Monuments, plaques commémoratives diverses et stèles dans Nice (8)

Monuments, plaques commémoratives diverses et stèles dans NICE (8)

(Classement dans l'ordre des saisies)

Cimetière de Gairaut - Avenue de Gairaut.

Alexandre MÉDECIN (1852-1911),
Avocat, Docteur en Droit, Chevalier de la Légion d'Honneur, Conseiller Général.

Cimetière de Gairaut - Avenue de Gairaut.

Jean MÉDECIN (1890-1965), avocat et homme politique français.
Fils d'Alexandre (ci-dessus) et père de Jacques qui lui succède à la mairie.
Maire de Nice de 1928 à 1943 et de 1947 à 1965.
Chevalier de la Légion d'Honneur et décoré de la Croix de guerre.
Jean Médecin était parfois surnommé « le roi Jean » ou bien encore « Jan de Nissa ».

Jacques MÉDECIN (1928-1998), homme politique français.
Maire de Nice de 1966 à 1990, président du conseil général des Alpes-Maritimes de 1973 à 1990,
et secrétaire d'État au Tourisme de 1976 à 1978 dans les gouvernements Chirac I, Barre I et Barre II.

Au cours de cinq mandats de 1965 à 1990, il initie ou soutient en tant que maire de grands travaux d'infrastructure et d'équipement.
Les réalisations les plus importantes de cette période incluent : les centres d'affaires l'Arenas et Nice-la-Plaine, le musée d'art moderne
et d'art contemporain, la station d'épuration de Ferber, le centre commercial Nicetoile, le palais des congrès Acropolis.
La politique de la municipalité sur cette période est favorable au transport routier avec la construction du contournement routier de Nice
dite autoroute nord et la voie Pierre-Mathis, de parcs de stationnement souterrains en centre-ville.

Condamné par la justice française pour plusieurs affaires de corruption, Jacques Médecin évite plusieurs peines
de prison ferme en s'enfuyant en Uruguay, de septembre 1990 jusqu'à son extradition en novembre 1994.
Il repart pour l'Uruguay en 1996 jusqu'à sa mort en 1998.

Cimetière de Gairaut - Avenue de Gairaut.

Camille MUFFAT (1989-2015), nageuse française.
Licenciée au club de l'Olympic Nice Natation et spécialiste du quatre nages puis de la nage libre, dont la carrière sportive s'étend de 2005 à 2014,
elle est considérée comme l'une des plus grandes nageuses françaises.
Elle se révèle au plus haut niveau à l'âge de 15 ans, en battant Laure Manaudou sur 200 m 4 nages lors des Championnats de France 2005,
et en lui subtilisant son record de France. Elle est championne d'Europe sur cette distance en petit bassin à Debrecen en 2007.
À partir de 2010, elle se consacre exclusivement à la nage libre, et remporte son premier titre mondial sur 200 m en petit bassin à Dubaï.
Lors des Jeux olympiques de Londres, elle remporte trois médailles : l'or sur 400 mètres nage libre le 29 juillet 2012, puis l'argent sur 200 mètres
nage libre, et enfin le bronze sur le relais 4 × 200 mètres nage libre. Un jour avant Yannick Agnel, son coéquipier du club de Nice et
futur vainqueur du 200 mètres nage libre, Camille Muffat devient la quatrième Française à remporter un titre olympique individuel en natation
après Jean Boiteux en 1952, Laure Manaudou en 2004 et Alain Bernard en 2008.
Elle est également la troisième Française, après l'athlète Micheline Ostermeyer en 1948 et la nageuse Laure Manaudou en 2004, à avoir
remporté trois médailles olympiques lors d'une même édition.
Elle annonce sa décision de prendre sa retraite sportive en juillet 2014. Le 9 mars 2015, elle meurt dans un accident d'hélicoptère près de
Villa Castelli dans la province de La Rioja en Argentine, au cours du tournage de l'émission de télé-réalité Dropped.

Cimetière du Château - Allée François Aragon.

Famille BERGONDI.

Constantin BERGONDI (1819-1874), était un homme politique français du dix-neuvième siècle, député des Alpes-Maritimes
sous la Troisième République. Il était le fils de François Bergondi, notaire. Son frère, Charles Bergondi, était conseiller d'arrondissement.
Après des études de droit à Turin, Constantin Bergondi devient avocat à Nice. Conseiller provincial avant 1860, il est ensuite élu conseiller général
de Saint-Sauveur de 1861 à 1864, puis de 1868 à 1874. Élu en février 1871 aux élections législatives dans les Alpes-Maritimes, il siège au centre gauche.
À la suite de problèmes familiaux, il met cependant fin à ses jours.

Cimetière du Château.

Famille Gérard de GUBERNATIS.

Gérard de GUBERNATIS (1925-2016), ancien bâtonnier de l'Ordre des avocats de Nice, ancien conseiller municipal et régional.

""" Le 11 septembre 1968, la Caravelle Ajaccio-Nice du vol Air France 1611 (AF1611), parti d'Ajaccio (Corse-du-Sud) en Corse, s'abîme en mer au large
de Nice (Alpes-Maritimes), tuant les 95 personnes présentes à bord dont 6 membres d'équipage. La Caravelle III Béarn de la compagnie Air France avait
décollé de l'aéroport d'Ajaccio-Campo dell'Oro vingt minutes plus tôt et descendait vers l'aéroport de Nice-Côte d'Azur quand l'équipage a signalé
un incendie à bord, avant que le contact ne soit perdu. Peu après, des débris de l'avion aperçus à la surface de la Méditerranée confirment l'accident.

7 mois après la catastrophe, la rumeur de la thèse du missile s'installe sérieusement. Le 18 mars 1969, l'avocat niçois Gérard de Gubernatis écrit
au juge d'instruction : « les familles sont les premières à éprouver le besoin de connaître la vérité […] on aimerait que les témoins soient entendus […].
Un accident de cette nature ne peut être l'effet du hasard […] on est en droit de se demander si l'accident n'a pas été occasionné par l'impact d'un missile… […]
nous ne saurions nous contenter de la simple réponse du ministère des Armées […] ».

Lors du procès, en 1970, dans un reportage du journal de 20 h de la 1re chaîne ORTF, les familles des victimes réfutent la thèse de l'accident et
défendent celle du missile ; « pour nous personnellement, pour les familles en général, c'est clair comme de l'eau de roche, c'est un missile qui a abattu
la caravelle, c'est une certitude ».

En 1970, l'avocat des parties civiles Gérard de Gubernatis a été le premier à mettre la pression sur les autorités et déclare : « Je m'insurge parce qu'on
ne veut pas faire la lumière sur cette affaire. Ce « on », je ne sais si c'est Air France, Sud-Aviation ou bien le ministère de la Défense nationale.
Mais « on » existe et s'emploie pour que ce drame reste mystérieux ». """

Cimetière du Château.

Louis NUCÉRA (1928-2000), est un écrivain français. Il a reçu le prix Interallié en 1981 et les grand prix de littérature de l'Académie française
en 1993 et prix du roman populiste en 2005 pour l’ensemble de son œuvre. Louis Nucéra était connu pour sa passion du cyclisme, auquel il consacre
notamment le livre "Mes rayons de soleil". Il était aussi passionné par les chats, et il a écrit plusieurs livres sur eux.

Tour à tour employé de banque, journaliste, attaché de presse dans une maison de disques, directeur littéraire chez Lattès, Louis Nucéra est surtout
connu comme écrivain et son importante passion pour le cyclisme, thème de nombre de ses ouvrages.

Louis Nucéra fait du vélo près de Nice, le 9 août 2000, dans la zone industrielle de Carros, quand il meurt après avoir été renversé par une voiture.
D'abord inhumé au cimetière de Caucade, il repose, depuis le 9 août 2019, au cimetière du Château.

Cimetière du Château - Allée François Aragon.

Famille RANCHER.

Joseph-Rosalinde RANCHER [Giuseppe Rosalindo Rancher], né le 20 juillet 1785 (alors comté de Nice du royaume de Sardaigne)
et mort le 11 juillet 1843 à Nice (alors division de Nice du même royaume), est un écrivain niçois de langue d'oc ayant écrit en niçois.

Basilique Notre-Dame - 37 bis, avenue Jean Médecin.

Le 29 octobre 2020, Nadine DEVILLERS (60 ans), Simone BARRETO-SILVA (44 ans) et Vincent LOQUÈS (54 ans),
ont été victmes d'un terroriste islamiste au sein de la basilique et son décédés.

Idem ci-dessus.

À gauche de la Basilique Notre-Dame - 37 bis, avenue Jean Médecin.

"La Colombe de la Paix", don à la ville de Nice, œuvre de Théo TOBIASSE, né Tobias EIDESAS, (1927-2012),
artiste peintre, graveur, dessinateur et sculpteur français.

Place du Palais de Justice.

À l'emplacement de la fontaine détruite le 18 janvier 2021.

"L'Oulivié", œuvre de Laurent BOSIO, (1964-), peintre et sculpteur,
inaugurée par Christian ESTROSI, le 10 juin 2021.

Promenade des Anglais, au niveau du Palais de la Méditerranée.

"L'Ange de la Baie" (Un homme-oiseau posé sur une vague), œuvre de Jean-Marie FONDACARO, (1956-), plasticien sculpteur,
en hommage aux 86 personnes décédées et plus de 400 blessés de l'attentat du 14 juillet 2016,
inaugurée par Christian ESTROSI, le 14 juillet 2022.

idem ci-dessus.

Calligramme en forme de cœur englobant les noms des 86 personnes décédées.

Gare des Chemins de Fer de Provence - 4, rue Alfred Binet.

Travaux de modernisation de la ligne des Chemins de fer de Provence inaugurés le 1er juillet 2013 par :

- Christophe MIRMAND, Préfet des Alpes-Maritimes,
- Michel VAUZELLE, Président du Conseil régional PACA,
- Christian ESTROSI, maire, président Métropole,
- Éric CIOTTI, député, président Conseil Général.

Gare des Chemins de Fer de Provence - 4, rue Alfred Binet.

École Hôtelière de Commerce et de Tourisme - 144, rue de France.

En avril 1931, le ministre de l'Instruction publique Marius Roustan pose la première pierre d'un nouvel établissement, situé au 144 de la rue de France,
à proximité des grands hôtels de la Promenade des Anglais et du boulevard Victor-Hugo où se rendent les élèves stagiaires. La nouvelle école hôtelière
de Nice ouvre en 1932. À partir de 1937, les cours d'économie touristique s'articulent autour des cours de géographie du tourisme et d'histoire régionale.

En 2014, une sculpture en aluminium réalisée par Patrick Poupeau, en collaboration avec la fonderie Guyot-Creste,
est installée au 144 rue de France en souvenir de l'établissement hôtelier.

idem ci-dessus

27, Bd Pierre Sola.

Caporal Serge TOTI (1934-1957), Mort pour la France.

Parc des Sports de l'Ouest (Stade Charles-Ehrmann)
155, route de Grenoble.

Inauguré le 4 août 1973 par :
- Pierre MAZEAUD, secrétaire d'État à la Jeunesse et aux Sports
- Jacques MÉDECIN, député maire de Nice
- Charles EHRMANN, adjoint délégué aux sports.

Le stade Charles-Ehrmann, anciennement stade de l'Ouest, est un stade d'athlétisme au sein du complexe
sportif du parc des sports Charles-Ehrmann (anciennement parc des sports de l'Ouest).
En dehors de la pratique de l'athlétisme et du football, il est souvent le cadre de grands concerts estivaux,
surtout depuis qu'il jouxte le Palais Nikaia.

15, Promenade des Anglais.

Palais de la Méditerranée.

^{Il a été construit
par les architectes Charles et Marcel Dalmas, en 1929 pour le
millionnaire américain Frank Jay Gould . Selon Insight
Guides, il "incarnait le glamour des années 1930 avec
un casino, un théâtre, un restaurant et un bar à
cocktails".

C'était à l'origine un centre important pour les arts à
Nice, et des expositions d'art nationales et internationales
y ont été tenues.

L'hôtel d'origine a fermé en 1978. La façade principale
Art Déco sur la Promenade des Anglais et la façade sur la
rue du Congrès ont été classées monuments historiques par
arrêté du 18 août 1989. Ainsi, celles-ci ont été
conservées lorsqu'une grande partie de l'hôtel d'origine a
été démolie

en 1990, pour faire place à un hôtel entièrement
modernisé, avec des chambres d'hôtel, des appartements et
un casino.}

53, Promenade des Anglais.

Palais MARY.
Le promoteur est Jean-Jacques Mecatti, l'architecte Kevork Arsenian et Giraud ingénieur.

67, Promenade des Anglais.

Maurice JOKAI (1825-1904), était un romancier, dramaturge et révolutionnaire hongrois.
Il était un chef de file de l'éclatement de la Révolution hongroise de 1848 à Pest.
Ses romans romantiques sont devenus très populaires parmi l'élite de l'Angleterre victorienne, où il était souvent comparé à
Charles Dickens par la presse. L'un de ses admirateurs les plus célèbres était la reine Victoria elle-même.

83-85, Promenade des Anglais.

Palais d'Orient (1962).
Georges Dikansky, architecte.

123, Promenade des Anglais.

Palais Marie Christine.

193-195, Promenade des Anglais.

Palais Ascot.

245, Promenade des Anglais.

Palais de la Mer.

172, avenue de La Californie.

Maison des Alpes-Maritimes des 1000 Premiers Jours.

La Maison des Alpes-Maritimes des 1000 premiers jours est un lieu unique qui regroupe de nombreux services de prévention
de proximité et d’accessibilité universelle. Cette offre de service, portée par le service départemental de PMI, offre à chaque
usager des ressources répondant à ses besoins et les accompagne afin de le seconder face aux défis de la parentalité.
C’est avant tout un lieu de rencontre pour les parents et les professionnels. Les usagers bénéficient d’un accompagnement ponctuel, selon
leurs besoins, comme une "étape de parentalité" à un ou différents moments de leur parcours de la préconception aux 3 ans de l’enfant.

Inaugurée le 19 janvier 2023 par :
- Charles Ange GINÉSY, Président du Département des Alpes-Maritimes,
en présence de :
- Éric CIOTI, Député, Président de la commission des finances des A-M
- Christelle D'INTORNI, Députée, Conseillère départementale des A-M,
- Denis ROBIN, Directeur de l'Agence Régionale de santé PACA,
- Boris CYRULNIK, Neuropsychiatre, Président de la commission d'experts des 1000 premiers jours de l'enfant,
- Auguste VEROLA, Vice-président du Département des A-M, délégué à l'enfance et de la culture,
- Vanessa LELLOUCHE, Conseillère départementale des A-M, Présidente de la commission de l'enfance.

3, rue Masséna.

Palais Masséna.

9, rue Saint-François-de-Paule.

Couvent des Dominicains.

Les frères du Couvent de Nice appartiennent à la Province de Toulouse. Ils prient ensemble dans leur église, rue Saint-François-de-Paule.
Chacun travaille selon son charisme à la prédication.
Les frères dominicains sont aidés par de nombreux amis et bénévoles. Ils vivent dans l’esprit de sa tradition bien représentée par
le Père Lagrange, fondateur de l’École Biblique de Jérusalem. Aussi, les Dominicains se mettent au service d’une meilleur connaissance
de l’Evangile qu’ils prient, méditent, étudient, annoncent dans toute la région (Corse et Côte d’Azur).
C’est dans ce même souci de prédication de l'évangile du Christ qu’a été confié aux Dominicains l’apostolat de la prière du Rosaire.
Dans notre couvent de Nice, deux salles, une Galerie d’art et l’église vous accueillent pour la prière des offices et la messe,
pour des conférences, expositions, concerts ou réunions. Nous avons également un foyer d’étudiants.

L’ordre des dominicains a toujours participé à la vie artistique sous toutes ses formes. Il compte d’ailleurs dans ses membres des musiciens,
des peintres, des architectes, des écrivains. On connaît surtout Fra Angelico, mais il n’est pas le seul. La Galerie du Couvent des
Dominicains de Nice continue cette tradition de rencontre, d’échanges et de soutien. Les expositions sont facilement accessibles.
La galerie donne directement sur la rue Saint François de Paule, face à L’Opéra.

Cimetière du Château - Allée François Aragon.

Renée SAINT-CYR, née Marie-Louise Eugénie VITTORE (1904-2004), actrice, chanteuse et écrivain, est la mère
de Georges LAUTNER (1926-2013), réalisateur et scénariste.
Formée au chant à Marseille à la fin des années 1910, sa carrière démarre dans les années 1930 au cinéma. Elle est ensuite présente au cinéma
et au théâtre pendant près de soixante ans. À partir des années 1960, elle apparaît principalement dans les films de son fils.

Cimetière du Château.

Louis Pierre CLÉRISSY (1868-1911), adjoint au maire de Nice, Officier de l'Instruction Publique.

Cimetière du Château.

Famille Joseph PAOLI (1854-1944).

Alfred PAOLI [Alfred François Michel] (1887-1972).

Cimetière du Château.

Paul MONTEL [Antoine Paul Aristide] (1876-1975), mathématicien, professeur d'université, membre de l'Institut.
Président de l'Académie des sciences en 1958, grand officier de la Légion d'honneur.

Cimetière du Château.

Antoine BOTTERO (1818-1891), archiviste, conservateur de la bibliothèque et musée de Nice.

9, rue Blacas.

Palais Pierre CLÉRISSY (voir ci-avant).

10, rue Blacas.

Palais BLACAS. 1936 - R. Livieri architecte, Cagnoli & Olmi entrepreneurs.
La Maison de Blacas est une famille subsistante de la noblesse française
qui tire son nom du château d'Aups (en Provence).

Cimetière du Château - à gauche à l'entrée.

Clément ROASSAL (1781-1850), propriétaire terrien, conseiller communal, appartient au Cercle Philarmonique,
chevalier de l'ordre des Saints Maurice, peintre amateur.

Cimetière du Château - carré Petit cimetière.

Gaspard EBERLÉ (1764-1837), général français de la Révolution et d'Empire, gouverneur de Nice,
commandant supérieur de la place de Briançon et du département des Hautes-Alpes.

Cimetière du Château - carré Orizet.

Joseph Dieudonné TAGLIAFICO (1821-1900), chanteur lyrique et compositeur.

Cimetière du Château - carré Lesage.

Ernest LAIROLLE [Ernest CONDUZORGUES de LAIROLLE] (1851-1926), avocat, député des Alpes-Maritimes,
vice-président du Conseil Supérieur de la Mutualité.

21, rue Alexandre Mari.

Rudolf BARSHAI [Roudolf Borissovitch BARCHAÏ] (1924-2010), altiste et chef d'orchestre russe naturalisé israélien.

En tant qu'altiste, BARCHAÏ a été considéré comme l'un des meilleurs de son temps. Il est à l'origine de la fondation
du Quatuor Philharmonique de Moscou créé, avec d'autres étudiants du Conservatoire de Moscou, en 1946.
Quittant cette formation, il fondera l'Orchestre de chambre de Moscou auquel son excellent niveau vaudra une renommée internationale.
En 1976, il s'éloigne de l'Union soviétique, puis émigre en Israël où il prend la direction de l'Orchestre de chambre national,
qu'il quittera en 1981 pour diriger l'Orchestre symphonique de Bournemouth jusqu'en 1988.

2, rue de Lépante.

Palais Pauline.
Immeuble, construit entre 1906 et 1911, Art Nouveau légué par le Consiglio d'Ornato (conseil d'embellissement),
créé par lettres patentes du roi Charles-Albert le 26 mai 1832, enregistrées et publiées le 8 juin 1832 par le Sénat de Nice.

15, boulevard Dubouchage.

Palais DUBOUCHAGE.
Marc Joseph de Gratet, comte Dubouchage (1746-1829),
militaire de la Révolution française, préfet sous Napoléon Ier.

6, boulevard Dubouchage.

Palais de la Paix.

4 bis, boulevard Dubouchage.

Palais Jacqueline.

2, boulevard Dubouchage.

Palais Jacques CAUVIN.
Le professeur Jacques Cauvin (1930-2001), était un archéologue spécialisé dans la préhistoire du Levant et du Proche-Orient.

2, avenue Désambrois.

Maison des Nains en réalité Mas du Sablonat. Date de 1926 par l'architecte Trachel.
Surnom acquis en raison des petites dimensions de ses portes et fenêtres dues à un plancher situé 1,50 m sous le niveau de la rue.

2, avenue Désambrois.

Église Orthodoxe Grecque Saint-Spyridon construite en 1950.

Idem ci-dessus.

3, avenue Désambrois.

Palais VERDA, vers 1915.

28, boulevard Carabacel.

Palais de Nice. À l'origine, Grand hôtel de Nice.

6, boulevard Carabacel.

Palais Royal.
Propriété privative de la famille Costamagna, héritage de la famille Veran.

2, rue Tonduti de l'Escarene.

Palais Audiberti de Saint-Etienne.
Construit en 1844-1847 par la famille Audibert possédant le fief de Saint-Étienne-de-Tinée
et passé par mariage à la famille Renaud de Falicon, fief à Falicon.

33, rue Gioffredo.

Vincent GARGANO (1909-1995), ancien photographe de Nice-Matin.

19, avenue Chateaubriand.

Palais de TRINCHIERI. 1931, architecte Ernest Vaglio.

3, boulevard Joseph Garnier.

Résidence GARNIER.

6, rue Alfred Binet.

Groupe scolaire Thérèse ROMÉO.

Thérèse ROMÉO, née Marie Thérèse MALICET (1913-1989), professeure, militante socialiste, conseillère municipale.

32, rue Clément Roassal.

Clément ROASSAL (1781-1850), conseiller communal, peintre amateur.

34, rue Clément Roassal.

Palais du Soleil.

126, boulevard Gambetta.

Castel EL SOL.

18, rue Clément Roassal.

Palais de l'Industrie.

11, rue Clément Roassal.

Palais Marie MIETTE.

163, rue de France.

Palais Rosa-Bonheur (entrée de service).

125, rue de France.

Immeuble Gloria Mansions. 1932-1934, architecte Garabed Hovnanian. Inscrit aux monuments historiques.

100, rue de France.

Palais Regulus.

102, rue de France.

Palais Alcyone.

13, rue de la Condamine.

Linteau médiéval. Serait daté de 1482. C'est le plus ancien élément architectural daté du Vieux-Nice encore visible.

5, rue de la Place Vieille.

INTERNA MELIORA (meilleur à l'intérieur), enseigne d'une maison close.

Montée Éberlé - Parc de la Colline du Château.

Francesco BOTTIERI, avocat et adjoint au maire, interprète.
Plaque souvenir posée en février 1855.

Cimetière du Château.

Louis et Albert ROSSI, Morts au Champ d'Honneur 1914-1918.

Cimetière du Château - Carré ONU.

Freda BETTI [Frédérique Thérèse Augusta BETTI], épouse René CLERMONT, (1924-1979), artiste lyrique.

11, boulevard Gambetta.

COMTÉ de NICE.

Colline du Château - Carré israélite du cimetière du Château.

Famille A. VAN CLEFF.

Alfred VAN CLEFF (1872-1938), joaillier, fondateur de Van Cleff & Arpels, entreprise de haute joaillerie, joaillerie,
horlogerie et parfums de luxe en 1906, avec son beau frère Salomon dit Charles ARPELS à Paris.

Colline du Château - Carré israélite du cimetière du Château.

René GOSCINNY (1926-1977), scénariste de bande dessinée, journaliste, écrivain et humoriste,
également producteur, réalisateur et scénariste de films.

Cimetière de Caucade, Carré 66 - Allée Lucienne Delyle - 7, Place de Caucade.

Aimé BARELLI (1917-1995), chef d'orchestre, compositeur, chanteur et trompettiste de jazz.
Il commence sa carrière de trompettiste à l'âge de 16 ans au Palais de la Méditerranée à Nice.
Par la suite, il est engagé au Palm Beach de Cannes.
Au début de la guerre 39-45, on le retrouve à Paris dans l'orchestre de Fred Adison.
Ce dernier était alors l'un des grands concurrents de l'orchestre de Ray Ventura.
Il rejoint en juin 1940, Raymond Legrand, qui n'a pas hésité à remplacer Ray Ventura
(ce dernier ayant dû se réfugier à l'étranger, à la suite des persécutions anti-juives).
En parallèle, il forme dès 1940 le Jazz de Paris avec Hubert Rostaing, Jerry Mengo et Alix Combelle.
En 1941, il enregistre au sein de la formation de Django Reinhardt : Django's Music.
Il reste dans l'orchestre de Raymond Legrand jusqu'en 1944, où il fait la connaissance de Lucienne Delyle qui deviendra sa femme.
En 1944, il crée son propre grand orchestre, qui par la suite comprendra jusqu'à 26 musiciens.
Après-guerre, il reprend le style des orchestres américains. Il se produit entre autres en 1946 à L'Aiglon,
puis jusqu'en 1948 aux Ambassadeurs.
En 1949, il s'installe à Monaco où il exerce ses talents de musicien devant des publics internationaux et privilégiés.
Réputé pour l'excellence et le particularisme de sa sonorité, il anime avec sa formation pendant de longues années
les soirées du Casino du Sporting Club de Monaco.

24, rue Verdi.

Palais Mireille.

Église Sainte Thérèse - 8, avenue Joseph Revelli.

Richard DALLAS (1902-2001), chanoine, premier curé de la Paroisse Saint Luc de 1940 à 1973.

Église Sainte Thérèse - 8, avenue Joseph Revelli.

Premier Sanctuaire élevé en France en l'honneur du passage de Ste Thérèse à Nice les 28 et 29 novembre 1887.

7, avenue Adolphe Isnard.

Palais Sainte Thérèse.