Paul MORAND

- Louis Aragon a dit de lui : [...] M. Paul Morand, auteur pour boursiers et wagons-lits.

- Philippe Sollers a dit de lui : Parfois, Morand semble écrire un peu n'importe quoi, c'est un surréaliste sec.

- Elle était belle comme la femme d'un autre.

- L'existence d'une très jolie femme ressemble à celle d'un lièvre, le jour de l'ouverture

- Le plus beau voyage que l'on fait ici-bas, c'est celui que l'on fait l'un vers l'autre.

- Tant de femmes se déshabillent sans aimer et tant d'hommes aiment sans se déshabiller !

- Une femme entre dans votre vie, c'est merveilleux. Elle en sort, c'est providentiel.

- C'est déjà bien ennuyeux de ne pas avoir d'argent ; s'il fallait encore s'en priver.

- Que de temps perdu à gagner du temps !

- En amour, être Français, c'est avoir fait la moitié du chemin.

- Elle parlait six langues et ne savait dire "non" dans aucune.

- L'amour n'est pas un sentiment, c'est un art.

- Le patient use toujours l'impatient.

- On peut feindre d'avoir du cœur, pas d'avoir de l'esprit.

- La peur a détruit plus de choses en ce monde que la joie n'en a créées.

- Les miroirs sont des glaces qui ne fondent pas ; ce qui fond, c'est qui s'y mire.

- Les citations sont les béquilles des écrivains infirmes.

- Le temps ne respecte pas ce qui est fait sans lui.