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- Le plus grand tour de magie de mon mari ? Il m'aime sans trucage (Lara FABIAN)

- Le sexe, c'est ce qu'il y a de profond chez l'homme et la femme (Laurent FABIUS) - Antenne 2 4/9/85.

- L'homme est une plante qui porte des pensées, comme un rosier porte des roses et un pommier des pommes (Antoine FABRE d'OLIVET)

- L'art de lire, c'est de penser avec un peu d'aide (Émile FAGUET)

- J'apprends chaque jour pour enseigner le lendemain (ÉF)

- Quand la bourse se rétrécit, la conscience s'élargit (Noël du FAIL)

- La maison est à l'envers lorsque la poule chante aussi haut que le coq (NduF)

- Y'a une façon d'être jeune, puis une manière d'utiliser les restes (René FALLET)

- Si le chemin ne se vit pas dans le quotidien, où donc pourrait-il bien se vivre ? Quelqu'un a-t-il jamais respiré ailleurs qu'ici et maintenant ? (Gilles FARCET)

- Notre tendance à tous est de tout transformer en idéologie, y compris les enseignements les plus libérateurs (GF)

- Le métier de croque-mort n'a aucun avenir. Les clients ne sont pas fidèles (Léon-Paul FARGUE)

- Dans nos livres, il y a trop d'appelés et trop d'élus (L-PF)

- En art, il faut croire avant d'y aller voir (L-PF)

- En art, il faut que la mathématique se mette aux ordres des fantômes (L-PF)

- La mode est une fille à qui sa mère veut survivre (L-PF)

- La qualité, c'est de la quantité assimilée (L-PF)

- Le génie est une question de muqueuses. L'art est une question de virgules (L-PF)

- Point n'est besoin d'écrire pour avoir de la poésie dans ses poches (L-PF)

- L'écriture est le seul espace de liberté absolue (Nicolas FARGUES)

- Les choses de l'enfance ne meurent pas, elles se répètent comme les saisons (Eleanor FARJEON)

- Trop de wagons et pas assez de locomotives (Patrick FAUCONNIER)

- Les mots sont comme les glands. Chacun d'eux ne donne pas un chêne, mais si vous en plantez un nombre suffisant, vous obtiendrez sûrement un chêne tôt ou tard (William FAULKNER)

- Ce qu'il y a de triste dans l'amour, c'est que non seulement l'amour ne peut pas durer toujours, mais que les désespoirs qu'il cause sont vite oubliés (WF)

- Les femmes ne sont que des organes génitaux articulés et doués de la faculté de dépenser tout l'argent qu'on possède (WF)

- Le suprême degré de la sagesse est d'avoir des rêves suffisamment grands pour ne pas les perdre de vue pendant qu'on les poursuit (WF)

- Ce n'est pas la girouette qui tourne, c'est le vent (Edgar FAURE)

- Il est indispensable de distiller un peu de vérité pour faire passer un gros mensonge (EF)

- Voici que s'avance l'immobilisme, et nous ne savons pas comment l'arrêter (EF)

- Tant qu'à vivre, mieux vaut avoir le pied sur l'accélérateur que sur le frein (Marc FAVREAU)

- Le temps n'épargne pas ce qu'on fait sans lui (François FAYOLLE)

- Les petites économies du riche sont aussi étonnantes que les dépenses somptueuses du pauvre (W. FEATHER)

- Juste avant de mourir, j'ai revu en une seconde toute ma vie... Bizarrement, je n'étais pas dedans (Marty FELDMAN)

- On veut faire de nous des clones tristes de la pensée unique alors que nous sommes des clowns agités de la pensée multiple (FELLAG)

- Chaque langue voit le monde d'une manière différente (Federico FELLINI)

- Il n'y a pas de fin. Il n'y a pas de début. Il n'y a que la passion infinie de la vie (FF)

- Le monde ne ressemblera plus jamais à l'idée qu'on s'en fait depuis que le cinéma existe (FF)

- (FÉNELON)

- Développez l’esprit qui libère l’esprit (Chung FENG)

- Il existe un chemin dans lequel le sexe le plus intense, la méditation la plus profonde et l'amour le plus universel se trouvent réunis. C'est le chemin que propose le Tantra (Jacques FERBER)

- La finalité de l'existence est de faire l'expérience de la Vie et de se réjouir à chaque moment de ce cadeau d'être (JF)

- Le Tantra est le chemin naturel vers le Divin. C'est en étant totalement spontané, si simplement sans mental, que l'on fusionne avec la Nature ultime, la Conscience absolue (JF)

- Il y a des gens si malhonnêtes que quand ils vous serrent la main, on compte ses doigts (Roger FERDINAND)

- La joie est dans le risque à faire du neuf (Marilyn FERGUSON)

- Le monde est un endroit merveilleux où naître... si vous n'êtes pas gêné par un peu d'enfer, de temps en temps (Lawrence FERLINGHETTI)

- Un pastis, c'est comme les seins d'une femme ! Un, c'est vraiment pas assez... Trois, c'est vraiment trop ! (FERNANDEL)

- Pour gagner, il faut accepter, par avance, de perdre (Luis FERNANDEZ)

- Le champion tire les leçons du passé, concrétise le présent, pense dans le futur (LF)

- On a peur seulement quand on n'est pas d'accord avec soi-même (LF)

- (Alice FERNEY)

- L'attente entretient le désir, et le désir, c'est plus de la moitié du plaisir ( Vincent FERNIOT)

- Je me suis toujours opposé à la toute puissance des grandes sociétés multinationales qui gouvernent le monde (Jean FERRAT)

- Les gens ont le sentiment de ne rien comprendre au monde et de n'avoir aucune influence sur leur propre avenir (JF)

- J'ai eu la vie d'un adolescent. La jeunesse finit toujours par être la plus forte (JF)

- Les trahisons se châtient, tandis que les faiblesses s'excusent. Mieux vaudrait des criminels et point des hésitants (Charles FERRÉ)

- Le bonheur ça n'est pas grand-chose... c'est du chagrin qui se repose (Léo FERRÉ)

- C'est trop voir les êtres sous leur vraie lumière qu'un jour ou l'autre nous prend l'envie de les larguer (LF)

- Nous vivons une époque épique et nous n'avons plus rien d'épique (LF)

- Avec l'âge, on apprend à comprendre les gens, pas seulement à les tolérer, à les supporter, mais à deviner leurs fautes, leurs faiblesses, à partager une larme, un sourire. Avec l'âge, on devrait apprendre à mieux écouter, comme si l'on avait une conque collée à l'oreille afin de mieux entendre la mer lointaine de la souffrance des autres (Clara FERREIRA ALVES)

- Un sac à main, c'est un jardin secret qu'il est interdit de fouler (Andréa FERRÉOL)

- Ce n'est pas la victoire qui rend l'homme beau, c'est le combat (Madeleine FERRON)

- Les hommes pratiquent le stress comme si c'était un sport (MF)

- (Luc FERRY)

- Tout le secret de l'art de prolonger la vie, c'est de ne pas l'abréger (E. de FEUCHTERSLEBEN)

- Seul celui qui aime existe (Ludwig FEUERBACH)

- (Georges FEYDEAU)

- Le plus beau cadeau que puisse offrir une femme à un homme, c'est la tranquillité (Helen FIELDING)

- Quand les enfants ne font rien, ils font des bêtises (Henry FIELDING)

- Pour atteindre la vérité, il faut perdre du temps et cesser de travailler (Montserrat FIGUERAS)

- (Isabelle FILLIOZAT)

- La France est un État en faillite (François FILLON)

- (Guy FINLEY)

- Notre littérature est comme une poule, elle pond sans cesse. Et les œufs se ressemblent terriblement (Jalmari FINNE)

- Une conclusion, c'est quand vous en avez assez de penser (Herbert Albert FISHER)

- Un maître est en lui-même un enseignement : chacun de ses gestes, de ses regards est une leçon (Mark FISHER)

- Le contraire de n'importe quelle idée généralement acceptée, pourvu qu'il soit habilement exprimé, vaut à celui qui l'énonce une fortune (Francis Scott FITZGERALD)

- La sagesse suprême était d'avoir des rêves assez grands pour ne pas les perdre de vue pendant qu'on les poursuivait (FSF)

- Il faudrait comprendre que les choses sont sans espoir et être pourtant décidé à les changer (FSF)

- Les corps sont étranges. Ce qui est à l'extérieur ne correspond pas toujours à ce qu'il y a à l'intérieur (Kitty FITZGERALD)

- Personne, même les poètes, n’a jamais mesuré combien le cœur peut contenir (Zelda FITZGERALD)

- (Gustave FLAUBERT)

- Je suis persuadé que le pardon possède un pouvoir de guérison et d'apaisement inexploité et très mal compris. Pour l'exercer, il faut avant tout laisser de côté tout désir de vengeance. Cette attitude peut paraître passive, alors qu'en fait le pardon sincère est un acte positif qui demande une très grande force morale (Thomas FLEMMING)

- Quant un mari dit du mal du mariage, c'est qu'il n'a pas épousé la femme qu'il voulait... ou bien qu'il l'a épousée (Robert de FLERS)

- Pour une femme, la façon de se donner vaut mieux que ce qu'elle donne (RdeF)

- La démocratie est le nom que nous donnons au peuple toute les fois que nous avons besoin de lui (RdeF)

- Nos actes sont nos anges, bons ou mauvais, ombres du destin, marchant à nos côtés (Beaumont FLETCHER)

- (FLORIAN)

- Il n'y a pas d'homme cultivé. Il n'y a que des hommes qui se cultivent (Maréchal FOCH)

- Accepter l'idée d'une défaite, c'est être vaincu (MF)

- Ne me dites pas que ce problème est difficile. S'il n'était pas difficile, ce ne serait pas un problème (MF)

- Les avions sont des jouets intéressants mais sans aucune valeur militaire (MF)

- Le vrai bonheur est celui que les autres ne voient pas, et donc n'envient pas (David FOENKINOS)

- Agis en sorte qu’autrui puisse augmenter le nombre des choix possibles ( Heinz von FOERSTER)

- Le problème, c’est de comprendre ce qu’est comprendre (HvF)

- Une histoire à deux, c'est toujours une petite salade mal foutue mais inépuisable (Jean-François FOGEL)

- Tout travail est noblesse que l'on accroche à une étoile (Raoul FOLLEREAU)

- Bienheureux celui qui a appris à rire de lui-même : il n'a pas fini de s'amuser ! (Joseph FOLLIET)

- Tout corps plongé dans un liquide éprouve une bonne satisfaction (Maurice FOMBEURE)

- Ce que nous appelons " mauvaise conscience " est en fait la bonne conscience : c'est la vertu qui se dresse en nous pour nous accuser (Theodor FONTANE)

- (FONTENELLE)

- Redressez-vous. La différence entre se hausser et se tasser est uniquement une question d'attitude intérieure. Cela n'a rien à voir avec la taille, cela ne coûte rien et c'est plus amusant (Malcom FORBES)

- Mieux vaut avoir raison la moitié du temps qu'avoir à moitié raison tout le temps (MF)

- On surestime ce que l'on n'est pas. On sous-estime ce que l'on est (MF)

- J'ai travaillé toute ma vie pour des œuvres de charité. Maintenant je travaille pour de l'argent. C'est amusant comme tout (Charlotte FORD)

- On ne gagne que par usure, quand tous les autres ont laissé tomber et qu'on est le dernier en lice (Harrison FORD)

- J'ai toujours adoré le travail physique. Je trouvais plus satisfaisant de déplacer un tas de charbon que d'aller au bureau et d'en revenir énervé (HF)

- Les motos et les avions ne sont pas faits pour aller vite ou pour s'amuser ; ce sont des jouets, mais des jouets sérieux (HF)

- Quand on vit sa vie, on ne pense pas à l'intérêt qu'elle peut susciter chez les autres (HF)

- S'il existe un secret à la réussite, il réside dans la capacité de cerner le point de vue de l'autre et de pouvoir voir les choses sous cet angle en plus de notre propre point de vue (Henry FORD)

- Un idéaliste est une personne qui aide les autres à prospérer (HF)

- Il y a des gens qui disent qu'ils peuvent ; d'autres qu'ils ne peuvent pas. En général, ils ont tous raison (HF)

- Je ne paie pas un avocat pour qu'il me dise ce que je ne peux pas faire, je le paie pour qu'il m'explique comment je peux faire ce que j'ai envie de faire (HF)

- Ce n'est pas un coupable qu'il faut chercher, c'est la solution (HF)

- Si vous pensez que vous êtes capable, ou que vous n’êtes pas capable, vous avez raison (HF)

- Ne cherchez pas la faute, cherchez le remède (HF)

- Avoir fait plus pour le monde que le monde n'a fait pour vous : c'est ça, le succès (HF)

- Échouer, c'est avoir la possibilité de recommencer de manière plus intelligente (HF)

- L'échec nous procure l'opportunité de recommencer plus intelligemment (HF)

- C'est le miroir qui se mire dans la Femme (Xavier FORNERET)

- L'avenir est un miroir sans glace (XF)

- Quand le soleil est pâle, il regarde les tombes (XF)

- Que de clarté il y a dans la nuit (XF)

- Minuit sonne toujours autrement qu'une autre heure (XF)

- Le Cercueil est le salon des morts, ils y reçoivent des vers (XF)

- Le Génie est comme le diamant : il brille dans l'ombre (XF)

- Que faire du bonheur lorsqu'on n'est pas son maître et que l'on ne sait point non plus le reconnaître et s'y fixer ? (Paul FORT)

- La communication est d'abord un état d'esprit. Les gestes confirment le message ou le démentent (Patrick FORTIN)

- Les hommes, ne pouvant par leur seul effort acquérir l'estime d'autrui ni la leur propre, cherchent à la rehausser en opposant aux défauts de leur voisins ceux que, par hasard, eux n'ont point (Ugo FOSCOLO)

- Les gens me disent d'être sage mais Toi, Tu me dis d'être fou ! (Charles de FOUCAULD)

- L'amour n'est pas : "Je voudrais cent grammes de viande." À moins que vous n'ayez une conception de l'amour différente, cela ne se vend pas au mètre ni au poids. Cela ne se fait pas avec une bête, sauf chez certains qui affichent des mœurs spéciales ! (Jean-Pierre FOUCAULT)

- J'ai trente-six ans de métier et une seule certitude : il ne faut jamais oublier que c'est le public qui vous fait roi (J-PF)

- Mon fameux sourire cache quelque chose de plus profond qui pourrait ressembler au quotidien de bon nombre de personnes qui me regardent (J-PF)

- C'est toujours réconfortant d'entendre de la bouche des autres que son père était un type bien (J-PF)

- Je préfère que l'on me croie gentil et bête que cruel et intelligent (J-PF)

- Je conseille toujours aux jeunes de sans cesse travailler, se perfectionner, et ne pas penser que le succès est définitif (J-PF)

- Je n'ai pas envie de me vendre sans arrêt, de dire que je suis le meilleur. Si les gens ont besoin de moi, ils viennent me chercher (J-PF)

- De l'homme à l'homme vrai, le chemin passe par l'homme fou (Michel FOUCAULT)

- Rien n'est plus inconsistant qu'un régime politiquement indifférent à la vérité (MF)

- Mais la vie de tout individu ne pourrait-elle pas être une œuvre d'art ? Pourquoi une lampe ou une maison sont-ils des objets d'art et non pas notre vie ? (MF)

- Il suffit d'un baiser pour apprendre l'amour (Max-Pol FOUCHET)

- La liberté, l'égalité sont nos droits ; la fraternité, c'est notre devoir (Alfred FOUILLÉE)

- Pour atteindre le bonheur complet, l'homme doit avant tout satisfaire ses passions : "Les gens civilisés sont d'autant plus riches en illusions qu'ils sont pauvres en jouissances." (Charles FOURIER)

- À l'église, les riches sont devant, les pauvres derrière. À la guerre, c'est le contraire (Jean-Louis FOURNIER)

- Le sexe, ce pauvre instrument à qui nous demandons tant de plaisir, alors qu'il ne peut donner que le soulagement (Roger FOURNIER)

- Je fais attention à ne pas confondre l'excellence et la perfection. L'excellence est à ma portée ; la perfection est l'affaire de Dieu (Michael FOX)

- Trouver l’esprit non-discriminatoire sans quitter l’esprit discriminatoire (FOYAN)

- Les petites fantaisies font les grandes carrières (Théodore FRAENKEL)

- L'amour n'est pas un sentiment statique, mais essentiellement dynamique (Irène FRAIN)

- Il est impossible que l'homme corresponde à l'idéal que s'en fait la femme... D'autant que la femme, de son côté, ne correspond pas non plus au rêve qu'elle s'imagine que l'homme a d'elle (IF)

- Le rêve de l'amour, le voilà : le partage exact. L'amour est sans doute une solitude qui veut du partage. Et le partage génère aussi la conscience de la solitude, car il n'est jamais aussi exact qu'on l'a rêvé... On ne s'en sort pas. Mais l'amour a envie de ne pas s'en sortir (IF)

- En amour, il se passe quelque chose. Pour qu'il dure, d'ailleurs, il faut qu'il continue à se passer des choses (IF)

- (Anatole FRANCE)

- Une photographie, c'est un fragment de temps qui ne reviendra pas (Martine FRANCK)

- Ne pleure pas sur ton passé, lutte pour ton présent. Ne pleure pas sur ta souffrance, lutte pour ton bonheur. Avec toutes les choses qui nous arrivent, nous apprenons que tout problème a sa solution, il faut simplement aller de l’avant (Jorge Mario BERGOGLIO, Pape FRANÇOIS)

- Tout et perdu, fors l'honneur (roi FRANÇOIS Ier)

- Souvent femme varie, bien fol est qui s'y fie.

- Où règnent paix et méditation il n'y a ni désir de changement ni dissipation (saint FRANÇOIS d'Assise)

- On atteint plus vite le ciel en partant d'une chaumière que d'un palais (sFd'A)

- Commencez par faire ce qui est indispensable, puis ce qui est possible et, soudain, vous ferez l'impossible (sFd'A)

- Commence par faire le nécessaire puis fais ce qu'il est possible de faire et tu réaliseras l'impossible sans t'en apercevoir (sFd'A)

- Soyez patient avec tout le monde, mais surtout avec vous-même (saint FRANÇOIS de Sales)

- Il faut soigner son corps pour que l'âme s'y plaise (sFdeS)

- Le bruit ne fait pas de bien, et le bien ne fait pas de bruit (sFdeS)

- Entre les exercices des vertus, nous devons préférer celui qui est le plus conforme à notre devoir, et non pas celui qui est le plus conforme à notre goût (sFdeS)

- Réserve une demi-heure chaque jour à la prière, sauf lorsque tu as beaucoup à faire. Dans ce cas prends une heure (sFdeS)

- Je ne peux pas supporter que les choses durent et, si elles durent, j'ai du mal à supporter qu'elles cessent (Bernard FRANK)

- À la différence de ces gens qui souhaitent être aimés pour eux-mêmes, je n'aurais pas trouvé désagréable d'être aimé pour quelque chose (BF)

- Ne baisse jamais les bras. Même si la fin du monde était pour demain, je planterais un arbre aujourd'hui... (Otto FRANK)

- L'important n'était pas ce que nous attendions de la vie, mais ce que la vie attendait de nous. Au lieu de se demander si la vie avait un sens, il fallait s'imaginer que c'était la vie qui nous questionnait (Viktor FRANKL)

- Pleurer atteste de ce qu'un homme fait preuve du plus grand des courages, celui de souffrir (VF)

- (Benjamin FRANKLIN)

- Le cirque, c'est un rond de paradis dans un monde dur et dément (Annie FRATELLINI)

- La vie ne vaut d'être vécue que si elle est une légende (Olivier FRÉBOURG)

- Il n'est pas important que je vive, mais il est important que je fasse mon devoir (roi FRÉDÉRIC II)

- Ceux qui pensent être les plus sages sont les plus fous de l'espèce à deux jambes et sans plumes dont nous avons l'honneur d'être (rFII)

- Il est beau de faire des ingrats ; il est infâme de l'être (rFII)

- Une maladie est pour un philosophe une école de physique (rFII)

- Le monde nous incite sans cesse à allumer la radio, la télévision, à donner un coup de fil ou à regarder un film. Nous sommes sans doute nombreux à redouter de découvrir que, livrés à nos propres pensées et sentiments, nous ne serions pour nous-mêmes qu'une bien piètre compagnie ( James FREEDMAN)

- Nos vies sont imprégnées par Dieu. Il n'y a nulle part où il ne soit pas (Laurence FREEMAN)

- L'enfant qui participe à une activité qui le passionne se discipline automatiquement (Célestin FREINET)

- Pour vivre en paix avec tout le monde, il ne suffit pas de ne point se mêler des affaires d'autrui, il faut encore souffrir qu'autrui se mêle des vôtres (FRÉRON)

- Le fâcheux avec les hommes, c'est qu'ils vous déçoivent toujours, soit qu'on s'y fie, soit qu'on s'en méfie (F)

- L'acteur est un sculpteur de neige (Pierre FRESNAY)

- Les justes proportions ne suffisent pas. Il y a l'élégance des gestes, la grâce dans la manière de bouger, qui compensent certaines faiblesses. Et l'intelligence... parce que la bêtise, ça enlaidit (Inès de la FRESSANGE)

- Les hommes politiques feraient bien d'écouter nos voix, avant de les compter (Claude FRISONI)

- (Sigmund FREUD)

- L'homo consumens vit dans l'illusion du bonheur, tout en souffrant inconsciemment de son ennui et de sa passivité. Plus il détient de pouvoir sur les machines, et plus il devient impuissant en tant qu'être humain ; plus il consomme et plus il devient l'esclave de ses besoins croissants créés et manipulés par le système industriel (Erich FROMM)

- L'homme qui ne peut qu'obéir est un esclave (EF)

- Dans notre culture, quand des individus se sentent "coupables" [...] ils ne sont pas vraiment troublés par un problème moral, contrairement à ce qu'ils pensent, mais par le fait d'avoir désobéi à un ordre (EF)

- Le besoin le plus profond de l'être humain est de fuir la prison de sa solitude (EF)

- Notre capacité de douter, de critiquer et de désobéir est sans doute le seul moyen d’éviter la fin de la civilisation et d’assumer l’avenir de l’humanité (EF)

- (André FROSSARD)

- Le monde est plein d'hommes désireux, les uns de travailler, les autres de les laisser faire (Robert FROST)

- Quelque chose que nous refoulions nous a rendu faibles jusqu'à ce que nous découvrions qu'il s'agit d'une partie de nous-mêmes (RF)

- Aimez-moi ou haïssez-moi, mais épargnez-moi votre indifférence (Libbie FUDIM)

- Il n'est pire servitude que l'espoir d'être heureux (Carlos FUENTES)

- La sensibilité artistique est la capacité à rendre visible l’invisible en englobant le marginal, le peureux, l’exclu (CF)

- La mémoire est le désir satisfait (CF)

- Beaucoup seraient lâches s'ils en avaient le courage (Thomas FULLER)

- La possession est les neuf points de la loi (TF)

- Trébucher peut prévenir une chute (TF)

- Ce ne sont pas les attitudes que je trouve comiques mais les états d'esprit ! (Louis de FUNÈS)

- Un médecin est un homme que l'on paie pour conter des fariboles dans la chambre d'un malade, jusqu'à ce que la nature l'ait guéri ou que les remèdes l'aient tué (Antoine FURETIÈRE)

- L'homme peut bien dompter la nature, mais il est assujetti à sa pensée (FUSTEL DE COULANGES)