Monuments, plaques commémoratives diverses et stèles dans NICE (9)
(Classement dans l'ordre des saisies)
Angle 38, boulevard de la Madeleine et rue de la Tour de Magnan.
Palais Magnan. Les frises sont apportées par
les ouvriers italiens appelés sur la Côte d'Azur à la fin du
XVIIIème siècle
pour aider à la construction des grandes demeures.
7 bis, rue Beaumont.
Palais Beaumont.
17, rue Beaumont.
Palais St-Joseph.
9, rue de Orestis.
Palais de Orestis.
19, rue de Orestis.
Palais du Jardin.
37, rue Smollet.
Palais Maguy.
16, rue Bavastro.
À la mémoire des Morts en Algérie après le 19 mars 1962.
Plaque inaugurée par Christian Estrosi,
en présence des Associations du monde Combattant, Rapatrié et
Harki.
8, rue Joseph Kosma.
Palais St-Philippe.
32, boulevard Gambetta.
Palais St-Philippe - Entrée de service.
10, boulevard Joseph Garnier.
Palais Mejjije - 1915-1919, période
correspondant sans doute à la durée d'édification de
l'immeuble.
HUILLET Jeanne, commanditaire.
15, boulevard Joseph Garnier.
Nice Palais.
24, boulevard Joseph Garnier.
Palais Bristol. Construit vers 1914, architecte : Lazare Gastaldi, maître d'ouvrage : Mr Verdy.
38, boulevard Joseph Garnier.
Palais Erika.
46, boulevard Joseph Garnier.
Vichy Palais.
40, boulevard Joseph Garnier.
Palais Garnier Logirem. Immeuble réhabilité et rénové de 2011 à 2013.
48, boulevard Joseph Garnier.
Palais Garnier. Construit vers 1925, architecte : Lazare Gastaldi, maître d'ouvrage : Mr Bauduc.
43, boulevard Gambetta.
Palais Jolienne. Construit vers 1935, architecte : Émile Durante, maître d'ouvrage : Dominique Balarello.
53, boulevard Gambetta.
Palais Étoile du Nord, ex-palais Fomitcheff.
Construit en 1913, architecte : Charles Dalmas, maître d'ouvrage
: Prince V. de Fomitcheff.
54, boulevard Gambetta.
Palais St Antoine. Construit vers 1930, architecte : Jean-Baptiste Bonifassi, maîtres d'ouvrage : Mrs Alluno et Glorio.
55, boulevard Gambetta.
Villa Beau Soleil. Construit vers 1908, maître d'ouvrage : Pierre Lacourbat.
59, boulevard Gambetta.
Immeuble légué aux uvres d'Assistance et de Bienfaisance.
Denis SÉMÉRIA (1834-1911), agent au service
maritime, puis se lance dans les affaires en ouvrant une
distillerie de parfum,
pommades et huiles parfumées à base de jasmin et de géranium.
Directeur de la Caisse d'Épargne de Nice avant d'être élu en
1870
conseiller municipal puis adjoint au maire de Nice. Membre de la
Chambre de commerce des Alpes-Maritimes,
propriétaire de biens immobiliers à St-Laurent-du-Var, Bellet,
Roquebillière et Nice et de villas à St-Jean.
61, boulevard Gambetta.
Immeuble légué aux uvres d'Assistance et de Bienfaisance.
Suite idem ci-dessus.
139, boulevard Gambetta.
Palais des Vosges. Construit en 1955, architectes : Georges et Michel Dikansky, maîtres d'ouvrage : Fernand et Louis Icart.
2, Place Franklin.
Palais Franklin. Construit vers 1939, architecte : Gaston Messiah, maître d'ouvrage : Gaston Messiah.
4, Place Franklin.
Palais Franklin. Construit vers 1939, architecte : Gaston Messiah, maître d'ouvrage : Gaston Messiah.
2, rue Joseph Kosma.
Villa Joli Site. Construit en 1899, architectes : Emmanuel Brun, André Louc, Maître d'ouvrage : Lucien Ramelot.
4, rue Joseph Kosma.
Palais Marguerite. Construit vers 1901, architecte : Jean-Baptiste Pachiaudi, maître d'ouvrage : René Pascalis.
6, rue Joseph Kosma.
Palais du Soleil. Construit vers 1905, architecte : Louis Bilbault, Maître d'ouvrage : Mme Delamare-Bichsel.
2, rue Guiglia.
Palais du Square. Construit en deux temps :
vers 1900 et vers 1903.
Architecte : Joseph Mars, maître d'ouvrage : Alexandre
Levinstein.
Ce palais a reçu la médaille vermeille du concours municipal
d'architecture en 1903.
59, boulevard Victor Hugo.
Palais Yolande. Construit vers 1908, architecte
: François Aubert, maître d'ouvrage : L. Bizeray.
En premier "Palais Hugo-Gambetta", puis dès 1912
"Palais Yolande".
Place Saint-François.
Palais communal. Nom de l'ancien Hôtel de
ville, 1ère campagne de construction de 1574 à 1580 à la
demande
du duc Emmanuel-Philibert de Savoie (1528-1580). Inauguré le 25
juin 1584.
En 1670, les consuls font faire des travaux
pour embellir leur palais : construction d'un escalier intérieur
dans la petite aile,
portail monumental en marbre et décoration des fenêtres de la
façade latérale.
En 1758, nouvelle façade sur l'aile d'entrée,
en modèle d'édifice public : ajout de pilastres coiffés de
chapiteaux ioniques,
grandes ouvertures, motifs en relief, balustrade sur la toiture.
Le dernier étage portant l'horloge date de 1840.
En 1978, les façades sont rénovées par
subventions des Monuments historiques, du Conseil général des
Alpes-Maritimes
et du Fonds d'aménagement urbain.
En septembre 1792, le palais est vandalisé
lors de l'entrée des troupes françaises. En 1814, à la
Restauration sarde, les magistrats
retrouvent le palais. Le pouvoir communal quitte définitivement
le palais en 1868 pour le site de l'ancien hôpital Saint-Roch,
actuel hôtel de ville. Le 18 juin 1893, le palais devient le
siège de la bourse du travail.
En septembre 2009, un accord est conclu entre la Confédération
générale du travail (CGT) qui occupe les lieux depuis plus d'un
siècle et
la municipalité qui récupère le palais. En mai 2022, la mairie
annonce que cet ancien Hôtel de ville allait accueillir le
Muséum
d'histoire naturelle, chantier lancé en 2023 pour une durée de
deux ans.
15, rue Droite.
Palais Lascaris. Ancienne demeure
aristocratique construite par la famille Lascaris de Vintimille
dans la première moitié du XVIIe siècle.
Tombé en décrépitude au début du XXe siècle, le palais est
racheté en 1942 par la ville qui décide d'y aménager un musée
des arts et traditions
populaires régionaux. Il est classé au titre des monuments
historiques depuis le 15 février 1946. Les travaux de
réhabilitation débutent en 1963
et s'achèvent en 1970, année d'ouverture définitive au public.
En 2001, les collections instrumentales du musée Masséna sont
transférées au
palais Lascaris et en 2011, l'exposition permanente des
instruments de musique anciens est ouverte au public.
1, place Charles-Félix.
Palais Caïs de la Pierlas. Construit en 1693. Les premiers propriétaires étaient la famille Riboti puis ce fût la famille Caïs de la Pierlas.
Le peintre Henri Matisse (1869-1954), a habité
dans un appartement au 3ème étage de cet immeuble de 1921 à
1926
et par la suite à plusieurs reprises dans un studio plus en
hauteur.
14, rue Jules-Gilly.
Palais du Sénat. Cour souveraine de la maison
de Savoie, créée le 8 mars 1614, par Charles-Emmanuel Ier.
À partir de 1894, l'ancien Sénat devient l'asile de nuit pour
abriter les plus démunis.
En 2012, il est récupéré pour devenir le Centre du Patrimoine.
Place Pierre Gautier.
Palais des Ducs de Savoie, aussi connu sous le
nom Palais des Rois Sardes.
Il a été construit au XVIe siècle (1610-1613) et inauguré par
le Duc Charles-Emmanuel Ier de Savoie en 1613.
Au début du XIXe siècle, l'architecte Scoffier, aménage la
façade extérieure et reconstruit le vestibule et l'escalier
d'honneur.
Après l'annexion du Comté de Nice par la France en 1860, le
palais devient le siège de la Préfecture des Alpes-Maritimes.
3, place du Palais de Justice.
Palais Rusca. Construit en 1775 pour abriter la
garnison de la ville, il est resté une caserne militaire
jusqu'en 1990.
Des travaux sont inaugurés en 1993 pour devenir aujourd'hui le
Tribunal d'Instance de Nice.
Place du Palais de Justice.
Palais de Justice. Construit entre 1890 et 1892. Il est le siège des différents cours et tribunaux.
5, rue de la Préfecture au niveau de la place du Palais de Justice.
Le Palais d'York, ancien hôtel Spitalieri de
Cessole édifié entre 1762 et 1768 pour Honoré-François
Spitalieri, premier comte de Cessole.
À compter de 1770, l'hôtel abrite aussi le consulat de France,
jusqu'à la Révolution française. La partie centrale de
l'hôtel est devenue
un des trois premiers hôtels de voyageurs de Nice : l'hôtel
York. Alexandre Dumas y loge en 1851.
3, rue Raoul Bosio.
Palais Corvésy. Immeuble commandé vers 1719
par Clément Guigliotti sur des plans de l'architecte Filippo
Juvarra,
mais le chantier fut interrompu et repris par son petit-fils
Clément Corvésy, comte de Gorbio et premier président du
Sénat de Nice.
Palais achevé vers 1768. Confisqué en 1792 comme bien
d'émigré, transformé à la Restauration en établissement
hôtelier : l'hôtel des Étrangers.
En 1937, la ville de Nice rachète l'édifice et le transforme en
mairie annexe.
La Maison Rose - 7, chemin de l'Abbaye St-Pons.
Fernand Marius BOSCO, dit Henri BOSCO (1888-1976), professeur de Français, écrivain romancier, Commandeur de la Légion d'honneur.
Ses uvres : Pierre Lampédouze
(1924), Irénée (1928), Le Sanglier (1931), L'Âne
Culotte (1937,
L'Enfant et la Rivière (1945), Le Mas Théotime
(1945), Malicroix (1948), Le Renard dans l'île
(1956),
Eglogues de la mer, Le Quartier de sagesse, Hyacinthe, Un rameau
de la nuit, Le Trestoulas, Luberon, Sabinus, Le ciel à
travers les grilles,
Les Balesta, Le jardin d'Hyacinthe, Sylvius, Un oubli moins
profond, Tante Martine, L'Habitant de Sivergues, L'Apocalypse de
Saint Jean,
Bucoliques de Provence, Monsieur Carre-Benoît à la campagne, Le
Roseau et la Source, Alger, cette ville fabuleuse, Des sables à
la mer,
Sites et Mirages, Antonin, L'Antiquaire, La Clef des champs,
Barboche, Bargabot, Bras-de-fer, Saint Jean Bosco, Le Chemin de
Monclar,
L'Épervier, Le Jardin des Trinitaires, Mon compagnon de songes,
Le Récif, Une ombre, Des nuages.
Prix Renaudot (1945), Grand prix national des Lettres (1953), Prix de l'Académie de Vaucluse (1966), Grand prix de littérature (1968).
Centre Antoine-Lacassagne - entrée Bt A - 33, avenue de Valombrose.
Le Centre Antoine-Lacassagne est un centre
régional de lutte contre le cancer à Nice.
Le centre a été nommé en l'honneur d'Antoine LACASSAGNE
(1884-1971), médecin à la tête de l'Institut du radium de 1937
et 1954,
professeur de 1951 à 1954 au Collège de France à la chaire de
médecine expérimentale où ses cours sont consacrés à la
cancérologie
et président de la Ligue nationale contre le cancer de 1956 à
1971.
Le centre de lutte contre le cancer (CLC) de Nice est créé par
arrêté ministériel du 18 octobre 1954.
Son directeur fondateur est le Dr Vincent PASCHETTA (1904-1984)
le directeur adjoint est le Dr Pierre-Paul PRAT (1906-1979)
le secrétaire Général est Mr Pascal OCCELLI (1914-2002).
Plaque commémorative inaugurée le 19
décembre 2011 à l'occasion du 50ème anniversaire du Centre en
hommage à ses fondateurs par :
- Jean-Michel DREVET, préfet, président du Conseil
d'administration,
- José SANTINI, professeur, directeur général,
en présence de :
- Christian ESTROSI, maire, président de Nice Côte d'Azur,
- Eric CIOTTI, président du Conseil Général.
50, Bd Jean Baptiste Verany.
À la mémoire du Dr Georges CHAPEL (1911-1962), vétérinaire, directeur des Abattoirs frigorifiques.
Chemin de l'église - Saint-Pancrace.
Aux Enfants de Saint-Pancrace Morts pour la France 1914-1918.
Cimetière, chemin de l'église - Saint-Pancrace.
Francis LAI (1932-2018), est un compositeur et
musicien français, spécialiste de musiques de films, de
génériques et de chansons.
Il est notamment l'auteur de la musique des films "Un homme
et une femme" et "Love Story". Pour ce dernier
film,
il reçoit l'Oscar de la meilleure musique de film en 1970.
16, place Garibaldi.
Idem ci-dessus.
Cinéma Jean-Paul Belmondo.
Le plus vieux cinéma de Nice a été créé en 1911 avec comme
nom "Le Politéama", et est devenu le
"Mercury" en 1970.
Pour rendre hommage à Jean-Paul BELMONDO (1933-2021), acteur,
cascadeur, producteur de cinéma et directeur de théâtre,
le Mercury a été rebaptisé le "Jean-Paul Belmondo, dès
la disparition de l'acteur en septembre 2021.
Idem ci-dessus.
Il a été inauguré officiellement le 25
novembre 2023 par :
- Eric CIOTTI, président de la commission des finances du
département,
- Auguste VÉROLA, délégué à la Culture,
- Bernard ASSO, délégué au cinéma,
- Henri-Jean SERVAT, conseiller municipal,
en présence de :
- Paul BELMONDO, son fils.
Jardin de l'Arménie - Angle avenue de Suède et avenue de Verdun.
Travaux de requalification inaugurés le 16 mai
2024 par :
- Christian ESTROSI, maire de Nice,
- Ensemble des associations Arméniennes de Nice.
Idem ci-dessus.
Idem ci-dessus.
En hommage à Charles AZNAVOUR [AZNAVOURIAN] (1924-2018), auteur-compositeur-interprète, acteur et écrivain franco-arménien.
Inauguré le 16 mai 2024 par :
- Christian ESTROSI, maire de Nice,
en présence de :
- Mischa AZNAVOUR, son fils.
Cimetière Russe - Caucade - 78, avenue Ste-Marguerite.
CHOULTSÉ, Jean [Ivan], (1874-1939), peintre russe, réaliste, devenu français par naturalisation.
78, avenue Borriglione.
Palais St-Maurice.
Architecte : Charles BERNARD. Maître d'ouvrage : Antoine BIGUET.
Permis de construire en 1924. Construit en 1926.
87, avenue Borriglione.
Le Petit Palais.
Architecte : Honoré AUBERT. Maître d'ouvrage : Mr ZWIW.
Permis de construire en 1926. Construit en 1927.
89, quai des États-Unis.
Palais des États-Unis.
Construit entre 1881 et 1883 pour le compte de Mr Jean LOUPIAS.
Architecte : Honoré AUBERT.
Cet immeuble dispose de 6 étages dont 2 ont été rajoutés
après 1929 à la demande de Mr Marius BAILET.
Angle rue Jules Gilly et 1, rue du Saint Suaire.
Chapelle des Pénitents Rouges.
1578 - Confrérie des Pénitents Rouges.
1978 - Commémoration du 4ème centenaire - J.B. VASSALLO,
prieur, J. MOUISSET, évêque de Nice.
1, place Charles Félix.
Galerie d'Art Momentum
Sculpture "The circle of life".
Le Radici del nostro Mondo - 2020 - Bronze.
Andrea ROGGI (1962-), artiste, sculpteur et peintre italien.
7, rue Jules Gilly - 1721.
1, rue Barillerie.
3, rue Barillerie - G 1676 F.
4, rue Barillerie - CE 1623 M.
12, rue Barillerie.
57, avenue de la Californie.
Hall de l'Hôpital Lenval.
16, avenue Borriglione.
Palais Soledor.
Construit en 1927. Architecte : Paul TRACHEL, maître d'ouvrage :
André LE BOURHIS.
15, avenue Borriglione.
Palais Michel-Ange.
Construit vers 1907. Propriété BASSO dans un plan de 1910.
19, rue Édouard Dalmas.
Palais Adelphi.
Construit en 1931. Architectes : Albert LENTULO et Jean STRAUDO.
Maîtres d'ouvrage : François et Victor DAVID.
7, rue Molière.
Palais Trianon.
Construit en 1933. Maîtres d'ouvrage : François et Victor
DAVID.
11, rue Molière.
Villa Lily-Thérèse.
10, rue Molière (en face).
Espace Bernadette CHIRAC, née CHODRON de
COURCEL (1933-), Présidente de la Fondation des Hôpitaux de
Paris de 1994 à 2019,
Présidente de la Fondation Claude Pompidou de 2007 à 2019.
Espace inauguré le 19 juin 2024 par :
- Christian ESTROSI, maire,
en présence de :
- Claude CHIRAC.
Mairie - Rue Saint-François de Paule.
Plaque inaugurée le 27 août 2022 dans les
jardins de la villa Masséna, pour le premier anniversaire de
l'inscription, le 27 juillet 2021,
de la ville de Nice sur la liste du Patrimoine Mondial, Culturel
et Naturel, en présence de :
- Christian ESTROSI, maire,
et de :
- Véronique ROGER-LACAN, ambassadrice déléguée permanente de
la République française à l'UNESCO.
1, rue de la Poissonnerie - P 1812 G.
20, rue de la Préfecture.
Angle bd René Cassin et rue Dominique Paez.
Yanis COVIAUX (12/10/2011-14/7/2016), fauché sur la Promenade des Anglais par le camion fou.
Avenue Saint Lambert - Rue de Grammont.
Parc Jeanne d'Arc inauguré le 23 octobre 2024
par :
- Christian ESTROSI, maire de Nice,
- le conseil municipal de Nice.
Ce parc paysager de 2200 m² remplace le
stationnement de surface de 90 places
et la création d'un parking souterrain de 203 places sur trois
niveaux.
10, rue de Grammont.
Palais Jeanne d'Arc. 1958, architecte : Fortuné Palmero, maître d'ouvrage : Bouchacourt, SCI Jeanne d'Arc.
18, avenue Malausséna.
Maison Victor BONIFASSI. 1904, architecte : Jean-Baptiste Bonifassi, maître d'ouvrage : Victor Bonifassi.
Montée de l'abbatiale Saint Pons.
Plaque scellée dans la façade de l'église
abbatiale Saint Pons, marquant la rénovation de l'abbaye en 1835
et l'installation de l'ordre catholique romain des "Oblats
de Marie", sous l'épiscopat de Dominique Galvano.
Montée de l'abbatiale Saint Pons.
Plaque posée par la ville de Nice le 28
septembre 2019, pour perpétuer la dédition de la ville de Nice
au comte de Savoie Amédée VII, le 28 septembre 1388.
5bis, avenue de la République.
Maison J. RISSO. 1926, architecte : Honoré Aubert, maître d'ouvrage : Joseph Risso.
38, avenue de la République.
Maison Sainte-Croix, propriété de l'Archiconfrérie de la Sainte-Croix.
En ce même lieu, depuis 1849, les pénitents blancs possèdent un immeuble destiné à laccueil et aux soins des malades.
Pour faire face aux frais croissants de gestion
les pénitents transformèrent leur hôpital en une clinique
privée conventionnée, ce sera la « Clinique Sainte-Croix ».
En 1973 la clinique a été cédée à bail à lhôpital
Saint Roch jusquen 1996, date à laquelle elle est rendue
à l'Archiconfrérie qui donne le bâtiment
et le terrain à un promoteur immobilier en échange de la
reconstruction, au même endroit, d'un immeuble moderne achevé
en 2006.
Au rez-de-chaussée de cet immeuble se trouve
une crèche et, dans les étages, les pénitents gèrent des
appartements de coordination thérapeutique (ACT)
destinés à l'hébergement et aux soins de 12 personnes. Ces
appartements sont entièrement meublés et équipés et sont des
structures qui hébergent
à titre temporaire des personnes en situation de fragilité
psychologique et sociale, nécessitant des soins et un suivi
médical.
Sur rapport favorable des inspecteurs de la
DDASS le préfet des Alpes-Maritimes a pris, en date du 14
septembre 2009, un arrêté autorisant
l'ouverture des appartements et dès le 23 septembre 2009 la
première résidente fit son entrée.
La Maison Sainte-Croix a cessé son activité
d'appartements de coordination thérapeutique le 16 juin 2023,
mais a conservé en son sein
des malades - devenus locataires à petits prix - soignés dans
le cadre de l'hospitalisation à domicile.
54bis, avenue de la République.
Villa Garibaldi.
Maitres d'ouvrage : Giuseppe Ghisla, Marie-Angélique Ghisla
veuve Scoffier, Maximilien Valentini et Laurent Simondini,
Stefano Basso.
L'origine de cet immeuble remonte vers 1792.
Le bâtiment est divisé en deux unités distinctes suites à
diverses reventes du bien effectuées au cours de l'année 1833 :
- les huit travées nord du bâtiment, revendues à Giuseppe
(Joseph) Ghisla
- les cinq travées sud du bâtiment, revendues en partie à
Gio-Battista (Jean-Baptiste) Valentini et Luigi (Louis) Orengo.
Sur la partie nord, Giuseppe Ghisla sollicitera
une première surélévation partielle d'un étage en partie
arrière sur des plans datés du 3 décembre 1834.
Sa fille Marie-Angélique, veuve du notaire Jean-Antoine
Scoffier, sollicitera ensuite la surélévation de deux niveaux
le long de la voie sur des plans
datés du mois de mai 1852.
Sur la partie sud, les consorts Maximilien Valentini (ayant-droit
de Jean-Baptiste) et Laurent Simondini (acquéreur de Luigi
Orengo) procéderont
eux aussi à la surélévation de deux étages supplémentaires
le long de la voie à la fin des années 1850, harmonisant
l'ensemble du bâtiment à la même
hauteur telle que connue aujourd'hui.
De nos jours, le bâtiment est divisé en deux
copropriétés distinctes avec une répartition modifiée par
rapport à la situation connue au XIXe siècle,
les quatre travées nord constituant désormais le n°54bis et
les neuf travées sud constituant le n°56.
5, Avenue François Mitterand.
Maison de l'Étudiant Olivier Chesneau.
Ouverture en 2017, comprend 247 logements pour étudiants et enseignants-chercheurs ainsi qu'une salle de spectacle baptisée "STOCKFISH".
Olivier CHESNEAU (1972-2014), astronome, a
contribué à une meilleure compréhension des phénomènes
physiques
dans les étoiles évoluées, notamment les nébuleuses
planétaires, les étoiles massives et les novae.
20, rue Foncet.
Villa Jacqueline (1923), ex-Maison de Bonneville. Construit vers 1895, architecte et maître d'ouvrage : Jean-Baptiste Blanchi.
Square Dominique Durandy, 20-22, rue Pastorelli.
"La Forêt d'Arbres", uvre de Claude GILLI (1938-2015), artiste phare Niçois, peintre et sculpteur, membre co-fondateur de l'École de Nice.
37, rue Gioffredo.
Juhasz COLOMAN (1899-1974), peintre restaurateur sculpteur, créateur des Arts Niçois.
Cimetière de Caucade, Carré 23 Sud Est.
Famille J Durandy.
DURANDY, Joseph (1834-1912), ingénieur, homme
politique.
Il fut président du conseil d'administration de la Caisse de
crédit et de la Société du gaz de la Ville de Nice,
président du comité de liquidation de la Société immobilière
de Nice et de celui de la Société immobilière du
Cercle de la Méditerranée. Auteur en tant qu'ingénieur de la
ville de Nice de nombreuses réalisations,
il fut à l'origine du canal de la Vésubie et des chemins de fer
Nice-Digne et Nice-Coni.
Rue Isadora DUNCAN, entre la Promenade des Anglais et la rue de France.
DUNCAN, Angela Isadora, dite Isadora DUNCAN,
(1877-1927), est une danseuse d'origine américaine naturalisée
soviétique.
Elle révolutionne la pratique de la danse par un retour au
modèle des figures antiques grecques. Par sa grande liberté
d'expression,
spontanéité et naturel, elle apporte les premières bases de la
danse moderne européenne à l'origine de la danse contemporaine.
Retour à l'hellénisme et au culte du corps, elle veut redonner
sa place à la beauté et à l'harmonie du corps, osant s'exhiber
presque nue,
à peine dissimulée par quelques voiles. Son travail
chorégraphique accorde une place particulière à la
spiritualité.
Elle est la fondatrice de plusieurs écoles de danse, aux
États-Unis, en Europe et en Russie.
Voir : https://fr.wikipedia.org/wiki/Isadora_Duncan
4, avenue Malausséna.
""" ...EUBLE LEGUE ... ?
.../... ?
...AN VINCENT ARDOIN ? """
Immeuble "Le Malausséna" ex-Maison
Ardoin, construit vers 1901, 2022.
Architecte : L'Atelier du Port - Didier Roman, maîtres d'ouvrage
: Jean Ardoin, Groupe Créquy.
Sources :
- Concernant les victimes du 28 août 1944 (en partie) : http://www.lecomtedenice.fr/Visi_nice/circuit_de_la_memoire_1.html#texte
- MémorialGenWeb : http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/index.php
- Nice Rendez-Vous : http://www.nicerendezvous.com/dictionnaire-des-rues-de-nice/accueil.html
- Architecture et urbanisme : https://www.pss-archi.eu/villes/FR-06088.html
- Geneanet : https://www.geneanet.org/monuments-aux-morts/geo/FRA/F06/Nice/france-alpes-maritimes-nice
- Wikipédia et autres sites sur Internet.
Mis à jour le : 10 décembre 2024