Louis PAUWELS
- L'esprit est comme le parachute : il ne nous sauve que s'il
s'ouvre.
- Un savant sait presque tout sur un peu et un homme ordinaire
apprend un peu sur presque tout.
- Ce que l'on ne sait pas ne diminue pas avec l'augmentation de
ce que l'on sait.
- Il ne s'agit pas de changer l'homme, mais de lui donner le
goût de s'accomplir.
- Est-ce que j'existe réellement ? ... Est-ce qu'il n'existe
pas, au-delà de mon petit moi illusoire, un Grand Moi vrai et
libre ? N'y a-t-il pas une façon supérieure d'exister et un
moyen d'y parvenir ?
- J'ai entendu l'appel commun à toutes les quêtes spirituelles
: "Éveille-toi, dormeur, éveille-toi. Et meurs à
toi-même, pour renaître à un plus haut niveau de l'Être.
- Les esprits sont comme les parachutes. Ils ne fonctionnent que quand ils sont ouverts.
- S'il suffisait de s'installer en position du lotus pour accéder à l'illumination, toutes les grenouilles seraient des bouddhas.
- Il ne faut pas trop compter sur Dieu, mais peut-être que Dieu compte sur nous...
- Je m'émerveille de cet homme de soixante-dix-huit ans. Je lui demande son régime. N'avoir jamais rien regretté. N'avoir jamais rien attendu.
- Comprendre, c'est regarder, s'émerveiller, s'élargir sans cesse.
- Seule la paresse fatigue le cerveau.
- Être, c'est être différent, c'est n'avoir pas de sosie, pas même dans la glace.
- Il n'arrive pas toujours à un homme ce qu'il mérite, mais il lui arrive toujours ce qui lui ressemble.
- La joie de vivre n'est pas un but, mais un devoir.