire ! C'était ma seule chance de me trouver.

- Franchement, je suis capable du meilleur comme du pire, mais, dans le pire, c'est moi le meilleur.

- Pour critiquer les gens, il faut les connaître et pour les connaître il faut les aimer.

- La grossièreté vise à choquer ceux qui n'en rient pas pour faire rire deux fois plus les autres.

- De tous ceux qui n'ont rien à dire, les plus agréables sont ceux qui se taisent.

- On croit que les rêves sont faits pour être réalisés. C'est le problème des rêves. Les rêves sont faits pour être rêvés.

- On ne m'enlèvera pas de l'idée que la connerie est une forme d'intelligence.

- Proverbe porc : Ne faites pas aux truies ce que vous ne voudriez pas qu'elles vous fassent.

- Je voulais vous raconter une histoire de boomerang mais je ne m'en rappelle plus. Enfin, c'est pas grave, ça va me revenir.

- L'instabilité est nécessaire pour progresser. Si on reste sur place, on recule.

- C'est pas le tout d'avoir des bagages, encore faut-il savoir où les poser.

- Se pencher sur son passé, c'est risquer de tomber dans l'oubli.

- Si vous ne faites pas aujourd'hui ce que vous avez dans la tête, demain, vous l'aurez dans le cul.

- Les portes de l'avenir sont ouvertes à ceux qui savent les pousser.

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« L'horreur est humaine »

- Un alcoolique, c'est quelqu'un que vous n'aimez pas et qui boit autant que vous.

- Il n'y a pas de femmes frigides. Il n'y a que des mauvaises langues.

- Moi je dis que les femmes seront vraiment les égales des hommes le jour où elles accepteront d'être chauves et de trouver ça distingué.

- L'argent ne fait pas le bonheur des pauvres.

- Quel est, selon vous, le comble de la misère ? C'est un mec qui, quelle que soit sa condition sociale, se croit plus malin qu'il n'est.

- Ca fait beaucoup marrer les gens de voir qu'on peut se moquer de la politique, alors que, dans l'ensemble, c'est surtout la politique qui se moque de nous.

- C'est pas parce qu'ils sont nombreux à avoir tort qu'ils ont raison.

- La bonne volonté n'a jamais remplacé le talent.

- Qui prête aux pauvres, prête à rire.

- Le meilleur moyen d'enrayer l'hémorragie des accidents de travail est sans doute d'arrêter de travailler. Ce qui aurait malheureusement pour conséquence immédiate d'augmenter les accidents de vacances.

- Les technocrates, si on leur donnait le Sahara, dans cinq ans il faudrait qu'ils achètent le sable ailleurs.

- La jeunesse a le grand tort de se croire indispensable : mais, sans les personnes âgées, il n'y aurait pas de jeunes.

- La merde, j'en fais et j'en mange pas. Alors, la politique, c'est pas parce que j'en consomme que je ne dois pas en faire...

- Le temps passe et les œufs durs !

- Le succès, ça rend modeste quand t'es pas trop con. Et grâce à lui, tu rencontres des tas de surdoués qui n'y accèdent jamais.

- Je n'ai jamais été simple. Je ne vois pas pourquoi la gloire me ferait changer.

- Mon seul domaine à moi, c'est la vie, je ne connais rien d'autre.

- Si on voulait me décerner la Légion d'honneur, j'irais en slip, pour qu'ils ne sachent pas où la mettre.

- Les comiques ne sont jamais drôles dans la vie, sauf moi.

- Si j'en ai l'occasion, j'aimerais mieux mourir de mon vivant !

- Si on en profitait pour s'emmerder à chaque fois que c'est triste, eh bien, ce ne serait pas gai.

- À chaque fois que je vois une femme qui me plaît, soit c'est elle qui est mariée, soit c'est moi.

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« Et vous trouvez ça drôle ? »

- On me reproche deux choses : de dire quelquefois la vérité et de tenir des propos en dessous de la ceinture. Je dirai au contraire que pour la vérité on fait ceinture, et on est toujours en dessous de la vérité.

- S'il y a des mecs qui ont du pognon et qui sont emmerdés parce que l'argent ne fait pas le bonheur, ils n'ont qu'à le dire : on trouvera toujours des pauvres assez cons pour le leur piquer.

- Le mariage, c'est souvent le coup de foudre. On s'est plu, on s'est plu, on s'est plu, puis à la fin on sait plus !

- J'ai commencé par être chanteur, mais j'ai été plus honnête que ceux qui ont continué, moi j'ai arrêté.

- Les oreilles sont les poignées des gosses.

- Voler c'est quand on a trouvé un objet avant qu'il soit perdu.

- On dira ce qu'on voudra mais se moquer de quelqu'un c'est quand même une manière comme une autre de se foutre de sa gueule !

- La météorologie est une science exacte, le problème c'est que les météorologues ne la connaissent pas.

- On fait pas d'aveugles sans casser des yeux.

- Les gens qui disent que je suis grossier ont raison. Je suis exactement grossier, et je me trouve même un peu seul. L'irrespect se perd et on se fout pas assez de la gueule des cons.

- L'homme s'est mis en société pour lutter contre l'ennui et depuis il s'emmerde !

- Vous savez la différence entre un ouvrier et un patron ? L'ouvrier c'est celui qui sait comment on travaille, le patron c'est celui qui sait pourquoi on travaille !

- Il faut prendre la misère comme une philosophie et vous dire que l'argent fait sûrement le bonheur. De ceux qui en ont.

- Je suis la manivelle des pauvres : je leur remonte le moral.

- Le principe fondamental de notre métier est qu'il ne faut connaître personne, il faut être connu de tout le monde.

- Moi, j'ai jamais travaillé. Vous savez à quoi on reconnaît le travail ? C'est mal payé, c'est chiant et c'est long. Moi ce que je fais, c'est bien payé, c'est court et je me marre ! Enfoirés, excusez-nous !

- Je m'amuse où les autres travaillent, contrairement au gynécologue qui, lui, travaille là où les autres s'amusent !

- On n'est pas payé pour ce qu'on vaut mais pour ce qu'on rapporte.

- On dit qu'il vaut mieux faire envie que pitié, mais il est pas rare de s'apercevoir qu'en général, on fait envie à ceux qui font pitié !

- L'anniversaire c'est un moment où on s'achète des choses qui ne servent à rien pour en foutre plein la vue à des gens qu'on peut pas voir.

- Je veux bien faire des réponses intelligentes mais posez pas des questions idiotes.

- Heureusement qu'il y a la réalité de tous les jours pour nous distraire de toutes les cochonneries qu'on entend à la radio et qu'on voit dans les journaux !

- La télé, à la rigueur je veux bien en faire, mais je veux pas la regarder !

- J'aime bien l'amour tel qu'on le pense, mais j'aime aussi l'amour tel qu'on le fait.

- J'ai l'impression que c'est pas quand on a fait dans son pantalon qu'il convient de serrer les fesses.

- La France c'est formidable parce que c'est le seul pays où ils nous entubent et où on peut le dire.

- Ils sont pas mauvais les Français dès que les autres sont pires.

- J'ai l'esprit large et je n'admets pas qu'on dise le contraire.

- Je suis pas superstitieux. Ça porte malheur.

- Quand une plaisanterie a besoin d'explications, c'est qu'il valait mieux pas la faire.

- Le nouveau-né, c'est le dernier venu !

- Les parents d'élèves sont contre l'éducation sexuelle dans les écoles primaires. Forcément, tout ce qu'on apprend à l'école, on en est dégoûté à vie.

- Le travail c'est bien une maladie, puisqu'il y a une médecine du travail.

- Une fille de joie est là pour consommer les hommes de peine.

- Tu sais quand on devient vieux ? Quand il nous faut toute une nuit pour faire ce qu'avant on faisait toute la nuit !

- Quand les filles ont les yeux cernés, c'est que la place est prise.

- Mesdames, un conseil : si vous cherchez un homme beau, riche et intelligent, n'hésitez pas, prenez-en trois !

- Il y a une majorité silencieuse en France il paraît. Moi je trouve plutôt que les cons ouvrent beaucoup leur gueule, mais enfin...

- En matière de loi, y a deux catégories d'emmerdeurs : ceux qui les appliquent et ceux qui les appliquent pas.

- Un innocent en France, c'est un coupable qui ne risque rien.

- En politique la différence entre un traître et un converti ? Un traître c'est quelqu'un de votre parti qui va dans un autre et un converti c'est quelqu'un d'un autre parti qui arrive dans le vôtre. Ça n'a rien à voir.

- On chuchote à l'Assemblée : je me suis mouillé dans une affaire, je suis complètement à sec, j'ai besoin de liquide !

- Si on en profitait pour s'emmerder à chaque fois que c'est triste, eh bien, ça ne serait pas gai !

- Je veux bien faire un accord avec les hommes politiques : qu'ils arrêtent de dire des mensonges sur ce qui nous concerne et moi j'arrêterai de dire la vérité sur eux.

- C'est pas parce qu'on dit la vérité qu'on dit du mal et c'est pas parce qu'on dit du mal qu'on dit la vérité !

- L'art de dire la vérité sans mentir, c'est fermer sa gueule.

- Vous savez que c'est pas parce que vous êtes flics que vous êtes cons, c'est parce que vous êtes cons que vous êtes flics !

- Fonctionnaire c'est un peu comme bouquin dans une bibliothèque : plus t'es placé haut moins souvent tu sers !

- Ce n'est pas ce qu'on dit qui est important, c'est ce que les autres comprennent qui est important.

- Le meilleur moyen de répondre à un mauvais argument, c'est de le laisser se développer jusqu'à la fin.

- L'intelligence d'un discours dépend surtout de celui qui écoute.

- L'histoire se répète, c'est dommage que ce soit nous qui payons les répétitions.

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- L'humour est toujours contre le pouvoir.

- La liberté, c'est un mot qui a fait le tour du monde et qui n'en est pas revenu.

- La raison d'État, c'est des tas de raisons.

- On ne devient pas grossier comme ça, faut s'entraîner.

- Y'a des gens qui ont des enfants parce qu'ils n'ont pas les moyens de s'offrir un chien.

- Les hommes politiques font le même métier que moi sauf qu'ils mettent moins de rouge sur le nez.

- Le tennis, c'est comme le ping-pong, sauf que les joueurs sont debout sur la table.

- Tout le monde a des idées : la preuve, c'est qu'il y en a de mauvaises.

- Le Tour de France, il serait moins dur à faire sans le vélo que sans le dopage. Et encore, il faudrait qu'il fasse beau !

- Aucun cheval de course n'est capable de filer aussi vite que l'argent qu'on a misé sur lui.

- Faire un malheur au théâtre, c'est faire plein de petits bonheurs.

- La bigamie, c'est quand on a deux femmes ; la monotonie, c'est quand on n'en a qu'une !

- L'âge ingrat, chez les filles, c'est quand elles sont trop grandes pour compter sur leurs doigts et trop petites pour compter sur leurs jambes.

- J'ai un copain qui a fait un mariage d'amour. Il a épousé une femme riche. Il aimait l'argent.

- Le plus dur, c'est pas d'arriver au sommet, c'est d'y être.

- Si vous avez besoin de quelque chose, appelez-moi. Je vous dirai comment vous en passer.

- Que les sportifs arrêtent le doping... On aura l'air malin devant nos téléviseurs en attendant qu'ils battent les records.

- Je ne suis pas allé partout, mais je suis revenu de tout.

- On ne peut pas dire la vérité à la télé : il y a trop de monde qui regarde.

- Ce ne sont pas ceux qui courent le plus vite qui sont les plus pressés.

- Dieu a dit : "Je partage, les riches auront à manger, les pauvres auront de l'appétit".

- Il y aura des homme grands, des hommes petits, des hommes beaux, des hommes moches, des hommes blancs, des hommes noirs, il y en aura même qui seront petits, moches et noirs et ça sera très dur pour eux.

- Alors, si j'ai bien lu Freud, hum, le monde aurait deux problèmes : le cul et le fric. Sachant que tout le monde a un cul, occupons-nous du fric.

- Le doyen des facultés n'a plus toutes les siennes, il vend de l'intelligence mais n'a même pas un échantillon sur lui.

- L'intelligence, c'est pas sorcier, il suffit de penser à une connerie et de dire l'inverse.

- La supériorité de la télévision sur la radio : vous n'entendez pas seulement les parasites mais vous les voyez.

- Le problème avec les gens, c'est que, quand on leur dit qu'il y a trois cents milliards d'étoiles, ils nous croient, mais quand on leur dit que la peinture est fraîche, il faut qu'ils mettent le doigt sur le mur pour vérifier.

- J'échangerais bien deux vieilles contre Deneuve.

- Si on ne peut plus rire des trucs sérieux, de quoi va-t-on rire ?

- Je suis allé à l'école jusqu'à treize ans, j'ai raté le certificat d'études primaires, parce que l'expression ne me plaisait pas. Je ne voulais pas posséder un truc primaire.

- À quinze ans, on s'est demandé ce qu'on allait foutre dans la vie. Les uns pensaient volontiers voleurs, les autres commerçants, puisque les commerçants sont des voleurs qui ont le droit de l'être.

- Un chef, c'est un type qui a une mentalité d'employé, mais qui ne veut pas le rester.

- La lune est habitée, la preuve, c'est allumé tous les soirs.

- C'est une femme tellement moche qu'ils l'ont acceptée dans un club de nudistes uniquement à condition qu'elle se mette une feuille de vigne sur la tête !

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« Ça roule, ma poule »

- Le succès, faut pas croire, c'est une question de chance, tous les ratés vous le diront.

- La principale règle du face-à-face politique, c'est de traiter de menteur celui à qui l'on ment.

- Ils me font rire les politiques à dire qu'il faudrait changer le cadre de vie - ils feraient mieux de commencer par changer la toile !

- Le problème avec nos élections, c'est que le résultat compte pour les hommes politiques, pas pour nous.

- L'intelligence, c'est pas sorcier, il suffit de penser à une connerie et de dire l'inverse.

- Le soutien-gorge est un véritable et indispensable outil républicain : ça soutient la gauche, ça soutient la droite, et ça évite le ballottage.

- Avoir mauvais goût, c'est toujours mieux que de ne pas en avoir du tout.

- L'argent n'a pas d'importance quand on en a beaucoup.

- Je dis souvent des conneries en politique, mais au moins, moi, c'est parce que j'y connais rien.

- Tous les hommes naissent libres et égaux en droits, c'est seulement après qu'on choisit ceux qui porteront un képi.

- Y a beaucoup d'écrivains qui feraient mieux d'écrire sur un papier beaucoup plus fin et de vendre leur livre avec un truc pour l'accrocher dans les toilettes !

- Sécurité et liberté, c'est plus et moins : plus de sécurité pour les riches, moins de liberté pour les pauvres !

- Il ne faut pas croire que tous les policiers sont intelligents : ce serait généraliser.

- On a pas besoin d'être riche et célèbre pour être heureux, il suffit d'être riche.

- L'homme et la femme sont comme les deux faces d'une même médaille, ils ne peuvent pas se voir, mais ils restent ensemble !

- La bonne santé n'est que la plus lente des façons de mourir.

- On dit que j'ai du talent. Quand je serai mort, on dira que j'avais du génie. Moi, tant que j'ai du pognon...

- Je me bats contre les pédants, les cons et les tartufes. Je parle des mœurs de mon époque. Et je suis en dessous de la vérité.

- Quand on mange une tartine de beurre, les dents du bas n'ont que du pain sec.

- Le problème avec Dieu, c'est de savoir comment ça marche. Si tu pries pour avoir une bagnole, tu l'auras pas. Mais si tu la piques et qu'ensuite tu pries pour qu'il te pardonne, là ça peut marcher.

- Je vais vous donner la solution idéale pour maigrir : secouer la tête de gauche à droite quand on vous propose un plat.

- De la bigamie, c'est quand on a deux femmes, quand on en n'a qu'une, c'est de la monotonie.

- Peut-on rire de tout ? Ma position sur le sujet, c'est que, si c'est drôle, t'as eu raison de le faire !

- On critique jamais les gens qui font rien, on ne critique que ceux qui font quelque chose.

- Messieurs, ne confondez pas une pute et une salope. Pute, c'est un métier, salope, c'est un trait de caractère.

- Plutôt que de se parfumer de partout, il vaut mieux puer de nulle part.

- On me demande souvent si j'ai l'intention de sortir un bouquin de toutes mes conneries. Honnêtement, je pense pas qu'il y ait une librairie assez grande pour toutes les contenir.

- Pour avoir la chance d'être Premier ministre, faut être un gros qui rassure ou un maigre qui fait peur.

- Bah oui, c'est la crise, c'est-à-dire qu'il va falloir que vous vous passiez de trucs dont vos parents n'avaient pas besoin !

- Le beauf, c'est le mec qui reproche au gouvernement le mauvais temps en été.

- Je parle du cul, je parle du cul, d'accord, mais pas l'hiver... l'hiver, je parle du nez !

- Tout le monde parle du rêve américain ; moi, je veux bien, mais je dis que les mecs, au lieu de dormir, ils feraient mieux de bosser.

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- Quand un artiste dit qu'on ne lui a pas donné sa chance, il devrait aussi compter le nombre de fois où la chance s'est déplacée pour rien...

- La vie est finie quand tu ne surprends plus personne.

- Tant qu'on fait rire, c'est des plaisanteries. Dès que c'est pas drôle, c'est des insultes.

- La franchise ne consiste pas à dire ce qu'on pense, mais à penser ce qu'on dit.

- Tout ce qui m'intéresse, soit ça fait grossir, soit c'est immoral !

- Tous les égouts sont dans la nature.

- Je ne suis pas un nouveau riche, je suis un ancien pauvre.

- Les journalistes ne croient pas les mensonges des hommes politiques, mais ils les répètent, c'est pire.

- Les sondages, c'est pour que les gens sachent ce qu'ils pensent.

- J'ai jamais été grand. J'ai d'abord était petit, puis j'ai tout de suite été gros.

- Napoléon n'était qu'à moitié Corse : il ne croisait qu'un seul bras.

- Le barbecue, en gros, c'est un appareil qui te permet de manger des saucisses pratiquement crues mais avec les doigts bien cuits.

- Mon psychiatre, pour 15 000 francs, il m'a débarrassé de ce que j'avais : 15 000 francs.

- Je pense que les pauvres sont indispensables à la société, à condition qu'ils le restent.

- Dieu, c'est comme le sucre dans le lait chaud. Il est partout et l'on ne le voit pas. Et plus on le cherche, moins on le trouve.

- Un conseil : ne buvez pas d'alcool au volant : vous pourriez en renverser.

- Le plus dur pour les hommes politiques c'est d'avoir la mémoire qu'il faut pour se souvenir de ce qu'il ne faut pas dire.

- La papamobile, c'est « l'Immatriculée conception » : un pape au dessus, seize soupapes en dessous.

- Défense de cueillir des noisettes sous peine d'amandes.

- Un ministre inculpé de corruption de fonctionnaire : il avait donné un sucre à un chien policier.

- Ce n'est pas parce que l'homme a soif d'amour qu'il doit se jeter sur la première gourde.

- Grâce à l'armement nucléaire, puisque nous sommes nés par erreur, peut-être mourrons-nous par erreur.

- Je fais comme on m'a demandé : deux enfants virgule trois. J'en ai eu trois, j'ai pas trouvé la virgule.

- On ne dit pas un stylo noir, on dit un crayon de couleur.

- Vous savez ce que c'est un concours Hippy ? C'est une course de cheveux.

- L'administration en France, c'est très fertile. On plante des fonctionnaires, il y pousse des impôts.

- C'est pas dur la politique comme métier ! Tu fais cinq ans de droit, et tout le reste , c'est de travers.