Monuments, plaques commémoratives diverses et stèles dans NICE (4)
(Classement dans l'ordre des saisies)
Avenue Nicolas II.
En 1865, le tsarévitch Nicolas Alexandrovitch
(1843-1865), fils d'Alexandre II, s'éteint à l'âge de vingt-un
ans des suites d'une méningite
alors qu'il séjourne à la villa Bermond louée par son père.
Peu de temps après, celui-ci achète la propriété et fait
édifier à la place
de la villa une chapelle en hommage à son fils, sur les plans de
l'architecte David Grimm.
En 1903, à proximité de cet oratoire,
commencent les travaux de construction d'une cathédrale, la
future Cathédrale Saint-Nicolas, selon les plans
de Préobrajenski, professeur d'architecture à l'Académie
impériale des beaux-arts de Saint-Pétersbourg. Elle est
inaugurée en 1912.
Avenue Nicolas II.
La cathédrale Saint-Nicolas est un édifice
religieux orthodoxe russe, l'un des plus importants hors de
Russie.
Elle a été édifiée grâce à la sollicitude de l'Empereur
Nicolas II et de sa mère l'Impératrice douairière Marie et
inaugurée en 1912.
La cathédrale a été classée au titre des monuments
historiques par arrêté du 11 août 1987 et a reçu le label «
Patrimoine du xxe siècle ».
(Voir ci-dessus).
Église Saint-Jacques le Majeur, dite aussi église du Gesù - Place du Jésus.
En souvenir des morts de la guerre 1914-1918.
Église Saint-Jean-Baptiste - 2, rue Alfred Mortier.
Au printemps 1832, une épidémie de choléra
menaça Nice, après avoir frappé Marseille et Toulon,
en dépit des efforts des médecins.
Le 25 avril 1832, le conseil communal réuni sous la
présidence du comte Louis-Alexandre Saïssi de
Châteauneuf, adopta une motion demandant
lintercession divine et fit le voeu délever une
église à la Vierge Notre-Dame des Grâces au
quartier Saint-Jean-Baptiste, en plein
développement, si Nice était épargnée. Cette église
servirait en même temps de paroisse pour le quartier, en
remplacement de lancienne église
Saint-Jean-Baptiste, devenue entre-temps la chapelle du
collège jésuite situé à lemplacement du lycée
Masséna. Monseigneur Jean-Baptiste
Colonna dIstria ratifia cette délibération le 27 mai
1832. Depuis, chaque année, le maire de Nice, entouré de
son conseil, renouvelle
ce voeu lors de la fête de Notre-Dame des Grâces.
Quai des États-Unis.
Pour célébrer les liens séculaires unissant Nice et les États-Unis d'Amérique.
Avenue du Maréchal Maunoury.
En 1924, Samuel L. GOLDENBERG, entrepreneur
américain rescapé du Titanic et sa seconde femme Edwige
GARBOWSKA font construire
au 75, avenue Valrose sur d'anciennes cressonnières cédées
pour un franc symbolique, un lotissement de seize villas
destinées à loger
des aveugles de la guerre de 1914-1918. La voirie rend hommage
aux combattants de la Grande Guerre : rue des Poilus, avenue du
Maréchal Maunoury,
l'un des plus prestigieux aveugles de guerre (*). L'avenue
Goldenberg-Garbowska rappelle les bienfaiteurs de la cité.
L'ensemble prend le nom de
Cité des Aveugles de Guerre. Un monument qui leur est dédié
est édifié autour d'une source au fond de l'avenue Maréchal
Maunoury. Une plaque de marbre
apposée sur le monument indique : « Hommage à ceux qui vivent
dans la nuit pour que la France continue à être le pays de la
liberté et de la lumière ».
(*) Michel Joseph MAUNOURY (1847-1923), est un
maréchal de France. C'est le fils d'un docteur en médecine.
Issu de la promotion 1867
de l'École polytechnique, il devient officier dartillerie.
décembre 1901. Général de division le 28 janvier 1906,
commandant l'artillerie de la Place
et des forts de Paris et Commandant l'École supérieure de
guerre. Gouverneur militaire de Paris en 1910 et membre du
Conseil supérieur de la guerre.
Placé sous la section de réserve en 1912. Rappelé à
l'activité le 11 août 1914 pour une mission d'inspection, il
est très rapidement chargé de rassembler
des troupes disparates, revenant d'Alsace, des divisions du
général d'Amade et d'unités nouvellement incorporées pour
constituer la VIe armée.
Redevenu Gouverneur militaire de Paris du 5 novembre 1915 au 4
avril 1916. Il sera l'un des rares généraux de la guerre
invités à la signature du
Traité de Versailles. Il s'éteint le 28 mars 1923. Créé
maréchal de France à titre posthume le 31 mars suivant, il
bénéficie d'obsèques nationales
le 2 avril. Ses funérailles ont lieu à Mer (41) en présence
des maréchaux Joffre et Foch et du Ministre de l'Intérieur
(Maurice Maunoury, son cousin).
Le corps du maréchal Maunoury repose depuis le 13 mai 1931 au
Mausolée des Invalides à Paris.
Blessé par une balle qui lui a traversé la jambe droite le 2
décembre 1870, à la bataille de Champigny. Gravement blessé
d'une balle
à la tête le 11 mars 1915 au moment où il mettait l'il
à un créneau, dans les tranchées du plateau de Nouvron qu'il
visitait.
Cette blessure le laissa aveugle jusqu'à sa mort.
Avenue Goldenberg-Garbowska, depuis l'avenue de Valrose.
(Voir ci-dessus)
Avenue Goldenberg-Garbowska.
« Fontaine Marie
Offerte par Mr & Me TH BONFILS
1929 »
Avenue de Valrose.
Le groupe scolaire Fouont Cauda fait partie des
premières écoles construites à Nice dans les années 1900,
mis en chantier en 1907, grâce à Madame GILLETTA de
Saint-Joseph.
Angle de l'avenue Romain-Rolland et avenue Saint-Lambert.
« Fouont Cauda », ce toponyme fait référence à la présence d'une source d'eau tiède qui coulait dans une petite vasque en céramique.
(Voir texte photo précédente).
Avenue Romain ROLLAND, de l'avenue Borriglione à l'avenue Saint-Lambert.
Romain ROLLAND (1866-1944), est un écrivain
français, lauréat du prix Nobel de littérature de 1915.
Dune culture forgée par la passion
de lart et de la musique (opéra, Michel-Ange, Scarlatti,
Lully, Beethoven, amitié avec Richard Strauss) et le culte des
héros, il chercha sa vie
durant un moyen de communion entre les hommes. Son exigence de
justice le poussa à souhaiter la paix « au-dessus de la mêlée
» pendant et après
la Première Guerre mondiale. Il est animé par un idéal
humaniste et la quête dun monde non violent, par son
admiration pour Léon Tolstoï,
grande figure de la non-violence, par les philosophies de
lInde (conversations avec Rabindranath Tagore et Gandhi),
lenseignement de
Râmakrishna et Vivekananda, par sa fascination pour Abd-al-Baha
(il y fait référence dans Clerambault), puis par le « monde
nouveau »
qu'il espérait voir se construire en Union soviétique.
Cimetière de Caucade.
Jean de LATTRE de TASSIGNY (1889-1952)
(voir plus haut : Jardin Alsace-Lorraine)
La 1ère Armée Française est le nom donné
aux unités militaires placées sous les ordres du général de
Lattre de Tassigny
et assignées à la libération du territoire français.
Elle est d'abord connue sous le nom de 2ème Armée (26 décembre
1943) puis d'Armée B à partir du 23 janvier 1944.
Ce n'est qu'en septembre 1944 qu'elle est officiellement appelée
1ère Armée Française. Elle a été surnommée Rhin et Danube
en raison de ses victoires remportées sur le Rhin et le Danube
entre le 31 mars et le 26 avril 1945.
C'est la composante principale de l'Armée Française de la
Libération.
Cimetière de Caucade.
Georges GUYNEMER (1894-1917)
(Voir plus haut : 12, place Guynemer)
Cimetière de Caucade.
Maurice JAUBERT (1900-1940), est un compositeur
français né à Nice le 3 janvier 1900
et mort pour la France, à l'hôpital de Baccarat, le 19 juin
1940.
Au lycée Masséna, il obtient en 1915 la première partie du
baccalauréat, et en 1916 la seconde. Il suit parallèlement, au
conservatoire
de sa ville, les cours d'harmonie, de contrepoint et de piano. Il
remporte un premier prix de piano en 1916.
Il quitte alors Nice pour Paris, où il obtient, à la Sorbonne,
une licence ès lettres et un doctorat en droit. À son retour
dans sa ville natale, il est le plus
jeune avocat de France. Ses toutes premières compositions datent
de cette époque, où il devient aussi officier spécialisé en
génie. Démobilisé en 1922,
il décide d'abandonner la pratique du droit au profit de la
musique. Lannée suivante, il complète sa formation
musicale avec Albert Groz, à Paris.
En 1929, il commence à composer et à diriger pour le cinéma
tout en poursuivant son uvre destinée à la salle de
concert et à la scène,
autant pour des opéras-bouffes que pour des pièces de Jean
Giraudoux.
Le cinéma, qu'il aime et comprend, contrairement à beaucoup de
ses contemporains, ne représente pourtant qu'une des multiples
facettes de lactivité
créatrice de Maurice Jaubert. Chef d'orchestre très sollicité,
il dirige non seulement la musique de nombreux films chez
Pathé-Nathan (dont celles
dArthur Honegger et de Darius Milhaud) mais plusieurs
concerts, tant en France qu'à l'étranger. Ses écrits, ses
conférences et une importante
correspondance constituent un précieux témoignage de sa
compréhension de lévolution des années 1930 à 1940 et
de ses prises de position, tant politiques
(vis à vis de la Guerre d'Espagne, par exemple) que musicales.
Cest ainsi quil défend vigoureusement Kurt Weill,
alors totalement incompris.
La guerre vient détourner ce remarquable parcours artistique.
Mobilisé en septembre 1939, le capitaine de réserve Maurice
Jaubert rejoint aux premières
lignes la compagnie du génie qu'il commande. Il ne la quittera
que pour deux brèves permissions à Nice, en janvier et avril
1940. Les lettres à son épouse
font état dun esprit de sacrifice empreint dun
profond humanisme. Cest « aux armées » que Jaubert
compose ses deux dernières uvres (quil naura
pas loccasion dentendre) : mortellement blessé par
un tir ennemi, il meurt quelques heures plus tard à l'hôpital
de Baccarat, le 19 juin 1940.
Initialement inhumé dans le cimetière de Baccarat, il est
transféré en 1952 dans le cimetière de Caucade, à Nice.
Monument aux Morts - Place Guynemer, Quai Rauba Capeù.
Adossé à la colline du château face à la
Méditerranée sur la route du bord de mer, au niveau du quai
Rauba-Capeù, tirant son nom de la partie
de la Promenade des Anglais, proche du monument, où le vent peut
être si fort qu'il "vole les chapeaux" ("rauba
capeù" en nissart).
Le projet de monument aux morts présenté par
Roger Séassal, premier grand prix de Rome en 1913, est approuvé
le 6 février 1923.
La première pierre est posée le 11 novembre 1924 sur un ancien
site de carrière. Il est réalisé en 1927 selon les plans de
l'architecte niçois
Roger Séassal. Il est inauguré par le maréchal Foch le 28
janvier 1928. C'est François Goiran, maire de Nice à l'époque,
qui en décide
la construction en 1919, en hommage aux Niçois morts durant la
Première Guerre mondiale.
Ce monument obtient le label « Patrimoine du XXème siècle »
le 28 novembre 2000. Il est inscrit aux monuments historiques
le 22 février 2010 avant d'être classé le 24 mai 2011.
Le monument dans son ensemble mesure 32 mètres
de hauteur ce qui en fait l'un des plus grands de France. Il a
été édifié à la mémoire des enfants
du pays morts durant le premier conflit mondial auxquels sont
ajoutés ceux qui sont morts pendant la seconde guerre mondiale,
en Indochine et en Algérie.
L'urne, aménagée dans une niche cintrée, contient plus de 2000
plaques gravées aux noms des Niçois morts au cours de la
Première Guerre mondiale.
Le monument comporte deux hauts-reliefs sculptés par Alfred
Janniot : celui de gauche est basé sur le thème de la guerre et
celui de droite sur le thème de la paix.
Sur l'inscription centrale qui les sépare, on peut lire : « La
Ville de Nice à ses fils morts pour la France : Souvenez-vous
des uvres que vos pères ont
accomplies de leur temps et vous recevrez une gloire et un nom
immortels ». Aux pieds de l'édifice, cinq marches symbolisent
les années de guerre
1914-1918. Sur le parvis, propice au recueillement, des stèles
aux bas-reliefs sculptés évoquent les différents corps
d'armée :
l'artillerie, la cavalerie, le génie, la marine et l'aviation.
Reliquaire exposé à l'Hôtel de Ville les 9 et 10 novembre 2018.
Ce reliquaire a été découvert le 26 octobre 2018 après deux années de recherches archéologiques et historiques.
Il renferme plus de 2000 plaques d'identité,
bagues et chaînes de bracelets déposés par les familles des
Niçois morts au cours de la
Première Guerre mondiale. Ce reliquaire de bronze fut scellé
dans l'urne funéraire gigantesque et symbolique du Monument aux
Morts,
au lendemain de son inauguration, le 29 janvier 1928.
Il est l'uvre fondue et ciselée des ateliers M. A. Duchêne à Nice, d'après un dessin de l'artiste J. Jh. Bouchon.
La sculpture a été nettoyée de son
oxydation, scannée par l'équipe du Professeur P. Chevalier à
l'hôpital l'Archet 2 à Nice, et étudiée.
Pesant plus de 30 kg pour 28 cm de haut et 42 cm de large, il est
constitué d'un couvercle en bronze ayant la forme de l'Aigle de
Nice
qui recouvre un réceptacle contenant les plaques et autres
objets. Une inscription est gravée sur la paroi supérieure du
couvercle :
" Nice fière de ses fils morts pour la France confie à son
aigle la garde de leur souvenir - 29 janvier 1928 ".
Afin de renforcer la protection du contenu, un ingénieux
dispositif s'est enclenché à la fermeture du couvercle,
permettant ainsi de
verrouiller le reliquaire et de rendre son ouverture impossible.
Si les personnes ont conçu un dispositif condamnant l'ouverture,
c'est qu'ils
souhaitaient que les plaques restent à l'intérieur. Le choix a
donc été fait de ne pas l'ouvrir. L'aigle et son précieux
trésor mémoriel sont
retournés dans l'antre du monument aux morts dès dimanche, jour
de la cérémonie du centenaire de la Grande Guerre.
Hôtel de Ville - 5, rue de l'Hôtel de Ville.
Plaque commémorative à la mémoire des combattants Niçois, dévoilée le 11 novembre 2018.
1, rue Droite.
Legs d'Anne Marie LEA, veuve SCALIERI à l'Hôpital St Roch en 1773.
Plage du Centenaire - Embouchure du Paillon.
Hommage à Georges VERGONI.
Mur extérieur église Saint-Antoine de Ginestière - 281, route de Saint-Antoine.
Aux Enfants de Saint-Antoine.
24, voie Romaine (Nouvelle plaque).
Marius FANTINO (1900-1944), conducteur d'autorail, résistant F.T.P.F. - F.F.I. - groupe René Canta.
Entre le 226 et le 236, boulevard de la Madeleine.
Joseph Émile MANZONE (1909-1986), Héros de la Résistance - Corps Franc Joseph le Fou.
À l'intérieur du stade André Bonny, avenue de la Clua.
André BONNY (1935-2007), ancien adjoint aux
sports, député suppléant.
Carrière militaire prématurément interrompue à la suite de
graves blessures reçues au combat durant la guerre d'Algérie.
Il entreprit ensuite une nouvelle carrière dans l'Administration
et prit en main les destinées du Groupement Départemental
de l'Union Nationale des Combattants. Il a été nommé
président d'honneur de la section U.N.C. de Carros et Coteaux
d'Azur.
Il était officier de la Légion d'honneur - Médaillé Militaire
- Commandeur de l'Ordre National du Mérite - Croix de la Valeur
Militaire avec palme -
Croix du combattant volontaire - Croix du combattant - et bien
d'autres distinctions liées à d'autres fonctions, ainsi qu'à
son dévoué bénévolat.
À l'intérieur du stade André Bonny, avenue de la Clua.
Charles MARCHETTI (1942-2018), gardien de but
de l'OGC Nice et de l'AC Ajaccio dans les années 1960 et 1970.
Il fut également un fidèle serviteur du Cavigal, où il avait
été formé. À la fin de sa carrière, il avait entraîné les
jeunes gardiens du Cavi,
son club de cur, dont il fut durant de longues années
président des anciens.
Lionel LETIZI (1973-), gardien de but de l'OGC
Nice dans les années 1990, et footballeur international.
En 1996, il est transféré dans un club plus huppé, le FC Metz,
où il découvre la Coupe d'Europe. Sa progression est
régulière, et son style
plein dassurance fait de lui un des meilleurs portiers du
Championnat de France. En 2000, il débarque au PSG. Après six
saisons au club,
il part à létranger chez les Glasgow Rangers, mais
narrive pas à simposer là-bas. Rapidement pris en
grippe par les supporters écossais
qui soutiennent ouvertement le gardien local, sa position est
délicate et devient même intenable à la suite du départ de
l'entraineur en janvier 2007.
Au bout de six mois, il revient dans sa terre natale, à l'OGC
Nice, où il apporte toute son expérience à Hugo Lloris, puis
à David Ospina.
Depuis 2012, il est l'entraîneur des gardiens de l'OGC Nice.
Dominique BARATELLI (1947-), formé au Stade
Niçois puis au Cavigal de Nice, dont l'école de gardiens est de
renommée nationale,
il commence sa carrière professionnelle à l'AC Ajaccio en 1967.
En 1971, il rejoint l'OGC Nice, alors l'une des meilleures
équipes françaises,
puis se voit assez rapidement (juin 1972) appelé en équipe de
France comme doublure de Georges Carnus et titularisé en 1973.
En 1978, il rejoint le PSG et achève sa carrière
professionnelle en 1985.
Avec 593 matches de Division 1, il est l'un des joueurs les plus
chevronnés de toute l'histoire du football français,
après Mickaël Landreau (618), Jean-Luc Ettori (602) et
Dominique Dropsy (596).
Après avoir raccroché les crampons, Baratelli devient
entraîneur de l'US Cagnes-sur-Mer, qui évolue alors en 4e division.
Il entre ensuite
à la mairie de la ville où il devient animateur au service des
sports. Il prend sa retraite le 24 septembre 2010.
Hugo LLORIS (1986-), gardien de but de l'OGC
Nice dans les années 2000, et footballeur international.
Il est révélé à la fin des années 2000 alors qu'il joue à
l'OGC Nice. En 2008, il rejoint l'Olympique Lyonnais et s'affirme
comme étant le meilleur gardien français de sa génération.
Élu trois fois meilleur gardien de Ligue 1, il atteint
également les demi-finales de la Ligue des Champions en 2010,
soit le meilleur parcours jusqu'à ce jour de Lyon dans la
compétition. En 2012, il remporte la Coupe de France avant de
s'envoler à Tottenham Hotspur. Avec son club londonien, il
connaît des débuts compliqués avant de devenir l'un des
meilleurs gardiens du monde. En 2019, suite à un parcours
mythique avec les Spurs lors duquel il se distingue à plusieurs
reprises comme étant l'un des acteurs majeurs de cette campagne,
Lloris atteint la finale de la Ligue des Champions, la première
de sa carrière. Il est le gardien le plus capé de l'histoire de
Tottenham et est également le gardien français le plus capé de
l'histoire de la Ligue des Champions. Il fait ses débuts en
équipe de France après l'Euro 2008 et prend la place de numéro
un à partir de fin 2009 puis devient capitaine de la sélection
après le fiasco de Knysna lors de la Coupe du monde 2010. Il a
le record de longévité comme gardien de but en sélection
nationale. Il participe en tant que gardien numéro un à la
Coupe du monde 2010, à l'Euro 2012, la Coupe du monde 2014, à
l'Euro 2016 et à la Coupe du monde 2018 qu'il remporte. Il est
le deuxième capitaine français à soulever le trophée
planétaire, après l'actuel sélectionneur des Bleus, Didier
Deschamps en 1998. Il détient le record du nombre de capitanats
de l'histoire de l'équipe de France et est également capitaine
dans son club londonien depuis 2015. Entre 2016 et 2019, il
atteint les trois finales les plus prestigieuses du
football : l'Euro en 2016, la Coupe du monde en 2018 et la
Ligue des Champions en 2019. Il est considéré comme étant l'un
des meilleurs gardiens du monde.
Mur extérieur de l'église Saint-François-d'Assise - 16, boulevard Jean Béhra.
Guerres 1914-1918, 1939-1945 - À la mémoire des Héros de Saint-Sylvestre et de Saint-Barthélémy supérieur.
Place Général Goiran.
François GOIRAN (1847-1927), militaire et
homme politique français. Élève au lycée Masséna, il devient
le premier Niçois à intégrer
l'École polytechnique. En 1870, lors de la bataille de Sedan à
laquelle il participe en tant que lieutenant, il est fait
prisonnier. Après sa libération,
il poursuit sa carrière militaire : il est ainsi général
de brigade à partir de 1902 puis général de division en 1906.
En 1911, il est nommé ministre
de la Guerre mais il occupera cette fonction moins d'un mois. Il
devint maire de Nice en 1912. Apprécié pour son honnêteté et
son travail acharné,
il réforma les services publics et mit au point un statut pour
les fonctionnaires municipaux. Lorsque la Première Guerre
mondiale fut déclenchée,
il réintègre l'armée, sans pour autant abandonner son mandat
de maire. La ville de Nice est alors ruinée à cause de
l'effondrement du tourisme,
principale activité économique. À la fin de son mandat, en
1919, la dette municipale s'élève à 61 millions de francs. Il
fait néanmoins adopter
le projet de construction d'un monument en hommage aux Niçois
morts lors de la guerre 14-18. Ce monument aux morts verra le
jour en 1928,
quai Rauba Capèu. Il ne se représentera pas aux élections
municipales de 1919.
Centre de maintenance tramway - Station Henri Sappia, boulevard Comte de Falicon.
Conçu par l'Atelier Marc BARANI et construit
par la société EIFFAGE. Il a été inauguré le 10 novembre
2007 par Maître Jacques PEYRAT (1931-),
avocat et homme politique français. Il a été député des
Alpes-Maritimes de 1986 à 1988 et de 1997 à 1998, maire de Nice
de 1995 à 2008,
sénateur des Alpes-Maritimes de 1998 à 2008 et président de la
communauté d'agglomération Nice-Côte d'Azur de 2002 à 2008.
Jardin Maurice Mouchan, boulevard de Gorbella.
Maurice MOUCHAN (1922-1993), conseiller municipal et adjoint au maire de Nice de 1983 à 1993.
Jardin Maurice Mouchan, boulevard de Gorbella.
Henri SIVADA (1886-1914), François SBRANA
(1887-1914), François FIGHIERA (1888-1914), Jean CAUVIN
(1887-1914),
François BERGERONE (1895-1915), Vincent MARTIN (1892-1915),
Barthélémy PERRONE (1897-1915), Auguste COTTO (1883-1916),
Jacques MARIA (1884-1916), Joseph ASTRAUDO (1894-1917), Jeannot
CAUVIN (1889-1918), Antoine THIBAUT (1898-1918).
Jardin Maurice Mouchan, boulevard de Gorbella.
Francis BASTIAN (1920-1943), Jean BERTOGLIO (1921-1944), Roger ORENGA (1927-1944), Charles BOUTET (1917-1946).
Jardin Maurice Mouchan, boulevard de Gorbella.
Jean Joseph REVELAT (1892-1913), soldat au 111ème Régiment de Ligne.
Jardin Maurice Mouchan, boulevard de Gorbella.
René TRASTOUR, maréchal des logis-chef au 94ème Régiment d'Artillerie de Montagne, Quartier Auvare à Saint-Roch.
Jardin du Paillon.
NIKAÏA, uvre de Cyril de la PATELLIÈRE [Cyril DURANT de la PASTELLIÈRE] (1950-), sculpteur et illustrateur français.
30, voie Romaine.
Hall d'entrée du Pavillon M de l'Hôpital Pasteur.
30, voie Romaine.
Hall d'entrée du Pavillon M de l'Hôpital Pasteur.
26, rue Dante.
À la mémoire des élèves juifs de l'École des Baumettes déportés entre 1942 à 1944, assassinés dans le camp d'Auschwitz.
Angle rue de la Buffa et rue de Cronstadt.
L'entrée du Forum Jorge François se trouve au
9, rue de Cronstadt. Le Forum Jorge François est un espace
culturel et social au cur de Nice.
Lobjectif de lassociation est douvrir un espace
de rassemblement, déchanges, véritable lieu de vie pour
et par les habitants. À travers lessor
dun tel lieu, ce sont les valeurs de solidarité, de lien
social et de mixité sociale que lon souhaite développer.
Lidée est de faire coexister autour
du projet toutes les catégories sociales et toutes les
générations. Ce lieu de vie a été conçu pour développer la
rencontre et les échanges à travers
de nombreuses activités présentées ici. Sa vocation
douverture et de rassemblement est aussi de fédérer les
énergies. Le but est de mettre en uvre
de manière utile et divertissante la solidarité et favoriser
ainsi une véritable mixité sociale et générationnelle.
Angle boulevard René Cassin et avenue des Genouillères.
La Paroisse Notre-Dame de Lourdes à se glorieux morts pour la patrie 1914-1918.
114, boulevard du Mercantour.
Malang SARR (1999-), footballeur professionnel
OGC Nice. Puissant défenseur et membre de la génération 1999,
il suit une progression
linéaire et précoce. Du haut de ses 5 ans, l'enfant des Moulins
arrive à lOGC Nice et franchit toutes les étapes en
accéléré au sein de son club
de cur. Apparu avec le groupe pro lors de la pré-saison
2016-17, il découvre la Ligue 1 à seulement 17 ans. Pour son
premier match, il inscrit même
le but de la victoire face à Rennes (1-0). Sous les
ordres de Lucien Favre, il découvre également l'Europe avant
de parapher son premier contrat
professionnel à l'automne 2016. Sélectionné avec
lÉquipe de France Espoirs à tout juste 18 ans, Malang
conclut lexercice 2016-17 avec 26 matchs de
Ligue 1 au compteur (dont 25 titularisations). Le natif niçois
poursuit son ascension la saison suivante. Il participe
également au troisième tour de
qualification de la Ligue des Champions contre lAjax
Amsterdam (3-3 pour Nice sur le cumul des 2 rencontres). Durant
lété 2018, le capitaine
des Bleuets prend part à lEuro U19 organisé en Finlande.
Face au 149, boulevard de la Madeleine.
Émilie JOTTÉ-LATOUCHE (1899-1972). Aimée
LANGLOIS épouse un marin le cdt de vaisseau Brestoit Émile
Adolphe JOTTÉ-LATOUCHE,
est plus connue sous le prénom dÉmilie. Entrée dans la
Résistance dès la fin de 1941, elle crée et dirige le groupe
Surcouf dans la vallée du Paillon,
quelle rattachera en 1944 à lorganisation de
résistance de larmée. Après larrestation de son
chef de réseau, elle commande le réseau Marco Polo
sous le pseudonyme de Renée. Arrêtée le 15 juin 1944,
interrogée et torturée à la villa Trianon par la Gestapo, elle
parvient à se tirer une balle de
revolver dans la région du cur. Très grièvement
blessée, elle est transportée à lhôpital Pasteur dans
la section politique. Mais des membres de son
groupe ayant appris quelle devait être pendue le 14
juillet parviennent à la libérer le 13 juillet ainsi que cinq
autres résistants. Réfugiée dans les
Basses-Alpes, elle y apprendra que la France était enfin
libérée. Elle était titulaire de la médaille de la
Résistance et de la croix de guerre avec une
citation à lordre de la division signée de la main du
général Juin le 13 février 1946.
Stade Jean Nicolaï - 207, boulevard de la Madeleine.
Jean-François NICOLAÏ (1929-1956), instituteur.
4, rue Poincaré.
Palais Rosa-Bonheur - La ville de Nice a la particularité de posséder de nombreux immeubles et bâtiments possédant le titre de palais.
Marie-Rosalie BONHEUR dite Rosa (1822-1899),
est une peintre et sculptrice française, spécialisée dans la
représentation animalière. La gloire qu'elle
connaît de son vivant faiblit rapidement après sa mort ;
sa peinture étant devenue trop éloignée des tendances
modernes. À partir de 1980,
des biographies l'ont associée aux débuts du féminisme, en
raison de la vie très libre qu'elle a menée de son vivant.
Son agent et ami Ernest Gambart achète le tableau "Le
Marché aux chevaux" (Salon de 1853), pour
40 000 francs. À la suite de ce succès,
elle accède à une reconnaissance internationale qui lui vaut
d'effectuer des tournées en Belgique et en Angleterre,
organisées par Gambart, au cours
desquelles elle est présentée à des personnalités, telles que
la reine Victoria.
À partir de 1880, Rosa Bonheur et Nathalie Micas passent
régulièrement l'hiver à Nice, tout d'abord dans la demeure
d'Ernest Gambart, la villa « L'Africaine »,
puis à partir de 1895, dans celle qu'elles acquièrent, la villa
"Bornala". Rosa Bonheur y peint plusieurs toiles.
En 1865, elle est la première femme artiste à recevoir la
Légion d'honneur. L'impératrice Eugénie la lui remet en mains
propres, voulant démontrer
que « le génie n'avait pas de sexe ». En 1894, elle
devient la première femme promue au grade dofficier.
Angle rue Cronstadt et Promenade des Anglais.
Angelo DONATI (1885-1960), est un homme
politique, financier et philanthrope juif italien du
xxème siècle. Diplomate de la République de Saint-Marin
à Paris, il s'est illustré par ses nombreuses actions en faveur
des Juifs dans la zone d'occupation italienne en France entre
1942 et 1943.
6 bis, rue Meyerbeer.
Palais Royal - La ville de Nice a la particularité de posséder de nombreux immeubles et bâtiments possédant le titre de palais.
Église Anglicane - 11, rue de la Buffa.
Une douzaine d'autres plaques sont apposées dans cette église.
9, rue de la Buffa.
James Thomas HARRIS dit Frank HARRIS
(1856-1931), est un membre de la communauté irlandaise
américaine qui fut auteur, journaliste, rédacteur
en chef et directeur de publication, et fréquenta beaucoup de
personnalités de son temps. Durant le cours de son existence,
l'attention s'est principalement
portée sur son mauvais caractère, son travail à la tête de
périodiques renommés et ses amitiés avec les personnalités.
Mais il est de nos jours surtout célèbre
pour son autobiographie My Life and Loves, livre qui fut
interdit dans plusieurs pays autour du monde pour son traitement
explicite de la chose sexuelle.
Place Eugène Mo, angle rue Maréchal Joffre et rue Longchamp.
Eugène MÔ (1891-1915), mécanicien et
athlète, puisquil est champion Côte dAzur de
natation. À 18 ans, il sengage dans larmée. Le 1er
août 1914,
à 23 ans, il est envoyé au front comme fantassin mais le soldat
rêve dêtre aviateur. Rapidement il est affecté au camp
militaire dAvord (Cher) en tant
que mécanicien. Mais cette fonction ne le satisfait pas aussi
demande-t-il à remplir des missions de renseignements, il
intègre alors une escadrille
de reconnaissance. Le militaire niçois effectue une « mission
spéciale » au printemps 1915, mais il est capturé et
emprisonné Réthel (Ardennes),
en zone occupée par les Allemands. Accusé despionnage, il
est condamné à mort le 20 mai 1915. Le 5 août, à 7 heures, il
est exécuté à
Amagne-Lucquy (Ardennes). En septembre 1923, son corps est
rapatrié pour reposer désormais au petit cimetière Saint-Roch.
La médaille militaire lui a été décernée à titre posthume.
Avenue Max Gallo, ex-avenue des Phocéens.
Max GALLO (1932-2017), est un écrivain,
historien et homme politique français. Originellement chercheur
en histoire, il se tourne ensuite vers
la littérature avec ses « romans-histoire » qui constituent
l'essentiel de son uvre. Ses premiers romans, qu'il appelle
des ouvrages de « politique-fiction »,
ont été écrits sous le pseudonyme de Max Laugham. Écrivain
prolifique et biographe à succès, il est élu membre de
l'Académie française le 31 mai 2007.
En 1981, il est élu député sous l'étiquette du Parti
socialiste, puis devient porte-parole du troisième gouvernement
Mauroy. En 1992-1993, il quitte le PS
pour suivre Jean-Pierre Chevènement lors de la fondation du
Mouvement des citoyens. Il soutient ensuite Chevènement lors de
l'élection présidentielle
de 2002, puis Nicolas Sarkozy en 2007.
Monument du Centenaire - Promenade des Anglais.
Le monument du Centenaire de la réunion de
Nice à la France, d'André-Joseph Allar, a été inauguré le 4
mars 1896 au jardin Albert-Ier. Il célèbre
le centenaire du rattachement de Nice à la France, en 1793. La
statue en bronze représente une victoire ailée qui prête
serment de fidélité. Le groupe
en marbre est une allégorie de Nice se donnant à la France.
Le monument a été commandé à l'occasion des
fêtes du centenaire de la République, en 1892. Il a été
inauguré le 4 mars 1896 par Félix Faure,
président de la République française, Léon Bourgeois,
président du Conseil, Maurice Rouvier, président du conseil
général des Alpes-Maritimes,
Alfred Borriglione, sénateur des Alpes-Maritimes, Flaminius
Raiberti, député des Alpes-Maritimes et François Alziary de
Malausséna, maire de Nice.
Il a été inscrit aux monuments historiques le 23 juillet 2009.
24, rue Saint-François-de-Paule.
Anton Pavlovitch TCHEKHOV (1860-1904), est un
écrivain russe, principalement nouvelliste et dramaturge. Tout
en exerçant sa profession de médecin,
il publie entre 1880 et 1903 plus de 600 uvres
littéraires ; certaines pièces souvent mises en scène à
l'heure actuelle - La Mouette, La Cerisaie, Oncle Vania
-
font de lui l'un des auteurs les plus connus de la littérature
russe, notamment pour sa façon de décrire la vie dans la
province russe à la fin du XIXème siècle.
24, rue Saint-François-de-Paule.
Henri MATISSE, né le 31/12/1869 au Cateau-Cambrésis (59) et mort le 3/11/1954 à Nice (06), est un peintre, dessinateur, graveur et sculpteur français.
Église Saint-François-de-Paule - 7, rue Saint-François-de-Paule.
À la mémoire des enfants de la paroisse Morts pour la Patrie 1914-1918.
Église Saint-Jean-Baptiste - 2, rue Alfred Mortier.
À nos glorieux Morts des quartiers du Lycée 1914-1918.
Place Marshall.
Léon Charles Albert CALMETTE (1863-1933), fils
d'un Préfet, usuellement nommé simplement Albert Calmette ou
docteur Calmette,
est un médecin et bactériologiste militaire français. Sa
renommée tient à la mise au point entre 1904 et 1928, avec
Camille Guérin,
de la vaccination contre la tuberculose grâce au B.C.G.
Église Saint-Pierre-d'Arène - 62, rue de France.
(Traduction d'une plaque se situant au-dessus et pour l'instant recouverte d'une toile peinte)
Marie-Christine de Bourbon-Siciles (parfois
appelée « de Naples-Sicile ») née le 17 janvier 1779 à
Caserte et morte le 11 mars 1849 à Savone,
est une princesse de la maison de Bourbon-Siciles, devenue reine
consort de Sardaigne par son mariage avec le roi Charles-Félix.
Villa Masséna - 65, rue de France.
En 1898, Victor MASSÉNA (1836-1910), prince
dEssling et duc de Rivoli, petit-fils du maréchal niçois
André Masséna, décide la construction
dune grande villa de plaisance sur le bord de mer niçois.
Les Masséna, qui apprécient la villa Rothschild à Cannes, la
proposent comme modèle
aux architectes Hans-Georg Tersling et Aaron Messiah. Ceux-ci
sont également priés de sinspirer des grandes villas de
style néo-classique italien.
Ils adoptent aussi un style Empire, hommage évident à Napoléon
Ier, auquel la famille Masséna doit ses titres. La villa est
conçue pour des réceptions
brillantes. Ses jardins, dessinés par le paysagiste et botaniste
Édouard André (1840-1911), ainsi que la cour d'honneur au nord
ont été restaurés entre
2006 et 2007. Les façades et les toitures de la villa sont
inscrites au titre des monuments historiques depuis 1975.
En 1919, Le prince dEssling, duc de
Rivoli, André Prosper Victor Eugène Napoléon MASSÉNA, fils de
Victor Masséna, vendit ce bijou de la
Belle Époque construit par son père, à la ville de Nice, pour
un prix égal aux droits de succession qu'il avait dû payer, en
stipulant que le jardin
devait être ouvert au public, et que la villa devienne un musée
d'histoire locale sous le nom de « musée Masséna ».
65, rue de France.
Le musée Masséna est un musée municipal de
la ville de Nice installé dans une des dernières villas de
prestige du XIXème siècle de la promenade
des Anglais. Laccueil du public seffectue, au nord de
lédifice, par un pavillon situé au numéro 65 de la rue
de France.
Église du Sacré-Cur - 22, rue de France.
Josette Dominique PÉGURIER (1926-2015).
Rue Desboutin, entre la rue Saint-François-de-Paule et l'avenue Max Gallo.
Marcellin Gilbert DESBOUTIN, (1823-1902), est un peintre, graveur et écrivain français.
Rue Bréa, entre le quai des États-Unis et la rue Saint-François-de-Paule.
La famille BRÉA est une famille d'artistes italiens originaire de Nice des XVème et XVIème siècles, qui ont uvré sur toute la Riviera.
Ludovico BREA, ou Louis BRÉA, ou Ludovic BRÉA
(vers 1450- vers 1522-1525), est un peintre actif à Nice, dans
l'arrière-pays niçois,
à Gênes et sur la Riviera ligure. Il fait partie des Peintres
primitifs niçois.
Francesco BREA, ou François BRÉA (vers 1495- vers 1562), est un peintre, neveu du précédent.
Rue Raoul Bosio, entre le quai des États-Unis et la rue de la Préfecture.
Raoul BOSIO (1913-1994), marchand et homme
politique niçois, conseiller général des Alpes-Maritimes
et conseiller régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur.
1, rue du Malonat.
Honoré et Séraphine KIEFFER.
En haut de la rue du Malonat.
Vierge mère SVB à de l'aide
Les habitants du quartier du Malonat
Au moyen du choléra
AVG 1854 racheté
Dans un monument durable de reconnaissance.
En haut de la rue du Malonat.
Reconnaissance à Notre Dame du Bon Secours.
Plaque inaugurée le 5 août 1945 par :
- Paul RÉMOND (1873-1963), ecclésiastique catholique français
qui fut notamment aumônier général des troupes françaises
pendant
loccupation de la Ruhr et évêque de Nice de 1930 à sa
mort. Légion d'Honneur, Croix de guerre avec palmes 2 étoiles
d'argent,
2 étoiles d'or, Croix d'Officier de l'Ordre de Léopold,
Médaille des Justes, délivrée par Yad Vashem.
- ROLLANT, chanoine, curé de la paroisse.
13, rue Droite.
François ERENA.
5, rue François Zanin.
Maison familiale hospitalière ?
1636.
Église Saint-Augustin - Place Saint-Augustin.
Le Comité du Quartier Saint-Augustin à ses Morts Glorieux de la Grande Guerre.
Rue Catherine Ségurane, à droite après la rue Sincaire.
Charles CALAIS (1883-1914), est un poète
français. Fils de Jean Calais, commis de librairie, et de Jeanne
Marie Turoglio, couturière et lingère.
Il fait ses études au petit séminaire comme boursier dans la
section ecclésiastique ; c'est un très bon élève. Profitant
de la profession de son père, il a un
accès facile aux livres de la librairie. Pour le bicentenaire de
la mort de Jean Racine, il compose un poème qui est lu dans
toutes les classes.
À 16 ans, il renonce au grand séminaire et il décide qu'il
sera poète. À 18 ans, il entre dans l'administration des PTT ;
il est guichetier à la Grande Poste
de Nice. Ses nuits se passent en lectures et en écritures. Il
écrit les recueils Poèmes du cur gaspillé et Poèmes
ensoleillés, utilisant un registre
plus parisien que niçois, un peu encanaillé, comme son ami et
modèle Francis Carco. Avec Louis Géry, François Bonjean et
Victor Rocca, il fait paraître
le recueil Quelques poèmes, qui lui vaut l'estime des
critiques Maurice Maeterlinck et Laurent Tailhade, et il crée le
Cahier des Poètes. Francis Carco
participe aux différents numéros du Cahier des Poètes
et en fait un porte-parole national de la jeune poésie. Il est
emporté par la maladie et ses amis
rédigent une note qui paraît dans les journaux locaux : La
mort vient de le surprendre au moment où il méditait la
publication de ses poèmes. Cest un vrai
poète qui sen va, en pleine possession de son art, si
scrupuleux quil hésitait toujours à se produire, mais qui
a laissé une uvre sur laquelle ses amis
sauront veiller. Le temps lui donnera cette gloire posthume
quil pressentait avec une ironie amère, ces derniers temps.
8, rue Catherine Ségurane.
Arona PIERELLI.
33, avenue de la République.
Paul et Adolphe DENICHERE-LHERMINE.
Place du Palais.
Hall d'entrée du Palais de Justice.
Cathédrale Sainte-Réparate - Place Rosetti.
Raymundo RECROSIO - Carolus Franciscus CANTONUS - 1757.
Cathédrale Sainte-Réparate - Place Rosetti.
À nos Morts 1914-1918.
Rue de la Boucherie, au pied de la Porte Fausse.
1830.
5, rue du Moulin.
Julius Cesar RICHELMI (1644-1677), avocat fiscal, homme politique, fut sénateur au sénat de Nice.
Église Sainte-Hélène - 142, avenue de la Californie.
Aux Glorieux Morts de Sainte-Hélène.
Église Sainte-Hélène - 142, avenue de la Californie.
Jean FERRE (1919-1987), abbé, fondateur de l'Enfance Populaire de Nice - Ouest.
Piscine Jean Médecin - 178, rue de France.
La piscine municipale Jean Médecin est une
piscine couverte composée de 2 bassins : un grand bassin de nage
de 25 x 15 mètres et un petit bassin
de 15 x 8 mètres, d'une salle de sport, d'un espace fitness et
d'un spa. Située en plein centre-ville dans le quartier des
Beaumettes à 2 pas
de la Promenade des Anglais, c'est l'une des 8 piscines de Nice.
Inaugurée le 22 janvier 1967 par :
- Jacques MÉDECIN (1928-1998), homme politique, maire de Nice de
1965 à 1990, secrétaire d'État au Tourisme en 1976 dans le
gouvernement BARRE
- Charles EHRMANN (1911-2011), professeur au Lycée Masséna de
1937 à 1975, homme politique, adjoint au maire de Nice de 1965
à 1983,
conseiller général des Alpes-Maritimes de 1973 à 2001,
député des Alpes-Maritimes de 1976 à 1981 puis de 1986 à 2002
et député
suppléant de Jerôme Rivière de 2002 à 2007.
Basilique Notre-Dame - 37 bis, avenue Jean Médecin.
Pour commémorer le 1700ème anniversaire de la proclamation du Christianisme en Arménie.
Basilique Notre-Dame - 37 bis, avenue Jean Médecin.
Inauguration de la restauration de la Basilique en l'année du 150ème anniversaire du rattachement de Nice à la France.
Basilique Notre-Dame - 37 bis, avenue Jean Médecin.
Aux Morts de la Grande Guerre.
Basilique Notre-Dame - 37 bis, avenue Jean Médecin.
Aux Morts de la Grande Guerre.
6, avenue Durante.
Gustave NADAUD (1820-1893), est un goguettier, poète et chansonnier français.
Bureau de Poste Thiers - 23, avenue Thiers.
Agents des Postes et des Télégraphes du
département des Alpes-Maritimes Morts pour la France
1914-1918, 1939-1945, T.O.E., Indochine, A.F.N.
22, rue Pertinax.
Francis GAG (1900-1988), de son vrai nom
Francis Gagliolo, est un auteur français. Il est né et a vécu
toute sa vie à Nice, et écrivait en occitan niçois.
Il est le père de Pierre-Louis Gag, comédien français né à
Nice en 1936, et le grand-père de Jean-Luc Gag.
Dès 1922, il écrit sa première de théâtre Lou sartre
matafiéu. Plus tard, vers les années 1930, il crée sa
propre troupe, avec laquelle il joue
notamment La pignata dor en 1936, et Lou vin
dei padre en 1937.
Avec la Seconde Guerre mondiale lui vient l'idée de créer un
personnage commun, drôle et identifiable par tous : Tanta
Vitourina. Il y fera référence
dans ses Minutes sur Radio-Nice et sur Radio Monte-Carlo. Ces
minutes étaient, comme leur nom l'indique, des textes niçois
courts qui traitaient d'un
sujet drôle ou d'actualité. Pour les réaliser, Francis Gag
interviewait ses amis, des gens dans la rue, et leur demandait
leur avis, leurs expériences et
leur quotidien, ce qui faisait que chacun se sentait concerné
par ces histoires.
En 1956, il crée une troupe de danse traditionnelle, Nice la
Belle, qui représentait sa ville lorsqu'il s'y passait des
évènements. À 64 ans, il écrit
La marche à la crèche puis, en 1981, Segne Blai e
Guilhaumeta. Il meurt à 88 ans, alors qu'on venait
d'inaugurer un théâtre à son nom.
Francis Gag tournait avec ses personnages et son Pastrouil dans
les fêtes des villages du Sud-Est (Les Festins) avec une
première partie de variétés,
numéros visuels, chanteurs, orchestre, en particulier avec le
Trio Jean-David et, au piano, Pierre Philippe Beauzun, qui eut
par la suite une carrière de
concertiste, compositeur, chef d'orchestre, chef de churs,
et bien sûr en vedettes Tante Victorine et Barbarin toujours
très attendus le succès était garanti.
Francis Gag fut élu Majoral du Félibrige en 1960 (Cigalo de
Camp-Cabèu).
Mis à jour le : 26 juillet 2019