Monuments, plaques commémoratives diverses et stèles dans NICE (5)

(Classement dans l'ordre des saisies)

 


 

24, rue Lamartine.

Palais Lamartine - La ville de Nice a la particularité de posséder de nombreux immeubles et bâtiments possédant le titre de palais.

 

22, Boulevard Dubouchage.

Villa Dubouchage - La ville de Nice a la particularité de posséder de nombreux immeubles et bâtiments possédant le titre de palais ou autres noms.

 

25, boulevard Dubouchage.

Raoul BRÈS (-1944), intendant, directeur du ravitaillement général.

André DUJAT des ALLIMES (-1944), capitaine, contrôleur départemental du service des viandes.

Membres du service de renseignements L'Alliance.

 

Place Sasserno.

DO-HUU-CHAN, Lieutenant-Colonel, commandant le 363ème Régiment d'Infanterie.

Le 363e régiment d'infanterie (363e RI) est un régiment d'infanterie de l'Armée de terre française constitué en 1914
avec les bataillons de réserve du 163e régiment d'infanterie.
À la mobilisation, chaque régiment d'active créé un régiment de réserve dont le numéro est le sien plus 200.

 

30, rue Pastorelli.

Adrien REY (1865-1959), architecte français. Il est le premier architecte DPLG (Nota: DPLG = Diplômé Par Le Gouvernement) pour les
Alpes-Maritimes. Il est l’auteur de nombreux monuments à Nice, Menton, etc. On lui doit à Nice, par exemple, le séminaire situé à Cimiez (1898)
actuel IUFM, le Palais Meyerbeer (1908), le siège consulaire de la Chambre de Commerce et d'Industrie (1923), le château Sainte-Anne (1928,
détruit depuis), etc. À Menton, on lui doit le marché couvert municipal (1898), l'actuel Musée de préhistoire régionale (1907), le magasin
"les Dames de France" (actuel Nouvelles Galeries).

Michel de TARNOWSKI (1870-1946), sculpteur français. Après la mort de son père en 1886, Tarnowsky s'oriente vers la médecine ainsi que le fera
plus tard son frère George. Il contracte une fièvre typhoïde qui l'oblige à arrêter ses études. Il entre alors à l'école des arts décoratifs de Nice où son
goût pour la sculpture s'affirme très vite. Sa mère, consciente des difficultés de vivre d'un métier artistique, tente de décourager son fils de poursuivre
dans cette voie ; mais le jeune artiste ayant offert une de ses œuvres à sa mère, cette dernière ne s'oppose plus à la vocation artistique de son fils.

Il se rend à Paris où il fréquente l'atelier de Jules Dalou puis d'Alexandre Falguière. Il expose régulièrement au Salon des artistes français de 1894 à 1902.
Il obtient une médaille vermeille en 1899. Par ailleurs il obtient une mention honorable à l'Exposition universelle de 1900. Au tout début du xxe siècle,
il est professeur de sculpture au New York University Institute of Fine Arts. Il réalise divers bustes pour des particuliers et expose en 1903 à New York
au Madison Square Garden. Il rentre en France vers 1910. Il exécute des sculptures pour le fronton de la préfecture des Alpes-Maritimes à Nice,
puis signe le 23 mars 1912 un contrat pour la décoration de la façade de l'hôtel Negresco de Nice.

Pendant la Première Guerre mondiale, il est officier interprète attaché aux armées britanniques : il obtient la Military cross et la Légion d'honneur.
Dès la fin de la guerre, il réalise diverses sculptures pour des monuments aux morts des communes de Nice (Cimiez), Moirans, Cannes et
Sainte-Menehould. Ce dernier monument représente un poilu en sentinelle.

Vers 1939, il cesse toute activité par suite d'une brutale cécité et meurt en 1946.

 

Angle esplanade Kennedy et rue Barla.

Pierre de l'ancien pont inauguré par la reine Victoria le 27 avril 1899 en présence de Paul GRANET, préfet des Alpes-Maritimes
et Honoré SAUVAN (1860-1922), maire de Nice, sénateur des Alpes-Maritimes.

 

Angle esplanade Kennedy et rue Barla.

Francis GIORDAN, 1er adjoint au maire de Nice 1977-1985.

 

Église Don Bosco - Place Don Bosco.

Michel BLAIN et Vincent SIMEONI, curés, cachèrent 50 enfants juifs dans la crypte de cette église de septembre 1943 à août 1944.

 

Église Don Bosco - Place Don Bosco.

Saint Jean BOSCO, ou Don BOSCO : né Giovanni Melchior BOSCO (1815-1888), est un prêtre italien. Il a voué sa vie à l'éducation des
jeunes enfants issus de milieux défavorisés et a fondé, en 1859, la Société de Saint-François de Sales, plus connue sous le nom de congrégation
des salésiens. L'Église catholique romaine l'a déclaré saint en 1934, sous le nom de saint Jean Bosco. Il est fêté le 31 janvier. C'est le saint patron
des éditeurs, des apprentis et des prestidigitateurs.

 

Place Don Bosco, à droite de l'avenue du Maréchal Lyautey.

Sur cette place se trouve la Fondation Don Bosco qui propose un collège privé, un CFA, un lycée général et technologique
et un lycée professionnel.

 

35, boulevard Carabacel.

Paul GROS-LONG, dit Pierre DEVOLUY (1862-1932), est un poète, romancier et journaliste français. Polytechnicien, officier du Génie,
il termine sa carrière avec le grade de colonel. Adjoint au maire de Nice. Il est décédé dans cet immeuble.

 

Crédit Lyonnais - 15, avenue Jean Médecin.

Morts pour la Patrie agence de Nice.

 

34, avenue Denis Séméria.

Joseph MILANO (-1944), cheminot.

Le bombardement du 26 mai 1944 est une opération militaire de l'United States Army Air Forces (USAAF) qui a eu lieu pendant
la Seconde Guerre mondiale, dans le Sud-Est et le Centre-Est de la France.
Cette opération entrait dans le cadre du Transportation Plan, plan d'attaque des voies de communication, destiné à préparer le débarquement
en Normandie, arrêté le 25 mars 1944. Il s'agissait de détruire des infrastructures de chemin de fer, notamment des gares de triage, afin d'empêcher
l'armée allemande d'acheminer des troupes et du matériel vers l'ouest de la France. La méthode était celle des Américains : bombarder de jour,
en volant à haute altitude, pour éviter la DCA, cette méthode étant jugée plus précise que celle de la Royal Air Force du Royaume-Uni,
qui consistait à bombarder de nuit.
Entre 6 et 7 heures du matin, environ 900 avions américains de la 15th USAAF partirent de trois aérodromes de la région de Foggia, dans le Sud de
l'Italie : San Giovanni, Giulia et Stornara (Foggia Airfield Complex). Les bombardements eurent lieu entre 10 et 11 heures du matin, par un ciel clair.
Les objectifs militaires furent fortement touchés, mais l'imprécision du bombardement à haute altitude fit de nombreuses victimes civiles. Les avions
rentrèrent à leur base, avec très peu de pertes, entre 14 et 15 heures.

 

56, boulevard Virgile Barel.

Palais Noradinett - La ville de Nice a la particularité de posséder de nombreux immeubles et bâtiments possédant le titre de palais.

 

9, avenue Charles-Félix Fracchia.

Joseph BÉRARDY (1869-1946), auteur, acteur comique, chansonnier Niçois.

 

Rue Laurent Giaume, depuis le boulevard de l'Armée des Alpes.

Laurent GIAUME (1904-1990), héros de la résistance Niçoise.

La libération de Nice a lieu le 28 août 1944 à la suite d'une insurrection armée décidée par la Résistance. Les insurgés ne sont qu'une centaine au début
de la journée du 28 août, mais l'ampleur qu'a pris le soulèvement en fin de journée pousse l’occupant allemand à évacuer la ville. Les Alliés ne sont pas
au courant de l'insurrection et n'aident donc pas les insurgés. Prévenus par la Résistance, quelques soldats américains arrivent de Saint-Laurent-du-Var
le soir du 29 août. Une colonne blindée américaine arrive enfin le 30 août 1944. Nice est définitivement libérée.

Quartier Riquier, les Allemands mitraillent les rues. Ils fuient à pieds et en voiture par la rue Barla du Centre-ville vers la Moyenne Corniche.
Ils sont sous le feu des résistants depuis les toits et les fenêtres. Un balle frôle les F.T.P.F. César Martini et son frère sous les ordres de Laurent GIAUME.
Leur camarade Raymond Albin est atteint d'une balle dans le ventre. Il est transporté dans l'abri sous la place Arson et décède peu après vers 14 heures30.

 

2, rue Louis Garneray.

Raphaël-Louis BISCHOFFSHEIM (1823-1906), est un banquier, homme politique et mécène français, fondateur de l’Observatoire de Nice.

Député des Alpes-Maritimes de 1881 à 1906. Membre de l'Union républicaine (centre gauche), il soutient les ministères républicains
de Jules Ferry et Léon Gambetta.

Passionné d'astronomie, il apporte en tant que mécène des fonds à l'Observatoire de Paris, l'Observatoire du parc Montsouris et à l'Observatoire
du Pic du Midi ; il fonde l'Observatoire de Nice. Il est élu membre libre de l'Académie des sciences en 1890.

 

Place Auguste Blanqui.

Riquier à ses Glorieux Morts.

 

Place Auguste Blanqui.

Soldats Morts pour la France 1939-1945.

Résistants fusillés.

 

Place Auguste Blanqui.

Victimes du bombardement du 26 mai 1944.

 

2, rue François Guisol.

François GUISOL (1803-1874), est un poète et auteur Niçois. Dès son plus jeune âge, ses parents s’installent à Nice, dans le quartier du port,
au numéro 2 de la rue Lunel (aujourd’hui rue François-Guisol), où il devient le camarade d'enfance du jeune Giuseppe Garibaldi.
Il publie à dix-huit ans un recueil de chansons qui connurent toutes le succès. Doué d'un talent naturel, toujours plein de verve, il était parfois
très mordant. Tanneur de profession, journaliste, il était auteur et acteur. Il a joué la tragédie française au théâtre municipal ; excellent danseur,
il a exécuté sur le même théâtre quelques danses à l'occasion des fêtes données en l'honneur du roi Charles-Félix, en 1826. Ambulant, il allait
dans les festins de la campagne niçoise réciter et chanter ces airs enjoués encore fredonnés de nos jours.

 

15, boulevard du Parc Impérial.

Ermitage Alphonse Karr - La ville de Nice a la particularité de posséder de nombreux immeubles et bâtiments possédant le titre de palais ou autres noms.

Alphonse KARR (1808-1890), journaliste et romancier français. Proscrit, réfugié politique à Nice en 1853 après le coup d'État de 1851.
Il s'installa dans une vaste propriété qui devait se trouver aux alentours de la rue Cluvier actuelle dans le quartier Saint-Philippe, la villa Morel.
Enchanté par le climat hivernal il y aménage un jardin important qui bientôt compte 5000 rosiers et bien d'autres espèces. Il devient ainsi le véritable
promoteur de la production de la fleur coupée pour la consommation locale et pour l'exportation. Prêchant d'exemple, il ouvre une boutique au
jardin public, en collaboration avec une ancienne actrice Madame Duluc. Il eut aussi un jardin à l'emplacement de l'actuel consulat d'Italie et
un autre dans le chemin de Saint-Étienne, ce qui explique la dénomination de la rue Alphonse Karr.

 

Angle boulevard du Parc Impérial et avenue Suzanne Lenglen.

Dans une petite niche.

Un peu d'humour dans un monde de brutes !

 

Square Dr Zamenhof entre la rue Caffarelli et la rue Saint-Philippe.

Ludwik Lejzer ZAMENHOF (1859-1917), de son nom original SAMENHOF (en espéranto : Ludoviko Lazaro Zamenhof, francisé en Louis Lazare Zamenhof),
est un médecin ophtalmologiste polonais. Né dans une famille juive, ses langues d’usage sont le yiddish, le russe et le polonais. Il est connu pour avoir
élaboré la langue construite espéranto dans son ouvrage Langue Internationale, publié en russe le 26 juillet 1887 sous le pseudonyme Doktoro Esperanto
(« le docteur qui espère »). Il fut nommé une douzaine de fois au prix Nobel de la Paix.

Louis-Christophe ZALESKI-ZAMENHOF (1925-), est docteur-ingénieur en construction terrestre et maritime. Il est le petit-fils de
Ludwik Lejzer Zamenhof, initiateur de la langue espéranto.
Louis-Christophe et sa mère échappèrent presque par miracle à la déportation dans les lieux de mort nazis. Jeune adolescent enfermé dans le Ghetto
de Varsovie, il réussit à passer dans la zone polonaise occupée, où il vécut caché sous un faux nom, qu’il a conservé ensuite en mémoire de cette époque.
Son père Adam Zamenhof (1888-1940) a été tué par les nazis dans une exécution de masse de l'intelligentsia polonaise à Palmiry en 1940. Ses deux tantes
sont mortes dans le camp d’extermination de Treblinka. Louis-Christophe Zaleski-Zamenhof vit en France depuis 1960. Sa profession l’a amené à
participer à des constructions innovantes dans le monde entier. En France il a travaillé entre autres à l’élaboration de la Croix de Lorraine du
Mémorial Charles de Gaulle à Colombey-les-Deux-Églises.

 

37 et 39, boulevard Gambetta.

Maison Pascalis - Nice possède de nombreux bâtiments intitulés maisons (ou portant des termes apparentés) et souvent suivis du nom d'un propriétaire.

 

53, boulevard Gambetta.

Gaston LEROUX (1868-1927), journaliste et romancier, surtout connu pour ses romans policiers empreints de fantastique.

 

7, rue Catherine Segurane.

Etienne LAJOUANIE (1905-1954), Lieutenant-Colonel, commandant le Régiment de Corée, ancien Chef de Corps du 22ème B.C.A. à Nice.

 

Place Masséna, angle avenue Félix Faure.

Jacques PEYRAT (1931-), est un avocat et homme politique français.
Il a été député des Alpes-Maritimes de 1986 à 1988 et de 1997 à 1998, maire de Nice de 1995 à 2008, sénateur des Alpes-Maritimes
de 1998 à 2008 et président de la communauté d'agglomération Nice-Côte d'Azur de 2002 à 2008.

 

Promenade des Anglais, au carrefour avec l'avenue de Verdun.

Nouveaux aménagements de la Promenade des Anglais réalisés au moyen de la taxe de séjour versée par les visiteurs étrangers,
Jean MÉDECIN, étant maire de Nice.

Arthur du Royaume-Uni (1850-1942), duc de Connaught, a inauguré les nouveaux aménagements
de la Promenade des Anglais, le 29 janvier 1931.

 

Entre la rue Raoul Bosio et la place du Palais.

Joseph MARRO, avocat.

 

Place du Palais.

Joseph de CASELETTE - 1718.

 

Cours Saleya.

Laurentio GIOAN - 1826.

 

Cours Saleya.

Jean MÉDECIN - 1965.

 

Angle rue Barillerie et rue de la Poissonnerie.

Maria Madalena - 1701.

 

Rue Barillerie, à droite avant la rue de la Poissonnerie.

 

14, rue Barillerie.

La famille BRÉA, qui exerçait le métier de tonnelier dans cette rue, a donné naissance à plusieurs grands peintres :

Louis BRÉA (vers 1450-vers 1522-1525), son neveu François BRÉA (vers 1495-vers 1562).

 

Église Sainte-Rita - 1, rue de la Poissonnerie.

Philippe de BLONAY (1715-1777), gouverneur militaire de Nice.

Sur le pilier gauche du chœur se trouve une plaque commémorative à Philippe de BLONAY, dont la traduction est la suivante :

" Philippe de Blonay, Chevalier de l’Ordre de Jérusalem, illustre par sa noble naissance savoyarde et par les plus hauts grades de l’armée
commandant en chef de la marine royale, d’abord des trirèmes puis des plus grands navires nommé ensuite gouverneur du château de Suse,
de Sassari au-delà de la mer par après enfin pendant qu’il gouvernait militairement Nice et sa province mourut et décida par testament
d’être enterré ici âgé de 61 ans le 5 juin 1777 ".

 

Palais Lascaris - 15, rue Droite.

Le palais Lascaris est une ancienne demeure aristocratique de Nice datant de la première moitié du XVIIème siècle, aujourd'hui un musée
des instruments de musique anciens. Situé au cœur du Vieux-Nice, il abrite une collection d'environ 500 instruments, ce qui en fait, d'après
la mairie de Nice, la deuxième plus importante collection en France.

Construit dans la première moitié du XVIIème siècle puis au XVIIIème siècle, il est jusqu'en 1802 la propriété de la famille Vintimille-Lascaris.
Tombé en décrépitude au début du XXème siècle, le palais est racheté en 1942 par la ville de Nice qui décide d'y aménager un musée des arts et
traditions populaires régionaux. Il fait l'objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 15 février 1946. Les travaux de réhabilitation
débutent en 1963 et s'achèvent en 1970, année de l'ouverture définitive du palais au public. En 2001, les collections instrumentales de la ville
de Nice sont transférées du musée Masséna au palais Lascaris dans le but d'y créer un musée des instruments de musique. En 2011, l'exposition
permanente des instruments de musique anciens est enfin ouverte au public.

 

Cimetière du Château - Colline du château.

À droite en rentrant - Œuvre Nationale du Souvenir Français d'utilité publique fondée en 1887 à Paris par François-Xavier NIESSEN.

 

Cimetière du Château - Colline du château.

À droite avant l'entrée de la chapelle - Annita GARIBALDI, Ana Maria de Jesus Ribeiro (1821-1849), est une personnalité du Risorgimento.
Elle est l'épouse de Giuseppe GARIBALDI, héros de l'Unité italienne, rencontré en 1839, lors de l'exil de ce dernier en Amérique latine.

 

Cimetière du Château - Colline du château.

À gauche avant l'entrée de la chapelle - François ARAGON (1881-1957), architecte en chef de la ville de Nice est inhumé
dans cette chapelle qu'il a édifiée et décorée. Mathilde ARAGON, née GONNET (1895-1978).

 

Cimetière du Château - Colline du château.

Allée Defly - Hyppolite DEFLY (1794-1847), bienfaiteur de la ville de Nice, légua les terrains où fut construit l'hôpital St Roch.

 

Escalier Ménica Rondelly.

Menica RONDELLY (1854-1935), né Francesco-Domenico Rondelly pour son nom de baptême en italien ou François-Dominique Rondelly
en français, est un écrivain et poète niçois, un combattant progressiste aux côtés de Garibaldi, et un symbole de l'identité culturelle niçoise
(identita culturala nissarda) étant l'auteur en 1903 de la chanson Nissa la bella l'hymne en dialecte nissart de Nice et du pays niçois.

Il a écrit de nombreux textes et chansons en langue niçoise dont plusieurs pour le carnaval de Nice. Il est aussi le fondateur en 1900 du journal
La Ratapignata
, c'est-à-dire « la chauve-souris », animal antinomique de l'aiglon figurant dans les armes de Nice. En 1911, il fonde le Comité des
traditions niçoises dont l’une des plus belles réalisations est le monument honorant l'héroïne niçoise Catherine Ségurane. Il sera également
bibliothécaire et conservateur-adjoint du musée d'histoire naturelle de Nice. Ardent et sincère, il fut ce que l’on appelle de nos jours un militant
de l’identité niçoise et un défenseur de la langue d'oc. Il est enterré au cimetière du château.

 

Église Sainte-Claire - Place Sainte-Claire.

Au-dessus porte d'entrée.

Restaurée 1987.

 

Église Sainte-Claire - Place Sainte-Claire.

À droite du chœur - 1840.

 

Église Saint-Augustin - Place Saint-Augustin.

1914 - 1919.

 

Terminal 1 de l'aéroport - À gauche de la porte A 2.

Inauguration de l'aérogare le 2 décembre 1957 par :
- Edouard BONNEFOUS (1907-2007), homme politique français
- Pierre-Jean MOATTI (1912-1984), homme politique français
- Jean MÉDECIN (1890-1965), homme politique français.

 

Terminal 1 de l'aéroport - À gauche de la porte D 3.

Reconnaissance de la ville aux résistants et aux démineurs du terrain d'aviation.

 

Terminal 1 de l'aéroport - À gauche de la porte D 4.

À la mémoire des parachutistes des USA.

 

Terminal 2 de l'aéroport - À droite de la porte D 2.

Inauguration de l'aérogare 2 le 22 mai 1987 par :
- Jacques DOUFFIAGUES (1941-2011), homme politique français
- Jean-Pierre PENSA(1923-), homme politique français
- Jacques MÉDECIN (1928-1998), homme politique français
- Daniel TENENBAUM, directeur généal de l'Aviation civile
- Maurice ESTEVE, président de la Chambre de commerce et d'industrie des Alpes-Maritimes.

En septembre 2011, la passerelle 54 a été inaugurée dans le prolongement du terminal 2, destinée à accueillir de manière plus adéquate
les très gros porteurs. Un A380 de l'avionneur Airbus a participé à cette inauguration.

Des travaux de restructuration des terminaux 1 et 2 se sont achevés respectivement en 2016 en 2017 permettant de réaménager les flux et d'augmenter
les capacités de traitement des passagers en portant l'accueil à 5,5 millions de passagers théoriques au terminal 1 et à 8,5 millions de passagers
théoriques au terminal 2. Ces travaux ont également permis de modifier l'agencement pour un meilleur confort des usagers et de doubler l'offre
commerciale et de restauration des terminaux. Des travaux d'extension vont de nouveau avoir lieu dans les deux terminaux: deux nouvelles passerelles
seront créées au Terminal 1 ainsi qu'une zone d'accueil de 1000 m² environ entre 2018 et 2019. Une extension de plus grande importance du terminal 2
a été actée pour porter l'accueil à 4 millions de passagers supplémentaires avec une livraison progressive entre 2021 et 2023.

 

Cimetière Saint-Barthélémy - 11, Montée Claire Virenque.

1914-1918 - Le Souvenir Français aux Morts pour la France reposant au cimetière Saint-Barthélémy.

 

Cimetière Saint-Barthélémy - 11, Montée Claire Virenque.

Raymond DEUTZ d'ARRAGON SPITALIÉRI de CESSOLE (1918-2011), militaire.

 

Cimetière Saint-Barthélémy - 11, Montée Claire Virenque.

Mathilde SPITALIÉRI de CESSOLE (1836-1912), comtesse, dame de l'Ordre de Thérèse de Bavière, religieuse.

L’ordre de Thérèse (en allemand, Theresien-Orden) est un ordre nobiliaire féminin bavarois fondé le 12 décembre 1827 par la reine
Thérèse de Bavière, épouse du roi Louis Ier, pour récompenser les jeunes femmes nobles chrétiennes et célibataires. Le fait d’appartenir
à l’ordre permettait à celles-ci de recevoir une pension afin vivre dignement jusqu’à leur éventuel mariage.

 

Cimetière Saint-Barthélémy - 11, Montée Claire Virenque.

Raymond Lucien Marie SPITALIÉRI de CESSOLE (1895-1915), engagé volontaire.

 

Cimetière Saint-Barthélémy - 11, Montée Claire Virenque.

Auguste RAYNAUD (1829-1896), homme politique français, maire de Nice sous la Troisième République. Négociant, président du tribunal
de commerce de Nice sous le Second Empire, il commence sa carrière politique en étant élu conseiller général du canton de Nice-Est en juin 1870,
grâce au soutien des républicains et contre le candidat soutenu par le maire de Nice François Malausséna, Victor Clérico. Libéral conservateur,
proche du centre droit, il est élu maire de Nice en mai 1871. Accusé à tort par les républicains d'être « séparatiste », il est battu par
Alfred Borriglione en janvier 1878 et se retire de la vie politique.

 

Église Saint-Antoine-de-Ginestière - 281, route de Saint-Antoine.

Giovanni Pietro SOLA, plus communément appelé Jean-Pierre SOLA (1791-1881), est un prélat catholique franco-sarde,
qui fut évêque de Nice de 1857 à 1877.

Ordonné prêtre le 21 juin 1816, il est docteur en théologie en 1817 et enseigne la théologie au Grand séminaire de Nice de 1816 à 1818.
Curé de Vigone de 1818 à 1857, il est nommé évêque de Nice par le pape Pie IX le 21 décembre 1857 et consacré à Rome le 3 janvier 1858.
En 1860, il participe au succès du plébiscite entérinant l’annexion du comté de Nice à la France. Officier de la légion d’honneur, il soutient
le Second Empire et mène une importante action en faveur des pauvres. Proche de Mgr Dupanloup, libéral, il participe au concile de Vatican I
en 1870. À Nice, il lance la construction de l’église Notre-Dame de Nice, inaugurée en 1868 et approuve le lancement de la Semaine religieuse
du diocèse de Nice, hebdomadaire, le 28 janvier 1872, à l’initiative du baron Dunot de Saint-Maclou. Il participe à la francisation du clergé niçois,
notamment en signant en 1866 une convention avec les lazaristes leur confiant la direction du Grand Séminaire de Nice en 1868. En conflit avec
une partie de son clergé, notamment le chapitre cathédral, et avec l’administration républicaine, il doit démissionner le 12 septembre 1877
sous la pression du gouvernement français et du Saint-Siège, malgré les protestations du maire Alfred Borriglione.

 

Église Saint-Antoine-de-Ginestière - 281, route de Saint-Antoine.

Reconnaissance à St Antoine - 27 - 28 août 1944.

 

Église Saint-Antoine-de-Ginestière - 281, route de Saint-Antoine.

Pierre PIERACCI (1932-1944).

 

241, route de Saint-Antoine.

Eugène GREGORINI (1899-1943).

 

Musée d'Archéologie de Nice-Cimiez - 160, avenue des Arènes.

Pierre de Fondation issue des carrières de La Turbie posée le 13 décembre 1986 par Jacques MÉDECIN,
député maire de Nice, président du Conseil Général des Alpes-Maritimes.

 

Musée d'Archéologie de Nice-Cimiez - 160, avenue des Arènes.

Exposition " 10 ans d'Archéo 2019 " - Reproduction du Reliquaire du Monuments aux Morts de Nice : Aigle en alliage cuivreux contenant
les plaques d'identité des soldats de la 1ère Guerre mondiale. Original découvert le 26 octobre 2018 et exposé à l'Hôtel de ville
les 9 et 10 novembre 2018 (voir précédemment).

 

Église Notre-Dame-de-l'Assomption - Place du Monastère de Cimiez.

À gauche de l'entrée.

Le monastère de Cimiez a été fondé au IXème siècle par les moines bénédictins de l'abbaye de Saint-Pons, et il rassemble l'église
Notre-Dame-de-l'Assomption (XVème siècle) et le musée franciscain qui retrace la vie franciscaine à Nice depuis le XIIIème siècle.
Le plus célèbre des Franciscains de Nice est le frère Marc qui devint le « fray Marcos de Niza » et donna, dit-on, le nom du fondateur
de son ordre au site de la future ville de San Francisco (Californie). Depuis 1546, il est occupé par les Franciscains. Les Franciscains
de Cimiez sont aussi les responsables de la paroisse Sainte-Marie-des-Anges à Nice (Cimiez et Vallon des Fleurs pour Nice, ainsi que
la commune voisine de Falicon). Aujourd'hui, c'est une fraternité de quatre frères venant d'Assise (Italie) qui assure le service à la paroisse
Sainte-Marie-des-Anges. L'ensemble du monastère est classé au titre des Monuments historiques par arrêté du 4 juin 1993. Le sol de l'ancien
jardin et du cimetière sont classés par arrêté du 19 mai 1994.

 

Église Notre-Dame-de-l'Assomption - Place du Monastère de Cimiez.

Au-dessus de l'entrée.

 

Église Notre-Dame-de-l'Assomption - Place du Monastère de Cimiez.

À droite de l'entrée.

 

Église Notre-Dame-de-l'Assomption - Place du Monastère de Cimiez.

Joseph NOVELLA (1805-1872), religieux Franciscain, sacré évêque le 22 mai 1847.

 

Cimetière de Cimiez - Place du Monastère de Cimiez.

Le Souvenir Français aux Morts pour la France 1914-1918.

 

53, avenue de Cimiez.

Traditionnellement, le fils aîné du souverain britannique reçoit le titre de prince de Galles. Il est actuellement porté par Charles du Royaume-Uni,
fils aîné de la reine Élisabeth II. L'actuel prince de Galles porte également les titres de duc de Cornouailles, duc de Rothesay, comte de Chester,
comte de Carrick, Baron Renfrew, Lord des Îles, Prince et Grand Steward d'Écosse. Le titre de comte de Chester est attaché à celui de prince
de Galles depuis le XIVème siècle. Les regalia du prince de Galles sont connus sous le nom « d'honneurs de la principauté de Galles ».

À partir des années 1860, le comté de Nice devient un lieu de villégiature d’hiver privilégié des grandes familles aristocratiques de toute l’Europe.
Parmi celles-ci les Anglais sont les plus nombreux, et, avec l’arrivée du train, c’est le début de la « Belle Époque ». En 1863, la colonie anglaise
donnera une grande fête en l’honneur du mariage du Prince de Galles et de la Princesse Alexandra du Danemark et la Reine Victoria prendra
bientôt ses quartiers d’hiver sur la Colline de Cimiez. C’est donc tout naturellement en l’honneur du fils ainé de la Reine Albert Édouard de
Saxe-Cobourg-Gotha, Prince de Galles et futur roi Edouard VII, que l’on retrouve à Cimiez, d’une part une Avenue Prince de Galles et d’autre
part un Boulevard Edouard VII. Vers 1890, dans la foulée de la construction des nombreux Hôtels-Palais de Cimiez, l’Hotel Prince de Galles
est construit à l’angle du Boulevard de Cimiez et de l’Avenue Prince de Galles. A l’instar de ses majestueux congénères Régina Palace ou
Winter Palace, il ne survivra pas à la 2ème guerre, et sera transformé en appartements en 1947. Le Palais Prince de Galles est aujourd’hui
heureusement conservé dans un excellent état par ses copropriétaires, et fort de son emplacement au cœur du quartier de Cimiez, il en est
l’un des fleurons de l’architecture Belle Epoque.

 

Carrefour boulevard de Cimiez et avenue Docteur Robert Moriez.

Érigée par la Société Protectrice des animaux de Nice.

 

2, boulevard de Cimiez.

Roger MARTIN du GARD (1881-1958), écrivain, dramaturge et nouvelliste français. Lauréat du Prix Nobel de littérature de 1937.

 

9, avenue Desambrois.

Palais Stella 1937 - La ville de Nice a la particularité de posséder de nombreux immeubles et bâtiments possédant le titre de palais.

 

Église Notre-Dame-du-Port - Place Île de Beauté.

À droite de l'entrée - Morts pour la Patrie 1914-1918.

 

Église Notre-Dame-du-Port - Place Île de Beauté.

À droite de l'entrée - Morts pour la Patrie 1914-1918.

 

Église Notre-Dame-du-Port - Place Île de Beauté.

À droite du chœur - 1951 Restauration.

 

Église Notre-Dame-du-Port - Place Île de Beauté.

À gauche du chœur - 1853 Construction terminée - 1912 Première restauration.

 

Église Notre-Dame-du-Port - Place Île de Beauté.

À gauche de l'entrée - Célébration de la restauration le 4 janvier 1953 par :
- Jean MÉDECIN (1928-1998), maire,
- Paul RÉMOND (1873-1963), évêque. Ecclésiastique catholique français qui fut notamment aumônier général des troupes françaises pendant
l'occupation de la Ruhr et évêque de Nice de 1930 à sa mort. Il a été reconnu Juste parmi les nations,
- Jean-Jacques PONTREMOLI, curé.

 

405, Promenade des Anglais Arenas.

Le Musée des Arts Asiatiques a été inauguré le 16 octobre 1998 par :
- Charles GINÉSY (1922-2012), Sénateur - Président du Conseil Général des Alpes-Maritimes,
- Philippe MARLAND (1947-), Préfet des Alpes-Maritimes,
- Jacques PEYRAT (1931-), Sénateur - Maire de Nice,
- Françoise CACHIN (1936-2011), Directeur des Musées de France,
- Kenzo TANGE (1913-2005), architecte et urbaniste japonais.

Créé par le Département des Alpes-Maritimes pour être un lien vivant avec l'Asie, le musée des Arts asiatiques doit
l'harmonie de son architecture de marbre et de verre, posée sur un lac parcouru d'oiseaux aquatiques, à l'architecte japonais Kenzo Tange.
Son originalité se fonde sur un choix d'œuvres emblématiques évoquant l'esprit des cultures asiatiques.
Ainsi, la Chine, la plus ancienne des "civilisations-mères" est-elle évoquée par des matières qu'elle a su travailler mieux que personne :
la soie, le jade, le bronze, le céladon, et par des objets à la symbolique forte, essentiellement archéologiques, qui renouvellent l'image
traditionnelle que le public occidental pouvait avoir de cette civilisation.
Mêlant art de cours et expressions populaires ou tribales, les collections réconcilient des genres traditionnellement éclatés entre musées d'histoire,
d'ethnographie et des Arts décoratifs, tout en s'intéressant aussi à certaines créations contemporaines.

 

163, boulevard René Cassin.

Le Lycée Régional Hôtelier et de Tourisme Paul Augier a été inauguré le 4 novembre 1993 par :
- Jean-Claude GAUDIN (1939-), Sénateur - Président de la Région Provence-Alpes-Côte d'Azur,
- Honoré BAILET (1920-2003), Sénateur - Maire de Nice,
en présence de :
- Maurice JOUBERT, Préfet des Alpes-Maritimes,
- Charles GINÉSY (1922-2012), Sénateur - Président du Conseil Général des Alpes-Maritimes,
- Pierre FERRARI, Recteur de l'Académie de Nice.

Paul AUGIER (1912-1995), est un homme politique et un homme d'affaires niçois, entre autres propriétaire avec son épouse
Jeanne AUGIER (1923-2019) de l'hôtel Negresco sur la Promenade des Anglais depuis 1957. Il fut conseiller municipal de Nice,
conseiller général des Alpes-Maritimes, membre du Conseil économique et social à Paris, président de la CODER Provence-Corse-Côte d'Azur,
juriste et avocat au barreau de Nice et enfin expert international en matière de tourisme. Il a été aussi plusieurs fois décoré, entre autres il fut
Commandeur de la Légion d'honneur, Commandeur de l'ordre national du Merite, tout comme sa femme Jeanne qui fut décorée le 4 décembre 2006
au Negresco. Il a reçu aussi la médaille de la Résistance durant la Seconde Guerre mondiale, ainsi que plusieurs autres décorations.
En 1993, il donne son nom au lycée hôtelier et de tourisme de Nice.

 

163, boulevard René Cassin.

23 janvier 2014 - Commémoration du centenaire du Lycée régional des métiers Paul Augier, École hôtelière et de tourisme par :
- Michel VAUZELLE (1944-), homme politique français,
- Claire LOVISI (1954-), rectrice de l'Académie de Nice.

Historique :

- 4 mars 1914 : le ministre du commerce, de l’industrie et postes et télégraphes signe un arrêté aux termes duquel est créée à Nice
une « École pratique de commerce et d’industrie hôtelière », la 2ème de France après Thonon-les-bains. L’école s’installe à la villa Guiglia,
le site actuel du Centre Universitaire Méditerranéen, sur la Promenade des Anglais.
- 3 février 1916 : inauguration grâce au partenariat entre la Chambre de commerce, le département et la Ville de Nice.
- Dès 1920 : part grandissante des professionnels parmi les enseignants, généralisation des stages en entreprises, création de l’école-hôtel,
ancêtre du restaurant d’application et enfin instauration d’une bourse de voyage à l’étranger.
- 1936 : pour faire face aux besoins, installation de la nouvelle école pratique de commerce et d'industrie hôtelière de la Côte d'Azur au 144, rue de France.
- 1937 : ouverture de la section tourisme pour la profession de guide-interprète.
- 1959 : les étudiants de la section Tourisme reçoivent le statut de techniciens supérieurs du tourisme.
- Années 60 : intégration au sein de l’Education nationale.
- 1970 : création de la section de BTS Hôtellerie.
- 1993 : installation au cœur du quartier d’affaires de l’Arénas, en face de l’aéroport Nice-Côte d’Azur, le nouveau Lycée régional d'hôtellerie
et de tourisme de Nice est un des plus beaux ensembles de formation hôtelière de France et d’Europe.

(Sources : https://www.lycee-paul-augier.com/chiffres-cles)

 

Cathédrale Sainte-Réparate - 3, place Rossetti.

Centenaire de la Maîtrise de la cathédrale. Inauguration le 15 juin 1997 par :
- Paul POUPARD (1930-), cardinal de l'Église catholique romaine, président émérite du Conseil pontifical pour la culture et ancien président
du Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux du Saint-Siège,
- François SAINT-MACARY (1936-2007) ecclésiastique français évêque de Nice, fut archevêque métropolitain de Rennes, Dol et Saint-Malo,
de septembre 1998 à mars 2007.
- Léon REPETTO, chanoine, curé archiprête de la cathédrale.

 

Cathédrale Sainte-Réparate - 3, place Rossetti.

Jean-Baptiste COLONNA d'ISTRIA (1758-1835) est un prélat français, évêque de Nice de 1802 à 1833.

 

Cathédrale Sainte-Réparate - 3, place Rossetti.

Jean-Baptiste COLONNA d'ISTRIA (1758-1835) est un prélat français, évêque de Nice de 1802 à 1833.

 

Cathédrale Sainte-Réparate - 3, place Rossetti.

Joannem Petrum SOLA (Giovanni Pietro SOLA), plus communément appelé Jean-Pierre SOLA (1791-1881),
est un prélat catholique franco-sarde, qui fut évêque de Nice de 1857 à 1877.

 

Cathédrale Sainte-Réparate - 3, place Rossetti.

Tricentenaire célébré le 2 mai 1999 par :
- Jean-Marie LUSTIGER (1926-2007), théologien, écrivain et prêtre catholique, archevêque de Paris, évêque d'Orléans et cardinal,
grand cordon de l'ordre national du Cèdre et grand-croix de l'ordre de l'Infant Dom Henri, membre de Académie française.
- Jean BONFILS (1930-), est un évêque catholique français, évêque émérite de Nice.
- Denis GHIRALDI (1915-2006), ecclésiastique français, Directeur de l'enseignement catholique du Diocèse de Nice (1968-1974),
Membre de l'Academia nissarda, Chevalier de la Légion d'honneur.
- Léon REPETTO, chanoine, curé archiprête de la cathédrale.

 

Cathédrale Sainte-Réparate - 3, place Rossetti.

Évêques et autres ecclésiastiques inhumés dans les cryptes de l'ancien prieuré et dans les cryptes de la cathédrale.
Nomenclature établie par Denis GHIRALDI (1915-2006), président du chapitre en 1999.

 

Cathédrale Sainte-Réparate - 3, place Rossetti.

Tant que les funérailles publiques
Mettant en avant ravageurs
Admis dans le haut patronage loyal
DD personnel indridae et François Xavier
Obnobis une victime de divinité en colère
Agréable
Autel dédié résolu.

 

Cathédrale Sainte-Réparate - 3, place Rossetti.

Les tours de scrutin
D Stephane Cays chevalier SS Maur et Lazarus
Andreas Rostagno ans Bapta Camossius
Et Andriunus Radassus
Consuls
Acobo portanerio perles de l'évaluation duo
Année 1656.

 

2, place Yves Klein.

La bibliothèque Louis Nucéra a été inaugurée le 29 juin 2002 par :
- Jean-Jacques AILLAGON (1946-), Ministre de la Culture et de la Communication,
- Jacques PEYRAT (1931-), Sénateur - Maire de Nice,
- Charles GINÉSY (1922-2012), Sénateur - Président du Conseil Général des Alpes-Maritimes,
- Michel VAUZELLE (1944-), Président de la Région Provence-Alpes-Côte-d'Azur,
en présence de :
- Sacha SOSNO (1937-2013), pseudonyme d'Alexandre Joseph SOSNOWSKY, sculpteur, peintre et plasticien français,
- Madame Louis NUCÉRA.

Louis NUCÉRA (1928-2000), est un écrivain français. Il a reçu le prix Interallié en 1981 et les grand prix de littérature de l'Académie
française en 1993 et prix du roman populiste en 2005 pour l’ensemble de son œuvre. Louis Nucéra était connu pour sa passion du cyclisme,
auquel il consacre notamment le livre Mes rayons de soleil. C'est en faisant du vélo qu'il meurt dans un accident de la route.

La bibliothèque Louis Nucéra est la tête du réseau B.M.V.R. de Nice (Bibliothèque Municipale à Vocation Régionale) qui comprend
l'ensemble des bibliothèques municipales de la ville : La bibliothèque Patrimoniale Romain Gary, la bibliothèque Raoul Mille,
9 bibliothèques de quartier, le service médiabus et collectivités et 27 bibliothèques associées.

La bibliothèque Louis Nucéra baptisée ainsi en hommage à l’écrivain niçois tragiquement disparu en août 2000, propose dans ses 10 600 m²,
une sélection de plus de 200 000 documents en accès libre (livres, périodiques, cassettes, CD, CD-Rom, DVD, Blu-ray, partitions....).

 

9, rue de la Liberté.

Robert PETITNICOLAS (1900-1944), placier, F.F.I. - Corps Franc de la Libération Nationale.

 

Église Saint-Barthélémy - 11, montée Claire Virenque.

À la mémoire des enfants de la paroisse morts pour la patrie 1914 - 1918.

 

Église Saint-Barthélémy - 11, montée Claire Virenque.

 

Église Saint-Barthélémy - 11, montée Claire Virenque.

La Société de Secours Mutuels à ses morts glorieux 1914 - 1918.

 

Boulevard des Jardiniers - Stade Allianz Riviera.

Musée national du Sport inauguré le 15 octobre 2014 par :
- Patrick KANNER (1957-), Ministre de la Ville, de la Jeunesse et des Sports,
- Thierry BRAILLARD (1964-), Secrétaire d'État aux Sports,
- Christian ESTROSI (1955-), Député-Maire de Nice, Président de la Métropole Nice Côte d'Azur,
en présence de :
- Michel VAUZELLE (1944-), Député, Président du Conseil régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur,
- Éric CIOTTI (1965-), Député, Président du Conseil général des Alpes-Maritimes.

Le Musée National du Sport, créé en 1963 avec pour objectif de retracer l'Histoire du Sport, était initialement situé à Paris (XIIIème).
Son déplacement à Nice en 2014 dans un vaste espace moderne marque un véritable tournant.
Les 4 espaces modernes, ponctués d'animations ludiques et interactives, retracent les exploits individuels et collectifs des plus grands sportifs.
Des objets uniques exposés et expliqués aux visiteurs. Un patrimoine de 45.000 objets et 400.000 documents.

 

Église de Saint-Isidore - Boulevard Auguste Vérola.

Aux Enfants de Saint-Isidore Morts Glorieusement pour la Patrie.

 

163, Boulevard du Mercantour.

Le Palais NIKAÏA a été inauguré le 4 avril 2001 par :
- Jacques PEYRAT (1931-), Sénateur - Maire de Nice,
- Charles GINÉSY (1922-2012), Sénateur - Président du Conseil Général des Alpes-Maritimes,
- Michel VAUZELLE (1944-), Député - Président de la Région Provence-Alpes-Côte-d'Azur,
en présence de :
- S.A.S. Le Prince Héréditaire Albert de Monaco (1958-),
- Sir Elton JOHN (1947-), chanteur, pianiste et compositeur britannique.

Le "temple de la musique" niçois, souvent comparé à une salle "Zénith" en raison de ses capacités d'accueil
et qualités techniques exceptionnelles. Conçu par les architectes GRESY et CHEVALIER à la demande de la Ville de Nice,
l'équipement de 9.500 m², étire ses lignes ovales représentant un oiseau de mer.
Il abrite :
- Une grande salle de spectacles "Palais Nikaia",
- Une petite salle de spectacles et de réceptions "Nikaia Live",
- Le "Stade Charles Ehrmann",
- Le "Hall",
- Le "Parvis".

 

Bureau du Maire - 5, rue de l'Hôtel de ville.

Sommet Union Européenne - Russie le 14 novembre 2008,
en présence de :
- Nicolas SARKOZY (1955-), Président de la République Française,
- Dmitri MEDVEDEV (1965-), Président de la Fédération de Russie,
- José Manuel BARROSO (1956-), Président de la Commission Européenne,
- Javier SOLANA (1942-), Secrétaire Général du Conseil de l'Union Européenne,
- Christian ESTROSI (1955-), Député-Maire, Président du Conseil Général des Alpes-Maritimes.

 


Mis à jour le : 22 septembre 2019